Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être. J’aime bien de temps en temps me faire plaisir sexuellement avec son accord.En ce mois de novembre, il faisait déjà noir et pas chaud, mais bon quand l’envie est là. J’étais habillée d’un chemisier blanc qui se fermait par le devant, une jupe dessus genoux, des bas autoportants et surtout un long manteau d’hier. Tout le monde me dit que pour mes 50 ans je suis une superbe femme. Il faut dire du haut de mes 1,76 m pour 52 kg et mes petits seins 85 B qui sont très fermes pour mon âge, attirent très souvent les envies des hommes et couples.Ayant eu une journée de merde, je voulais me détendre un peu l’esprit et lors des journées difficile, j’aime bien aller prendre un bon bol d’air avant de rentrer à la maison. La gare d’eau de Béthune est un lieu intéressant, reposant avec les canards, les cygnes et autres animaux mais aussi c’est un lieu de rencontres référencé sur ce site, et puis qui sait ce qu’il se passerait si jamais…En arrivant et me stationnement j’avais remarqué un couple qui descendait de leur voiture pour se diriger dans le parc boisé. En descendant de voiture, je me décidais de les suivre à distance. Malheureusement le temps de descendre, de fermer la voiture je l’ai ais perdu de vue. En essayant de les retrouver dans le parc, mon attention a été attirée par des gémissements rythmés d'une femme en train de faire l'amour. Cela venait d'un bosquet situé un peu à l'écart, certainement ce couple qui voulait profiter de ce début de soirée pour s'offrir une partie de baise au grand air. Coquine de nature et curieuse, je me suis approchée sans faire de bruit pour voir d'un peu plus près ce qui se passait.Au détour d'un petit sentier tout juste praticable, j'ai effectivement aperçu un couple qui était en pleine action. La fille était appuyée le dos contre une pile de tronc coupés les fesses écartées à l'homme qui la léchait. La peau très mate, des cheveux longs et frisés retenus par une pince, elle ne devait pas avoir plus de 35 ans ! Elle portait un chemisier rouge foncé ouvert laissant ses seins menus à l'air et une jupe ample relevée sur ses reins. L'homme, largement son aîné, était un bel athlète brun certainement bodybuildé… Une quarantaine d’années bien tassées. Il tenait la fille par les jambes et, ayant déplacé le cordon du string sur une fesse et il la broutait intensément. Je restais à les observer à un bon cinq mètres, caché par le tronc d'un arbre. C’était très excitant de les observer et machinalement ma main droite s’était dirigée vers mon entre-deux jambes et je commençais à me caresser. Hélas ou pas pendant que mes doigts s’attardaient sur mon clito, j’ai lâché un petit cri. Là la fille a repoussé son suceur et elle m’a aperçu. Elle s’est dirigée vers moi et sans rien dire, ma prise par la main pour se rapprocher de son mari. Son visage était à quelques centimètres du mien et je sentais son souffle sur ma peau, je pouvais sentir son parfum, et quelque chose d’autre. Mon corps envoyait des signaux familiers à mon cerveau, déroutants dans le contexte. Viens. Je vous veux tous les deux, ensemble. Ses yeux brillaient d’une lueur humide et mon souffle s’est arrêté lorsque j’ai pris conscience de la situation. « N’aie pas peur », a-t-elle murmuré, sentant mon tremblement. « Tu vas adorer ce plan à trois, tu verras. »Arrivé près de son homme, elle s’est alors pressée contre moi, m’embrassant. « Je voulais ça, tellement, depuis si longtemps maintenant. Je vous veux, je vous veux tous les deux ». Un tremblement de peur m’a traversée en pensant au couple et à son homme qui nous voyait nous embrasser appuyé contre un arbre. J’ai essayé d’imaginer sa réaction : la luxure, la fureur, l’incompréhension ?« Tu le feras, tu dois le faire. J’en ai besoin », m’a-t-elle dit, mais il n’y avait pas de supplication, seulement un constat. « Je veux lui et toi. Partage-le avec moi », m’a-t-elle murmuré. « Ce sera si bon, tu verras. ». Elle a retiré ses lèvres des miennes et m’a tourné pour faire face à son homme, se glissant derrière moi, ses bras entourant ma taille, sa tête dans mon cou. « Il s’appelle Jérémy et c’est un super bon baiseur, tu ne seras pas déçue », dit-elle, ses lèvres à mon oreille. « Ce soir, nous allons réaliser notre fantasme grâce à toi. J’espère que c’est l’un des tiens aussi. » J’ai senti alors ses mains glisser sur mon corps et mes seins. « Tu vois ça », me dit-elle à mon oreille, « il te veut, il nous veut toutes les deux. »Sa langue a léché le lobe de mon oreille, puis a décrit un cercle à l’intérieur, me faisant soupirer et fermer les yeux. Une main a glissé jusqu’à ma taille et s’est glissée sous mon chemisier, le long de mon ventre, le bout de ses doigts effleurant ma peau. L’autre a quitté mon sein et a commencé à me déboutonner ; j’ai ouvert les yeux pour voir Jérémy, c’est ce qu’il voulait. Elle aussi voulait cela. Le haut de mon chemisier s’est ouvert, et son autre main a fait remonter sur ma poitrine, et j’ai senti des doigts féminins et insistants saisir mon téton, un bout de doigt en effleurer le mamelon « Tu vois mon amour, elle te veut en plus c’est une coquine elle ne porte pas de sous-vêtement. » Elle a fini de déboutonner mon haut, ses deux mains caressant maintenant mes seins. Ses mains étaient sous mes seins et elle les a fait glisser vers le haut, présentant mes seins à mon mari. Le doigt et le pouce ont saisi mes mamelons et les ont taquinés, puis tirés et pincés, et j’ai laissé échapper un faible gémissement, en fixant son mari. « Elle est tellement excitée par toi, Jérémy. Moi aussi. ». Elle a relâché un téton et sa main s’est soudain retrouvée entre mes jambes, pressant l’entrejambe contre mon sexe. J’ai haleté. « Et moi aussi, j’ai envie. » Ses mots m’ont fait frissonner. Je me faisais molester par une femme devant mon mari. « Viens ici, Jérémy ; suce ses jolis seins »Oh, mon Dieu, je voulais qu’il le fasse, mais en même temps, je savais que s’il bougeait, je ne savais pas où elle mènerait. Je l’ai regardé ; je ne sais pas ce qu’il a vu dans mes yeux. Il n’a hésité qu’une seconde. J’ai vu du désir avide sur son visage lorsqu’il s’est approché du sein que sa femme lui offrait, puis ses lèvres se sont posées sur mon mamelon, et il l’a sucé, fort. J’ai senti un élan de passion parcourir ma poitrine jusqu’à ma chatte, où sa femme me pressait encore. Mes mains ont trouvé sa tête, et je l’ai maintenue là, sentant ses lèvres, sa langue, puis ses dents. Ma tête est retombée sur les épaules de sa femme et j’ai gémi à voix haute alors que le désir m’envahissait. J’ai senti des mains soulever le plus haut possible. Les lèvres de Jérémy étaient sur les miennes, maintenant, elles m’embrassaient et je lui rendais son baiser avec ardeur, mes mains dans ses cheveux, les siennes sur mes épaules, nos langues profondément enfoncées dans nos bouches respectives. « Oh, putain », a dit Jérémy dans ma bouche, et il s’est retiré. J’ai vu ses yeux grands ouverts, et j’ai baissé les miens pour voir sa femme qui avait sorti sa queue de son pantalon et avec sa bite dans la bouche. J’ai regardé fixement, incapable de détourner le regard, la tige dure de Jérémy émerger des lèvres de sa femme, mouillée et luisante de salive. Sa main le saisit à la base et elle pompe lentement sa tête. J’adore sa bite, dure et ferme, mais la voir sucer par quelqu’un d’autre était séduisant, fascinant et follement érotique. Je regardais fixement, abasourdi et hypnotisé par le spectacle ; si beau, si sexy.Sa femme s’est retirée, le tenant toujours avec sa main, et s’est retournée pour me regarder. « Putain, c’est magnifique », m’a-t-elle dit, « et délicieux ». Elle m’a encore fait un sourire complice, comme si j’étais dans le même bateau qu’elle au lieu d’être emporté par sa passion. « Et ça », a-t-elle ajouté en tournant la tête pour me faire face, « ça a l’air tout aussi bon ».Je suis restée là, bouche bée, alors qu’elle déplaçait sa tête à la jonction de mes jambes et appuyait son visage sur ma chatte rasée. J’ai senti son souffle, chaud sur mon sexe, puis ses lèvres embrasser ma chatte. J’ai senti une poussée d’humidité à l’intérieur, mes jambes ont vacillé et se sont affaiblies, puis sa langue a léché le haut de ma fente, s’enfonçant en moi, arrêtée par mon ventre. Mes mains ont cherché sa tête mais ne l’ont pas repoussée, et mes hanches se sont inclinées d’elles-mêmes vers l’avant. J’ai senti sa langue glisser plus loin, j’ai senti mes sucs se répandre lorsqu’elle les a séparés, et je me suis tournée vers Jérémy. Il me regardait avec admiration et émerveillement. « Oh, Jérémy, » j’ai couiné, « elle est en train de lécher ma chatte ! Elle me fait un cunnilingus ! « Putain, elle est chaude Jérémy », l’ai-je entendue dire.J’ai senti des doigts entre mes jambes, pressant à l’intérieur de moi, deux, ceux de Jérémy, je pouvais le dire, et j’ai gémi. « Oh, mon Dieu, c’est si chaud. ». J’ai ouvert les yeux fixant les doigts de Jérémy qui me pénétraient, caressant l’intérieur, pressant mon point G. Il a déplacé son pouce vers mon clito ; je pouvais sentir à quel point il était dur, et le premier contact m’ ...

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