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Aventure au Togo 2

Publié par : pierre49590 le 03/01/2023

Je vis des instants merveilleux, totalement repu sexuellement, avec, contre moi enlacé, un mec magnifique dont je sens la lente mais puissante respiration contre mon torse, ce souffle qui me fait frissonner tout comme sa forte odeur de sa sudation et la chaleur de son corps.Nous demeurons encore plusieurs minutes, encore dans la transpiration de plaisir de nos peaux encore chaudes, à nous écouter gentiment respirer corps à corps, tout en bénéficiant de la fraicheur de la climatisation.Puis subitement, il me pose cette question : « Monsieur, vous connaissez bien votre cuisiner Koffi ? »« Oui, comme on peut connaître un homme depuis deux jours ! »Un ange passe...« Pourquoi ? »« Et vous n’avez jamais rien fait avec lui ? »Je m’esclaffe. « Non, absolument pas. Pourquoi, il aime ça ? »« Ben tout à l’heure dans la cuisine, je lui ai demandé son conseil sur l’histoire de la douche. »« Quel conseil ? »« Je lui ai expliqué ce que faisait mon ancienne patronne, l’ambassadrice. Alors je voulais lui demander si avec vous, à son avis, c’était pareil ! Comme vous m’aviez demandé instamment de me doucher »« Et que t’a-t-il répondu ? »« Il m’a dit que je n’avais qu’à essayer ! »« Dis donc, pas sympa de sa part, il t’a fait prendre un sacré risque tout de même »« Il m’a dit que lui il aimait ça et qu’il vous avait trouvé très sexy. Et que si je voulais bien, je pourrais peut-être vous demander, quand on aura fini, s’il pourra rentrer dans la chambre nous rejoindre... »J’éclate de rire ! « Et bien il n’y va pas de main morte ! Et il est où là ? »« Il m’a dit qu’il attendrait derrière la porte... » « Et toi, tu en penses quoi ? »« Moi, si Monsieur veut, moi je suis d’accord avec Monsieur. »« Tu es prêt à remettre ça ? »« Bien sûr Monsieur ! Avec Madame, je faisais ça plusieurs fois de suite ! »« Allez va le chercher ! »Dans la foulée, je l’entends appeler « Koffi, tu peux rentrer ! »Et apparaît presque immédiatement, et par l’entrebâillement de la porte, le visage souriant aux yeux de braise de Koffi.« Je peux rentrer Monsieur ? »« Allez, viens nous rejoindre, le lit est assez grand pour trois ! »Et apparaît mon Koffi, en tenue d’Adam, le sexe complètement en bataille et d’une taille qui me stupéfait, au moins 30 cm ! Il rejoint sans complexe notre lit d’une démarche plus que gracieuse, tout comme dans un défilé de mannequins. Je le contemple avec ravissement. Il est beaucoup plus fin qu’ Oumar mais parfaitement proportionné, plutôt musclé et taillé en V. Ce qui me fascine c’est son chibre, très long et fin, circoncis également, et avec de belles couilles bien proportionnées. Son gland est d’un rose clair très surprenant. En revanche, lui semble totalement rasé. Il monte dans le lit avec grâce, félinement presque dirai-je, et nous rejoint.Une fois réunis, il vient se coller à moi et m’embrasse avec fougue. Il est doué le bigre ! Il est très excité. Il se love tout contre moi comme un serpent en me caressant avec douceur. Oumar, à genoux dans le lit, nous regarde avec un sourire. Je sens le long sexe dur de Koffi collé à moi. Comment ne pas le sentir. Ses caresses sont douces, précises et très expertes. J’apprécie beaucoup. Je fantasme surtout en imaginant ses belles mains fines courir sur ma peau...« Tu vas nous regarder longtemps comme ça Oumar ? »« Euh, non Monsieur. » Il se rapproche, écarte un peu Koffi de mon corps et s’empare de mon sexe avec la bouche. Hum ! Quel bonheur ! Nous profitons bien de toutes ces gâteries si délicieuses, dans les effluves si caractéristiques de la lotion de Foucauld de Koffi. Baisers à trois, suce de deux queues en même temps avec les mains pelotant ces deux belles paires de couilles pendantes. Visiblement Koffi est le plus actif et semble déchainé.Quelques instants plus tard, Koffi se recule, se positionne délicieusement comme une vraie pute, à quatre pattes, et me présente ainsi, les reins complètement arqués, son magnifique fessier. Il tourne en plus son regard vers moi avec un clin d’oeil engageant, tout en tortillant du cul.C’est trop tentant. J’entame illico un bouffage de cul en règle. Il est déjà trempé. Sans doute nous a-t-il espionné auparavant nos ébats et se trouve-t-il déjà au maximum de son excitation. Il a du aimer nous mater. Nous étions bien trop occupés pour nous en rendre compte... S’est-il branlé en nous chouffant ? Je me positionne en faisant signe à Oumar de s’installer en face pour se faire pomper par Koffi pendant que je le baiserai. Koffi lui comprends tout intuitivement, Kodjo moins rapidement. Visiblement, les mecs, il ne connaissait pas. La pénétration se fait sans aucun problème. Je me décalotte à dessein que très lentement, compte tenu de son cul trempé. Je pense qu’il s’est vraiment bien préparé auparavant. Je suis doublement excité par la vue de ce corps luisant de danseur qui se contorsionne de plaisir littéralement sous mes coups de boutoirs et du spectacle de mon corps d’athlète d’Oumar se faisant goulûment pomper le jonc. Koffi tient le vit de Oumar d’une main et visiblement l’autre main va se balader sur les couilles et entre les deux fesses de mon Dieu. Bizarre, il ne semble pas rechigner au pelotage de son fessier cette fois-ci. A chaque coup de rein de ma part, je le vois s’empaler encore plus profond sur le sexe de mon conducteur. Je lui claque les fesses avec violence, elles deviennent très vite encore plus colorées et cela semble lui plaire. Il lâche un instant la bite de Oumar pour me gueuler :« Oui, Monsieur, faites-moi mal, plus fort ! Griffez moi ! Défoncez moi à fond ! J’adore votre gros bengala que je sens tout au fond de moi ! »Puis, il se réactive sur le gland gonflé à éclater d’Oumar qui, lui, côtoie alors le Nirvana, les yeux un peu révulsés et moi au Paradis avec mon sexe dans ce corps chaud palpitant de plaisir, d’autant qu’il sait délicieusement bien faire jouer ses sphincters qui m’enserrent parfois ma bite à l’extrême, cette belle petite pute ! Je crois qu’Oumar et moi avons joui ensemble. Que du bonheur. Il a crié un ahhhhhh très fort. Moi, je crie rarement dans ces moments. Quelques derniers grands coups de reins bien à fond pour encore mieux décalotter encore une fois au maximum mon prépuce avant que je ne débande. Puis je me retire pour constater que Koffi avait apparemment lui aussi éjaculé pendant l’action, compte tenu de la tache de sperme sur mes draps. Il ne veut pas lâcher la bite de mon Dieu grec qui se voit contrait d’user de sa force pour le faire céder. Il continue à faire jouer ses sphincters et j’aperçois alors tout mon sperme couler de son anus complètement ouvert.Epuisés nous nous allongeons l’un contre l’autre afin de récupérer un peu...C’est enchanteur. Je suis au milieu de deux beaux mâles qui me collent au mieux. Oumar a retenu la leçon précédente et pose sa tête sur mon torse, m’enserrant le sexe de sa main droite. Koffi me lèche les oreilles au plus profond possible et me donnent des baisers délicieux. Je profite de toutes ces senteurs de transpiration, spermes, lotion de Foucauld dans le doux ronron du brasseur d’air et la fraicheur de la clim.Oumar est immobile. Mais Koffi entame un léchage en bonne et due forme de tout mon corps, du moins sur sa face avant. Quel bonheur et quelle chance que j’ai d’avoir récupérer ce poste dans ces conditions !!!Après un bon moment de calme (enfin, relatif) Koffi se tourne alors vers Oumar et commence à s’occuper de lui. C’est un maitre, vraiment. Très vite, mon conducteur reprend de la vigueur. Quel tempérament !Mon cuisinier en profite pour monter sur lui et s’empaler sur son vit. Il commence tout de suite des mouvements alternatifs qui s’accélèrent, provoquant ainsi le balancement de son sexe si long ! Le spectacle est magnifique. Tout en me branlant, je dévore des yeux le jeu des abdominaux tendus d’Oumar et ses mouvements de bassin qui balancent violemment son partenaire en hauteur qui, lui, retombe avec quasi béatitude sur cette pieu si raide. Koffi gueule de plaisir, Oumar gémit d’extase et moi j’éjacule à la vue du jet puissant de sperme de Koffi qui arrose un peu tout autour, compte tenu de son balancement...Je crois que l’on a explosé presque ensemble. Koffi s’affale sur ...

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