Ah, le voilà Jean, il vient de sortir de la douche, je vais lui dire un mot et nous nous arrangerons pour récupérer ses affaires demain après-midi vers quinze heures. …… Je pense qu’Alfred et les garçons seront sortis à ce moment-là, donc nous pourrons parler aussi… Super, merci Jean… voilà Philip. » Il parlait à ma mère et me tendit le téléphone, j’étais abasourdie en la saluant, « Bonjour maman, ça va ? »Les mains de Monsieur John étaient à nouveau sur moi, de par-dessus mes seins, me pinçant les tétons, écartant mes jambes avec son genou, ma bite était à nouveau dure alors que j’essayais de rassurer ma mère au téléphone « Bien sûr maman, John est un homme merveilleux et il m’aide beaucoup avec ce nouvel appartement et dit qu’il peut peut-être me trouver un bon travail dans une société d’ingénierie à la recherche d’ingénieurs électriciens et qu’ils me formeraient et tout. J’en suis vraiment contente mais je dois lui prouver que je peux m’appliquer. »Les mains de John étaient à nouveau sur mon gland, massant du bout des doigts. « Mais maman, tu sais que je peux le faire, tu dois m’aider de toutes les manières possibles, cela signifie beaucoup pour moi. S’il te plaît, maman. »Sa voix au téléphone semblait moins tendue et moins anxieuse alors qu’elle s’enquérait de John, me demandant si je l’aimais, si je pouvais lui faire confiance et ce qu’il faisait dans la vie. Je lui ai simplement expliqué qu’il était bon avec moi et que je lui faisais entièrement confiance et qu’il était un industriel avec une énorme influence. « Il avait l’air tout à fait charmant quand je l’ai rencontré, est-il marié ? »« Maman, s’il te plaît, je dois y aller maintenant car nous sortons bientôt, nous passerons demain après-midi pour récupérer mes affaires. Au revoir maman, je t’aime. » J’ai raccroché le téléphone et me suis appuyée doucement contre John pour me réconforter.Il m’a repoussé doucement en disant « ta mère est une jolie femme, je lui rendrai visite demain après-midi et je récupérerai tes affaires en même temps. »« Maintenant, je dois t’emmener faire ton tatouage, Maître Pete m’a donné ton nouveau numéro, tu dois être très fière. »« À partir de maintenant, tu seras l’esclave numéro 695-175-257 et c’est ta seule véritable identité. Es-tu heureux maintenant ? » Répondis-je rapidement. « Oui, Monsieur John, je suis fier et heureux d’être l’esclave numéro 695-175-257. » Mon esprit était soulagé et ravi de savoir que j’étais désormais la propriété de mon Maître et qu’il prendrait soin de moi.Chapitre quatreJ’enfilai rapidement un short moulant en soie et un débardeur que John m’avait passé, je mis des baskets et courus ouvrir les portes et rejoindre John dans la voiture.Le short était assez petit pour moi et moulait parfaitement mes petites fesses serrées et mon petit clitoris rigide. John semblait très content de mon apparence. Nous avons roulé sur la route de campagne pendant quelques minutes seulement avant d’arriver à une vieille ferme en ruine avec quelques vaches dans les champs et quelques poulets dans la cour. John klaxonna et attendit qu’un vieil homme âgé, débraillé et barbu se dirige vers la fenêtre du passager. Il était grand et trapu et se tenait fièrement, ressemblant à un chevalier féodal traversant son domaine."C'est la salope que tu veux traiter John ?""Ouais, je vais le laisser avec toi un moment, puis je te rejoindrai dans la grange pour des photos. OK ?""Enlève ton équipement, salope !" ordonna-t-il.La porte s'ouvrit et avant que je ne m'en rende compte, ...

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