Au pied de mon arbre – Episode3 Six mois d'abstinence depuis l'épisode précédent ! Et une occasion manquée il y a quelques semaines : nuit tombante sur l'aire, défilé de phares sur la route et pas un arrêt ! Ce 20 décembre je retourne sur Fumel … et je redoute le même scénario. J'irai donc sur le lieu avant de faire mes courses. Fin prêt pour le départ...Le ciel déjà sombre s'obscurcit encore, une fine bruine commence à tomber : la poisse ! Aux approches de l'aire : route sèche, un peu plus de clarté, mais le moral est en berne... J'arrive enfin ! Une voiture est à l'arrêt près du passage fréquenté. L'espoir renaît. Je me gare à proximité. Mon moteur tourne encore et déjà un homme sort du véhicule et s'engage dans le passage d'un pas décidé ; ça paraît trop beau pour être vrai ! Vérification rapide de ma sacoche , je me déleste de ma ceinture et me lance à grands pas sur ses traces. Tout en marchant, j'ouvre la fermeture éclair de ma braguette et déboutonne le jean. Quelques dizaines de mètres et je l'aperçois, déjà installé sous « mon arbre ». Sa façon de regarder devant lui ostensiblement, dos tourné, avec un œil en coin qui surveille ses arrières ; son bras droit qui laisse deviner un discret va et vient de masturbation, aucun doute sur ses intentions. Pour le mettre à l'aise d'entrée, j'ouvre largement mon pantalon , baisse mon slip au dessous des testicules, et m'approche à le toucher sans tergiverser une seconde. Il se tourne vers moi et je découvre une belle bite bien raide, grosseur moyenne, plutôt longue, fièrement dressée, arquée vers le nombril. Je la prends en main et annonce la couleur :« Moi je bande difficilement »Et je commence à caresser doucement le joli membre puis les couilles, petites, le bas ventre, l'intérieur des cuisses encore serrées. Lui me rend la pareille, se serre contre moi . Les cuisses s'ouvrent, les mains explorent les entrecuisses, pétrissent les fesses, les doigts glissent dans les raies du cul et reviennent branler lentement sa queue bien raide, la mienne à moitié. Je baisse son membre, le glisse sous mes couilles, le serre entre les cuisses. L'homme n'est pas très grand. Enlacés, ma figure contre son cou, je sens la chaleur de son corps, son odeur agréable. Jeune, je n'aimais pas embrasser ; puis je me suis adapté à la demande, sans aucune répugnance, mais jamais à l'initiative. Et là, je me sens troublé. Lui manifestement homme, bien bandant ; moi, enlacé, caressé, je me sens femme soumise à son désir heureuse de l'exciter. Spontanément je glisse un baiser humide furtif dans son cou, puis deux ou trois ; je recule un peu la tête et en pose un sur les lèvres. Aucun signe de recul de sa part. Alors, spontanément, mon bras droit enveloppe sa nuque et je lui roule un patin ...un vrai, ...long, appuyé, humide, comme au cinéma, ...comme à ma femme au temps de notre jeunesse... Et banco ! Je sens une fraction de seconde d'hésitation et ses lèvres écrasent les miennes, nos langues se mélangent, nos bouches restent soudées et son compteur s'affole ! Une main énergique et frénétique se glisse sous mon tee shirt, arrache mes vêtements du pantalon, remonte pétrir mes seins, malaxe mes petits mamelons, redescend se glisser dans ma raie, entre les cuisses. Instinctivement j'ai laissé mon jean glisser jusqu'aux genoux, j'écarte les jambes pour faciliter les caresses. Je branle sa bite qui a encore durci... Emporté par la frénésie je soulève et remonte ses vêtements au dessus du sein, je martyrise un peu le mamelon du bout des doigts, plaque mes lèvres pour un puissant suçon puis lèche, suçotte. Mon homme lâche un râle de plaisir retenu. Pour ma part, comblé d'excitation dans mon rôle de femme, paradoxalement je me surprends à bander très fort, ce qui est rare. Et de nouveau, un long baiser, profond pendant que nos mains s'activent. Emportés par la fougue, nous avons oublié un moment le monde autour de nous ! Notre regard légèrement inquiet balaie les environs : personne , tout est calme... Ma bouche se pose à nouveau sur le sein, glisse sur la poitrine, le ventre , le pubis tandis que je m'accroupis. Il est temps de s'occuper du beau sexe tendu. Mes lèvres enveloppent le gland et d'un mouvement ample et rapide j'avale le plus loin possible. Un soupir de plaisir gratifiant me dit que se suis sur la bonne voie. Et j'enchaîne un pompage vigoureux en règle. Mes mains ne demeurent pas en reste. Elles caressent, tripotent, triturent fesses, bas-ventre, testicules, s'immiscent entre les cuisses, rejoignent la bouche sur la base du pénis et accompagnent le mouvement... Les doigts explorent le sillon des fesses, glissent sur l'anus. J'alterne les pompages vigoureux et d'autres fantaisies. Je lèche et suce les couilles, roule de la main à plat la verge contre le ventre, la plaque de mes lèvres humides qui glissent alternativement de la racine du membre à la base du gland... mon homme tend le bras, me malaxe un sein. Je me redresse jambes tendues, le corps penché en avant, je continue à m'activer. La main caresse mes fesses, quelques volées de claques modérées les réchauffent, les doigts tentent d'explorer mon intimité. Je me place de côté du mieux possible pour faciliter la manœuvre, sans interrompre mon action. Un doigt atteint mon petit trou, s'y glisse pour approfondir l'exploration de ce que certains nomment leur chatte anale. Je ne suis pas fan de l'expression, mais pour une fois elle me paraît assez juste et sans doute aussi pour mon partenaire. J'ai peu de doutes sur la réponse quand je pose ma question rituelle :« Tu veux me baiser ? »« Oui ! »Et j'en rajoute, d'une voix mielleuse de salope :« Tu veux bien me baiser !...avec une capote ?« Oui, mais je n'ai pas de préservatif !« Moi, j'en ai ! »J'en sors un aussitôt de mon sac et le lui tends.Le temps de l'enfiler, je prends une giclée de gel et lubrifie rapidement mon anneau. La précaution ne sera pas inutile. Pour mon homme, après les suaves bisous mouillés, c'est bien la fonction chatte qui fera son bonheur ! Je me retourne, me penche en avant...cette fois pas d'hésitations ou de maladresses. Une main experte présente aussitôt le gland à l'entrée, A peine le temps de le sentir s'engager et franchir le seuil , un coup de rein puissant propulse la belle tige au plus profond de mon intimité, ventre et testicules claquent en butant sur mes fesses et sans attendre une seconde un pilonnage en règle commence ! J'aime beaucoup ce sentiment d'être utilisé comme objet sexuel ; j'ai beaucoup de plaisir à me donner sans retenue, à m'offrir au désir de mes partenaires . Aujourd'hui, j'aime le bruit et le choc des coups de butoir contre ma croupe, j'aime sentir cette queue dilatant mon anus, prenant possession d ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad