Il est 12.45 quand je quitte cette réunion de travail qui n’en finit pas .On me demande d’être à l’heure, c’est-à-dire 14 heures pour faire la présentation de mon projet.Seront présents tous ceux qui font partie du gratin parisien, la direction générale.Je n’ai que faire de leur commentaire, je sais que ca sera acquis. Point barre. Je prends ma voiture et file manger un sandwich dehors, sur une aire bien connue. Etaient garées une dizaine de voiture dont quelques chauffeurs faisaient la pause déjeuner.Je sors ma salade et décide de l’avaler en vitesse, en effet j’avais envie d’autres chose. Ce lieux est assez bien fréquenté bien que sale, je dois l’avouer. Il est presque 13 h10 et je dois me dépecher. Je sors de ma voiture, jette un regard aux conducteurs arrêtés et pénètre dans le sois bois voisin de l’aire. Il fait 25 degrès, le printemps nous préserve des autres regards.Je mets mes mains sur mes fesses dans un levis 501et marche dans cette antre forestière. Trois mecs étaient présents et se paluchaient. Ils se mataient tout en se touchant. Moi j’avais chaud, j’avais besoin qu’on me tripote la chatte…je m’approche d’eux et voila que le bal des mains commence. J’avais chaud, je l’avoue et je déboutonne par conséquent ma chemise. Près de moi, les pantalons étaient baissés, les langues se collaient et moi, je me faisais travailler les fesses. Je sentais des bites collées à moi, des langues lécher mon torse. Je n’avais pas honte de mon corps, je suis fin et assez sexy je dois l’avouer…. Un homme apparait au loin, costard cravate, il avait l’air pressé… il se pointe vers nous avec la queue sortie. Il s’approche et visiblement avait envie d’être sucé. Je m’execute tout en lui mettant un preso. Humm quelle surprise cette bonne bite bien chaude pendant qu’on me triturait l’entrée de ma petite chatte. Il n’en pouvait le bcbg, qui ne disait mot….il me retourna avec l’accord des autres et décida enfin à me chevaucher comme une bonne salope. Ca lui plaisait, et des mots sortis de sa bouche ne faisaient qu’accroitre mon excitation.Les autres pendant ce temps en faisaient autant. Je regardais pendant qu’une bite me defoncait, le specta ...

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