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bas nylon (suite de collants nylon)

Publié par : thimau le 19/01/2023

Nous sommes le troisième jour et en attendant le facteur, j'ai enfilé le shorty en dentelle et les collants en nylon sous mon short en jean et j'ai mis un polo blanc afin de mieux mettre en valeur mon bronzage.Le facteur tarde et quand il sonne, je me précipite pour lui ouvrir. C'est bien lui avec sa gueule d'ange et son uniforme. Dès que nos regards se croisent, je sens ma verge durcir dans mon shorty. Je regarde au niveau du sexe du facteur et je suis persuadé que lui aussi a le sexe tendu. Sa main frôle la mienne quand il me remet son stylo pour signer le document de la Poste et l'émotion est vive pour moi. Mais de façon surprenante, ce n'est pas sur le devant mais derrière le shorty que la sensation me chauffe : mon anus se serre et se détend à un rythme endiablé et je sens mon rectum qui se convulse également. Je parviens tout juste à éviter des mouvements saccadés de mon bassin et heureusement car le stylo tombe et le facteur frôle ma bosse avec la bouche en se baissant pour le ramasser. Nos regards se croisent de nouveau et ils s'illuminent tous deux (c'est l'impression que je ressens). Il ramasse le stylo et me le tend de nouveau et cette fois encore, nos doigts se touchent délicatement. Je signe et il repart en me disant être pressé par le travail. Il a un air coquinement mystérieux.Le colis est plus gros que les précédents et il me tarde de l'ouvrir : la même enveloppe rose que j'ouvre avec une légère appréhension mais surtout de l'excitation. "Loig, tu exagères : hier, tu n'as pas respecté les consignes une fois de plus. Aujourd'hui, c'est plus important : tu dois vraiment attendre 22h avant d'ouvrir le paquet argenté ; il contient une deuxième enveloppe rose qui t'expliquera comment procéder."Je décide de me plier aux injonctions et la journée est longue, les révisions sont très peu bénéfiques. Il est 21:59 et j'ouvre le paquet. Je lis la lettre de l'enveloppe rose : "Loig, ouvre tes rideaux et laisse la lumière allumée. Déshabille toi et revêts la tenue, sans oublier ton shorty en dentelle. Ensuite, tu appliques le bandeau sur tes yeux et quoi qu'il se passe, quoi que tu entendes, tu attends debout face à la porte vitrée."Je n'ose imaginer : il y a un porte-jarretelles blanc et des bas en nylon blancs, une mini (très mini) jupe blanche plissée et un chemisier transparent blanc, lui aussi et un large bandeau noir en velours. J'enlève mon short et mon polo blanc et je me pare de cette tenue des plus féminines. Les bas glissent sur mes mollets et mes cuisses en excitant mes sens, une fois encore au niveau de mon anus. Mon esprit est embrumé par ces nouvelles sensations. Au dessus des bas maintenus par le porte-jarretelles, je fixe la jupe et revêts le chemisier. Avant de me bander les yeux, je me regarde dans le miroir et je me trouve bandant(e) au point de ressentir une érection qui comprime mon sexe dans le shorty. Je suis terriblement troublé : jamais je n'aurais cru bander pour un mec, habillé en femme et qui plus est c'est moi-même ! Oui, je me fais bander en me regardant dans un miroir ! Là encore mes sensations d'excitation anale se réveillent. Je me redirige vers la porte vitrée et je place le bandeau sur mes yeux.Quelques instants après, j'entends la porte du studio qui s'ouvre ; je n'ai même pas peur, j'ai confiance en celui ou celle qui a provoqué cette situation et c'est encore au niveau de mes fesses revêtues de ce doux shorty que mon excitation profonde se manifeste. Un souffle caresse mon cou dans lequel est déposé avec beaucoup de volupté un baiser des plus doux. Des bras m'enserrent et j'entends cette voix doucereuse me dire "Loig, tu es vraiment très belle dans cette tenue.". Je crois connaître cette voix. Les bras me font tourner sur moi-même et j'entends : "tu es super bandante !". La voix me paraît masculine mais je n'en suis pas sûr. Des mains viennent prendre les miennes avant de se promener sur tout mon corps ; je sens le souffle de mon partenaire s'approcher de mon visage et ses lèvres viennent en contact avec les miennes. Toute cette volupté m'émeut et mes lèvres laissent s'échapper un soupir de bien-être. "Bruno, je m'appelle Bruno", me dit-il en posant délicatement son index sur mes lèvres entrouvertes, "je suis le fils de ton propriétaire, le facteur, et j'ai installé plusieurs caméras dans le studio pour me délecter de ta beauté. Tu m'excites tellement !" Bruno immisce sa langue dans ma bouche et nos langues entrent dans une danse sensuelle qui m'excite de partout. Il fait tomber mon bandeau et mes yeux plongent dans les siens. Je suis en train de fondre et tous mes sens m'indiquent "sexe, sexe et sexe". Mes mains se libèrent et viennent se poser sur le chibre gonflé de Bruno. Je n'ai jamais touché une autre verge que la mienne mais là, j'en ai trop envie. Je défais son short et son boxer et atteint le membre convoité de celui que je considère désormais comm ...

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