Très fébrilement, le doigt tremblant, je composais le numéro sur le cadran..une, deux, trois sonneries, ça décroche, une voix douce et ferme en même temps .. AlloBonjour, Monsieur, c’est moi qui est répondu à votre annonce sur Déclic Ouest,Ha oui, j’attendais ton appel hier ou avant hier. Tu es libre demain soir ?Etant célibataire géographique, je lui dis que oui, surpris par la rapidité du rencard.Demain à 18h00 allée H du parking de la gare SNCF. Et ne sois pas en retard, je ne tolère pas cela. Fin de l’appel, il a raccroché sans parler un peu, échanger ou quoi que se soit, rien.J’étais un peu en panique... Rencontrer un homme sur lequel je ne savais rien, ni ses gouts, ni ses limites.Que faire ? Y aller ou pas...Mais en même temps une sacrée excitation, et mon rythme cardiaque qui accélérait en y pensant.Encore une nuit difficile, pleine de réflexion.Le lendemain, en débauchant, je rentre, toujours hésitant, je prends une bonne douche, pour me préparer ou pour me remettre les idées en place ?Il faisait chaud en cette fin d’été, je mets un slip, un jean, un tee-shirt blanc et... Merde, je verrais bien la suite, je prends la voiture et me dirige vers la gare à 5 mn de mon logement. A 17h50, je suis garé sur le parking, personne dans l’allée, ma vieille R5 est le seul véhicule.Je descend et marche un peu, regardant ma montre assez souvent.Il devait être 17h59, une superbe Mercedes prend l’allée et se dirige vers moi, les vitres teintées, je ne vois rien.Un monsieur en costume gris, la petite cinquantaine, 1,80 m environ, assez fin, en sort, il me détaille des pieds à la tête, longuement.Bonjour, on discute quelques instants pour que je sois certain de vouloir aller plus loin.Je me lance totalement : oui, Monsieur, je veux être votre soumise et que vous m’initiez.La phrase était prononcée...Bien, tu vas me suivre, alors, j’habite à 10 kms en bordure d’un village, dans un petit manoir, allons-y.Tout tremblant, mais aussi terriblement excité, je suis la belle voiture. Nous arrivons devant le grand portail d’une propriété qui m’a l’air très privé, haut mur tout autour, une grande allée gravillonnée qui donne sur un petit château à une cinquantaine de mètres.Descendu de voiture, je suis Monsieur, quelques marches pour arriver à la grande porte d’entrée ouverte, cela m’étonne, mais, bon !Je le suis jusqu’à une grande pièce bien éclairée où nous entrons.Déshabille toi, je ne veux plus te voir en tenue masculine ici, sauf si je te l’ordonne.Et il quitte la pièce. Je reviens.Je suis éberlué.. Je ne sais pas trop quoi faire.. là où j’en suis, je décide de me mettre nu, personne ne peut me voir.Monsieur reviens. Etudie de nouveau mon corps, me fait marcher, pencher, tourner face à lui.Une de ses mains s’avance enfin vers moi, sur ma poitrine, chaude et ferme. Il malaxe, pétris tour à tour mes seins puis viens titiller mes tétons, en prendre possession.Immédiatement, il voit que je me mets à bander, ma queue est toute raide.Ho mais tu as l’air d’aimer ça, Salope, excellente nouvelle !Penche toi et pose tes coudes sur la table, écarte bien tes jambes.Je sens ses deux mains qui écartent mes fesses sans douceur, étudiant ma petite rondelle qu’un doigt vient tester.Puis une main vient soupeser mes bourses, je bande toujours.Sa première étude semble lui convenir, il me regarde d’un air vicieux hum je suis séduite.Ici, c’est moi le maitre, tu es là pour obéir, chaque faute sera punie. Quelquefois, nous irons en ville et je te donnerai des gages à effectuer. Chaque réussite te vaudra des cadeaux, chaque échec, une punition.Je ne suis pas seul dans le manoir, j’ai une gouvernante, qui travaillait auparavant pour mes parents et je j’emploie à mon tour maintenant. Elle connaît tout de ma vie. C’est une couturière hors pair, c’est elle qui te recevra à chacune de tes venues pour t’aider à t’habiller dans les tenues que nous t’aurons choisi.Si tu as besoin de quoi que se soit, tu lui demandes, elle jugera si elle doit m’en parler où pas.C’est largement dans ton intérêt d’être très bien avec elle. Je vais te laisser avec elle, elle va prendre toute tes mesures de façon à ce que tes tenues soit parfaitement ajustées, puis tu reviendras me voir.Tu lui dois le respect, et tu dois la vouvoyer.Madame Berthe, s’il vous plait, venez chercher cette petite trainée.Une dame la soixantaine, petite, en robe noire, petit tablier de soubrette, chignon, app ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad