Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... histoire vécue ce matin... avec un peu de truc en plus sorti de mon imagination fertile (sourire).Journal d’Isabelle n°32mardi 17 janvier 2023À LA PROCHAINE !C’était ce matin même, vers sept heures, j’avais allumé mon ordinateur, lu et répondu à mes courriels avant de me connecter au site lieuxdedrague.Je n’ai pas attendu longtemps avant de recevoir un message.“Bonjour Isabelle, je passerai ce matin vers 9h30 10h.”Bien qu’il fasse un peu frais dans ma librairie le matin, je me suis dit que je n’allais pas refuser une petite pipe, ça me réchauffera peut-être.Ne voilà-t-il pas que je reçois un autre message d’un autre correspondant, sur le même site.“Salut Iza, j’ai envie de passer ce matin, entre 10h et 10h30, ça te va ?”“Deux à la suite ? me suis-je dit, eh bé va falloir assurer.”J’ai tout de même remis un message au premier :“Pas après 10h, j’attends un autre mec.”J’étais avec mes escarpins rouges, de très longues chaussettes fantaisie, une jupe longue noire, une robe blanche aux genoux, mon châle bordeaux et toujours mon petit collier de soumise au cou. J’ai retiré ma jupe longue afin d’être un peu plus “sexy”... et j’ai attendu.Il était neuf heures quarante-cinq quand le premier est arrivé.— Salut Isabelle, c’est moi, Jean, qui t’ai écrit.— Oui, oui, souris-je.Il m’avait prévenu qu’il était plutôt un peu timide. Moi étant d’emblée réservée, j’allais devoir, si j’ose dire, “prendre les choses en main”.— Je peux avoir un café ?— Mais bien sûr.J’ai préparé le café, j’ai posé le plateau sur la petite table à côté du canapé. Lui s’y était déjà assis, je me suis donc mise par terre, à ses côtés, les mains sur une de ses jambes. — Je vais d’abord boire mon café.J’ai souri, c’était adorablement dit.Une fois qu’il eut fini, j’ai commencé à l’entreprendre. J’ai ouvert sa ceinture, le bouton de son pantalon et fait glisser sa fermeture éclair.Je commençais par caresser et embrasser la bosse que formait sa queue à travers le slip. Timidement, il me caressa la tête, tandis que libérant son sexe, je commençai à le sucer.C’est à ce moment-là... j’avais oublié de fermer la porte à clef, bien que le rideau fût fermé... que mon second rencard est entré.Immédiatement, je me suis levée, alors que Jean, assis, avait un air effaré et déjà se rhabillait.L’autre, grand sourire aux lèvres.— Non, non, bougez pas, s’adressa-t-il au premier, je peux participer ?Jean arrêta de se re vêtir, re baissa son froc et se réassit.Je les regardais l’un l’autre alternative-ment, me demandant si c’était vraiment raisonnable. Mais le nouvel arrivant s’est approché de moi pour se serrer contre mon corps, tandis que d’une main il soulevait ma robe pour me caresser les fesses. Il a glissé son autre main sous ma robe pour s’occuper de mes seins.— Allez ! Retourne à la queue, a-t-il dit.J’ai souri, j’aime quand les hommes s ...

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