Fin juin 1979, j’ai enfin le BAC. Dans la classe, deux élèves seulement, sur la quinzaine que nous sommes, ont échoué. L’un de nous, dont les parents (absents) ont une très grande maison avec également un grand jardin, nous a invité à fêter la fin de notre parcours au lycée technique et la réussite au BAC. La soirée est évidemment bien arrosée. Chacun se retrouve dans différents petits groupes qui sont répartis soit à l’intérieur, soit dans les multiples recoins de ce jardin paysager. Je me retrouve alors allongé à côté de Jean-Pierre. On est tous les deux un peu fatigués par ce que nous avons bus ! Dans un état un peu second nous voilà à discuter très librement de sexe. Depuis le début du lycée, je flashe en toute discrétion sur ce garçon, moins timide que moi, qui est manifestement plus porté sur la bite que sur le vagin. Mais moi, je n’ose pas lui faire part de mes sentiments. Je me suis souvent branlé en pensant à lui. Mes expériences ont depuis le début été avec des adultes et j’ai toujours été passif. Mais Jean-Pierre a un superbe petit cul, bien moulé dans les pantalons que l’on portait à cette époque, et je rêve de l’enculer… Nous sommes seuls, un peu à l’écart, et c’est lui qui le premier pose sa main sur moi et mon entrejambe. Je ne dis rien, je le laisse faire, et il sent très vite que la bosse qui est sous ma braguette commence à bien durcir. Mais je suis aussi tétanisé à l’idée que l’on nous surprenne. Nous discutons avec passion et nous convenons qu’il nous faut trouver un autre lieu pour baiser, car il a autant envie que moi de se retrouver à poil dans un lit avec moi. J’ai envie de son petit cul, et il a envie de ma bite. J’ai bien l’intention d’être l’actif cette fois-ci. On a envie de bien s’éclater et ce soir, dans l’état dans lequel nous sommes, ce n’est pas l’idéal pour être performant en matière de baise, et il faut trouver un lieu ! On convient de se retrouver, chez moi, le surlendemain, un samedi matin. Mes parents seront partis la veille en week-end dans la maison de campagne. Samedi matin, 9H00, la sonnette retentit. Il est pile à l’heure. Il fait très chaud, j’ai dormi en slip. Après un coup d’œil à l’œilleton de la porte de l’appartement, j’ouvre en me cachant derrière la porte et en l’invitant à rentrer vite. Je suis en slip, et je bande déjà ! Ma tenue lui plait énormément et il vient me plaquer contre le mur. Ses mains parcourent tout mon corps, et très vite une de ses mains est dans mon slip. Il me roule une pelle d’enfer ! Je l’attire vers ma chambre. On est déjà très excités. Je lui retire avec presque brutalité son tee-shirt, son short en jean, et son petit slip. Il est habillé comme un petit pédé venu pour se faire baiser…et je vais le baiser. Je peux enfin admirer, caresser, peloter ces petites fesses qui sont divines. Si mon petit cul plait beaucoup, le sien est à se damner ! Il le sait, et il se cambre comme une petite salope en manque de bite. Si j’ai un peu d’expérience avec des mecs, la description rapide qu’il me fait de son parcours sexuel, me relègue dans le camp des amateurs. Depuis le collège, son cousin, de trois ans plus âgé, lui en a fait voir de toutes les couleurs. A raison d’une fois par semaine il fut l’objet de toutes les initiations possibles. Ce fut son cousin, puis les copains de ce dernier, et plus tard des mecs qui avaient payés pour ça, qui défoncèrent ce petit cul toujours en manque de bite. J’étais bien en peine de l’imaginer sous cet angle. Et dire qu’il m’aura fallu attendre la fin du lycée pour baiser avec lui, alors que lui aussi rêvait de me sucer ! La timidité et la peur sont de vrais obstacles à l’expression des sentiments. Pour ses 18 ans, son cousin l’emmena un samedi après-midi dans une ferme isolée. Là, 3 mecs d’âge mûr et un jeune, sans doute le fils de l’un d’eux, l’attendaient pour le baiser. Passée la peur d’un tel plan, d’autant que le cousin l’abandonna aux mains de ces vicieux pour revenir le chercher en fin de soirée, ce fut une succession de suce, pénétration multiples…Ils se relayaient dans son cul. Ils étaient très bien membrés et endurants ! Quand son cousin arriva le soir avec un gâteau d’anniversaire, une fois le gâteau mangé, le cousin le baisa devant tous les autres qui mettaient l’ambiance. Du coup, mes expériences, chaudes malgré tout, avaient du mal à tenir la comparaison. Jean-Pierre me guida dans notre p ...

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