C’était mon anniversaire. Kevin, mon mari, m’avait bandé les yeux dès le matin en disant qu’il avait « une surprise spéciale » pour sa petite salope préférée. J’étais déjà trempée rien qu’à l’idée, parce que, putain, on sait tous les deux que quand il dit « spéciale », ça finit toujours avec mon cul en feu et ma chatte qui dégouline.Il m’a emmenée dans le salon, m’a attachée à quatre pattes sur la table basse, les poignets et chevilles écartés, le cul bien en l’air. J’ai entendu la porte s’ouvrir, des voix graves, quatre mecs qui riaient déjà en me matant comme un morceau de viande fraîche. Kevin a enlevé le bandeau : quatre blacks baraqués, queues déjà à moitié dures sous leurs survêts, qui me regardaient avec des sourires carnassiers.« Joyeux anniversaire, ma chérie. Ce soir, ton trou du cul est à eux. Trois heures. Pas de capote. Ils te remplissent jusqu’à ce que ça déborde. »Le premier, un colosse tatoué jusqu’au cou, a craché direct sur mon trou et a enfoncé trois doigts d’un coup. J’ai hurlé, mais il s’en battait. Il a tourné, écarté, forcé jusqu’à ce que je sente mon anus s’ouvrir comme jamais. Les autres se branlaient autour en rigolant : « Regarde-moi cette petite blanche qui va se faire péter le fion par quatre bites noires. »Ils ont commencé doucement… enfin, façon de parler. Le premier m’a enculée direct sans lubrifiant autre que sa salive, une queue épaisse comme mon poignet. Il m’a déchirée en deux. J’ai pleuré, bafouillé, mais Kevin me tenait la tête et me forçait à le regarder dans les yeux pendant que ce mec me défonçait le rectum comme un marteau-piqueur.Après vingt minutes, il a joui au fond, un torrent chaud qui m’a remplie direct. Il s’est retiré d’un coup : mon trou restait béant, rouge vif, et déjà du sperme coulait le long de mes cuisses.Le deuxième a pris le relais immédiatement. Plus long, plus vicieux. Il m’a enfoncé jusqu’à la moitié, puis tout d’un coup en me tenant par les hanches comme une poupée. Il m’a sodomisée pendant presque une demi-heure, en me claquant le cul à chaque coup de reins, en me traitant de « pute à blacks », de « vide-couilles blanc ». Quand il a giclé, ça a débordé direct, un mélange de foutre et de jus qui pissait de mon anus dilaté.Le troisième était le pire. Il avait une queue monstrueuse, vei ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad

