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Aventure au Togo 1

Publié par : pierre49590 le 01/01/2023

Il y a 20 ans déjà, aujourd’hui... Je suis muté comme responsable de zone à Lomé, pour une grosse ONG. Débarquement début septembre, accueilli à l’aéroport par le responsable Il me conduit dans la foulée dans ce qui sera « ma villa », mais me servira également de bureau et de siège. Elle est située dans un quartier VIP nommé « La caisse », patronyme que je n’ai jamais pu élucider. Maison très grande et presque luxueuse en regard de celles que j’ai connues auparavant. C’est sans doute le bénéfice de mon élévation de poste. Devant le porche, bien alignés, m’attendent : le chef de la maisonnée Kodjo, le cuisinier, femme de ménage, gardien et jardinier. Et je les cite bien par ordre d’importance... Présentations rapides et nous quittons la moiteur étouffante pour rentrer dans ce qui sera mon futur salon d’accueil, à la fraicheur d’un réfrigérateur. Nous nous installons avec mon responsable. Koffi, mon cuisinier-serveur nous apporte une collation avec une afféterie un peu trop excessive à mon goût.La séance de travail commence. Mon chef me détaille les tenants de ma mission et les spécificités de ma future zone, couvrant Togo, Bénin, Burkina Faso.En gros une heure et demi de consignes et de « survol » de dossiers.« Bon, mon cher Pierre, vous devez être fatigué. Je vous laisse vous reposer et vous installer. Kodjo vous expliquera pour les modalités de tous les jours. A bientôt, à Dakar, pour notre prochaine grande réunion de zone Ouest. »Je le raccompagne bien évidemment sur le seuil où, avant de s’engouffrer dans son gros 4X4 plutôt luxueux, il me chuchote :« Ah, mon cher Pierre, j’oublie. Vous disposerez d’un 4X4 comme le mien, peut-être pas du même millésime mais en excellent état. Votre ancien chauffeur nous a quitté. Mon amie, l’épouse de l’ambassadeur du XX à Dakar quitte le pays et voudrait que je réemploie son ancien conducteur absolument digne de toute confiance, sérieux, fiable et compétent. Un diamant paraît-il. Il arrive demain par avion. Kodjo ira le chercher et vous le présentera. Allez, j’y vais. Bonne installation ! »Je rentre, dubitatif sur le statut de ce chauffeur que l’on fait venir spécialement de Dakar, et par avion en plus ! Service de renseignements ? Je ne sais...Bref, le reste de ma journée est mis à profit par mon installation, premiers contacts avec mon personnel de maisonnée, découverte de mes locaux professionnels, privés et ceux du personnel. Je n’en rêvais pas tant ! Il y a même une petite piscine.Nuit roborative et, le matin, contacts avec ma secrétaire (très belle togolaise d’une trentaine d’années) et les deux jeunes volontaires bénévoles ONG : un laideron féminin d’une vingtaine d’années, et un petit grassouillet du même âge, dont la morve jaillirait si on lui pinçait le nez. Ils se révèleront néanmoins très sérieux et compétents par la suite. Le petit grassouillet ne risque pas de hanter mes rêves les plus fous !Koffi m’annonce "servi". Je m’installe donc dans une (ma) salle à manger plutôt grande. Le service est parfait et les mets délicieux. Les différents allers et retours de Koffi vers l’office me permettent de découvrir le personnage. Bel homme de taille moyenne, élégamment sanglé dans une tenue de serveur plus qu’ajustée (qui l’a imposée ?), d’un profil comparable à celui d’un danseur ou d’un mannequin, il assure son service à la perfection, quoique avec des gestes peut-être un peu trop raffinés, un sourire enjôleur aux lèvres et des œillades plutôt appuyées, mais suffisamment polies. Sont-ce des invites ? Je remarque ses mains qui sont magnifiques, toutes en longueur et en finesse. Quid des relations avec mon prédécesseur que je n’ai pas connu ? J’avoue que j’ai grand plaisir à le voir « virevolter » autour de la table. S’en rend-il compte ? Repas terminé, il me propose de prendre mon café au salon. Au cours du service, j’ai le plaisir de découvrir les formes de ce magnifique petit cul bien moulé dans son pantalon blanc serré. J’y crois même deviner la marque du string lorsqu’il ramasse avec grâce une serviette tombée à terre. Hum... Que cela me présage-t-il ?Je suis dérangé dans mes réflexions intimes par l’arrivée de Kodjo m’annonçant très cérémonieusement (cela doit lui plaire) que « le conducteur de Monsieur est là. »« Et bien fais-le entrer, Kodjo. »Et m’apparait alors, par l’embrasure de la double porte, que Kodjo referme immédiatement après, un Dieu, ni plus ni moins. 1.80 m de haut, il doit peser dans les 80 kilos, cheveux très courts, peau très foncée avec des reflets cuivrés, des dents d’une blancheur éclatante, et pris dans un costume bleu nuit parfaitement ajusté et même plutôt très cintré, lunettes de soleil dépassant de sa pochette, et tenant une petite mallette de cuir tabac à la main. J’ai plus l’impression de voir entrer un jeune ministre qu’un conducteur privé. J’avoue que j’en reste quoi, le détaillant des pieds à la tête. « Hum... Je suis Oumar, Monsieur, votre futur conducteur. »Une belle voix grave aux longues inflexions me tire de mon ébahissement.« Oui, oui. Bonjour Oumar. Content de faire ta connaissance. »Une virile poignée s’ensuit.Nous discutons un peu de son poste et de ce que j’attends de lui. Surtout une fidélité et une discrétion à toute épreuve outre une ponctualité infaillible. Je me renseigne aussi un peu sur lui. Il m’explique dans un français impeccable qu’il quittait sa patronne avec grand regret (je comprendrai pourquoi rapidement...) et me remercie de l’avoir accepté ici, même si un poste au Sénégal aurait eu sa préférence. J’avoue que je l’écoute à demi-mots, subjugué par ce magnifique Sénégalais. Puis j’appelle Kodjo afin qu’il lui donne les consignes et lui montre les locaux, le garage et la voiture.« Oumar, nous partirons à 16h, pour une visite de courtoisie chez le ministre de l’Education. Dites à Kodjo que Lydia, ma secrétaire viendra avec nous. »15h55, Oumar vient me prévenir que la voiture est prête et que Lydia m’y attend déjà.Nous quittons la « caisse ». Rapidement, la climatisation semble refuser de fonctionner. L’habitacle devient vite une étuve, même fenêtre ouverte. Je vais avoir l’air fin pour une première visite chez le ministre...« Je suis désolé pour la panne, Monsieur. Je ne connais pas encore cette voiture. Je verrai cela dès notre retour. »« Oui, Merci Oumar. »Visite de courtoisie de pure forme au ministère, mise à part une attente de une heure trente dans le vestibule. Marque d’autorité de la part du ministre ?A la sortie, Oumar me fait part de son regret de n’avoir pu réparer l’incident.« Ce n’est pas grave, Oumar, de toutes les façons la journée est terminée. »Nous arrivons en pleine transpiration à la villa.« C’est bon Oumar, tu peux aller prendre une douche ! La journée est finie. »« Monsieur veut que je prenne une douche ?« Bien oui, cela me paraît indispensable, non ? Moi je vais faire pareil. » Il me semble interloqué par ma proposition...Nous rentrons. Le temps de poser mes documents dans mon coffre, je pénètre dans la cuisine pour boire une bonne bière fraîche. Visiblement je surprend Oumar et Koffi en grande discussion et semblant bien rigoler. Assurément mon entrée les gène, Oumar s’éclipse et Koffi me demande ce que je souhaite.« Une bière fraiche, stp »Je vous l’apporte dans le salon, Monsieur. »Une fois la bière avalée, je rentre dans mon dressoir, me déshabille et m’introduis dans la salle de bain pour un bon bain frais. Un bien fou. Je décide de m’étendre ensuite un moment en clim dans ma chambre. J’y entre, à poil bien sûr.A ma complète stupéfaction, je découvre allongé sur mon lit, mon Oumar complètement nu, étendu sur le dos, jambes semi-écartées, bras derrière la tête sur un coussin, visiblement en demi érection, et qui me décoche un sourire que je qualifierai d’invite.J’avoue être absolument interdit et subjugué à la fois par ce magnifique corps d’Adam noir ébène.« Mais Oumar ? Que fais-tu tout nu sur mon lit ? »« Mais Monsieur, je vous attendais ! Vous m’avez dit d’aller prendre ma douche. »« Mais Oumar ? Enfin... Oui, euh oui...Oui, bien sûr (j’en bredouille). Mais quel rapport ? »« Mais avec ma patronne c’était ainsi à chaque fois quand elle me demandait de me doucher ! C’est pas ça ? Vous voulez pas ? »J’avoue être absolument estomaqué. J’ai du avoir l’air vraiment con quelques instants. Je le vois alors plier en deux son corps de Dieu grec pour se lever du lit.« Excusez-moi, Monsieur, j’avais cru... Je suis vraiment désolé. »« Mais non, mais non Oumar. Non, non... » Je bafouille complètement et ne sais quoi lui dire exactement.Apparemment rassuré, il reprend sa position initiale, m’offrant à la vue son sublime corps sculptural. Je remarque que cette fois-ci, il a perdu son érection. Il a un sexe magnifique ! Il m’adresse alors un sourire à faire fondre les dix mille soldats chinois de l’empereur Qin.J’avoue être complètement figé et j’hésite entre l’envie pressante de me jeter sur ce corps pour le dévorer à pleines dents et celle de m’asseoir dans un fauteuil pour le contempler en toute gourmandise.J’opte pour la ligne médiane. Je m’approche dans un premier temps de mon lit pour le contempler à demeure. Quelle anatomie magnifique ! Un très charmant visage au sourire enjôleur et au regard pétillant de malice, une puissante attache du cou lié à un torse vigoureux avec des pectoraux très développés aux tétons noir jais très marqués, un fin bouquet de ...

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