Depuis un mois, le nouveau jeu de Greg éde fouet. Plutôt que de me baiser brutalement, il préférait lardé mon corps de coups de cravache et de fouet. Il lui était arrivé de jouir rien qu'en m'entendant pleurer et hurler sous ses coups. Et moi connasse, je n'osais pas m'avouer que cela m'excitait terriblement et qu'il m'était arrivé d'avoir plusieurs orgasmes lorsque la cravache frappait mes seins ou ma chatte. Le fouet, j'aimais moins car cela me laissait des traces qui mettaient longtemps à se résorber. Je ne pouvais plus me rendre au Yoga ou à la piscine car les lignes bien marquées du fouet sur mon dos ou mon ventre auraient attirer l'attention. Ma hantise, c'était que ma fille, débarquant à l'improviste, s'aperçoive de ma dégradation.Un jour Greg me téléphona pour me dire de me préparer pour une surprise. Je frémis d'angoisse, car je commençais à les connaître ses surprises. Hélas, je ne fus pas déçue. Il m'emmena en voiture à plusieurs kilomètres de la ville dans une zone industrielle glauque et en grande partie désaffectée. Il arrêta la voiture sur le parking désert d'une usine à moitié en ruine. Après avoir monté un escalier en béton, nous entrâmes dans une grande pièce qui fut sans doute jadis une grande salle de travail.- Déshabille-toi.Je savais que sur ce ton, je n'avais guère de choix et je me retrouvai nue dans cette grande pièce. Il sortit une corde et me lia à une poutre de soutènement. J'étais, nue, offerte et je ne savais pas ce que Greg allait faire de moi.J'entendis une voiture arriver, des portes qui claquèrent et deux individus pénétrèrent dans la pièce.- Salut Greg, puis en me toisant; c'est vrai que c'est une belle pièce.- OK dit Greg; alors comme convenu; 300 € chacun et je vous la laisse pour deux heures...pas plus, vous savez pourquoi.Ainsi, il me prostituait. J'eus beau le traiter de salaud, cela ne fit que le faire ricaner.- Salut, amuses-toi bien avec mes potes.Greg s'en allait...la panique m'envahit. Etre livrée à ses copains sans lui...malgré tout, je le considérait un peu comme mon protecteur mais là, être livrée à ces inconnus, sans sa présence.Durant deux heures, je subis toutes les avanies de ces brutes; attouchements, torture des seins et de la chatte, fist (j'ai horreur de ça), fessées, fouet, pénétration de l'un pendant que je suçais l'autre puis ils alternèrent. Je dus ramper devant eux, les supplier de me baiser sous peine de fouet, leur lécher les chaussures, avaler leur sperme avant qu'ils n'urinent sur moi en riant. Les deux heures parurent interminables mais lorsqu'ils déchargèrent pour la deuxième fois, je compris avec soulagement qu'on arrivait à la fin. Effectivement me laissant couchée sur le socle en béton, ils se rhabillèrent.- Alors la pute, on ne dit pas "merci".Etje fus obligée de dire merci à ses salopards qui m'avaient possédée pour de l'argent versé à Greg. A mon grand étonnement, au lieu de me laisser me rhabiller, ils me rattachèrent.- T'as pas fini ta journée de tapin...le meilleur est à venir mais on sera spectateurs. Un noir immense entra dans la pièce; il devait bien mesurer deux mètres et peser 100 kgs.- Salut les mecs. Greg avait raison; c'est une belle pute. Alors c'est vrai que t'es vierge du cul; pas un mec qui t'ait sodomisé jusqu'ici. Tu vas voir qu'avec moi tu en redemanderas.J'avais toujours refusé cela...même mon mari, qui pourtant était un adepte de la sodo, n'arriva pas à me décider. J'étais presque reconnaissante à Greg de n'avoir jamais user de cette voie. L'idée de me faire sodomiser par cette brute me rendit presque folle.- Je vous en supplie...pas ça; Je vous paierai; je serai votre esclave mais pas ça par pitié.- Ecoute salope; j'ai payé et j'ai payé cher pour te dépuceler le cul, alors ne crois pas que je vais renoncer; les vierges du cul se font rares aujourd'hui; les nénettes se font bourrer le cul dès leur plus jeune âge et Mamadou qui adore cela passe après les autres. Alors considères que tu es un morceau de choix...tu devrais en être fière.J'étais tétanisée...non, ce n'est pas possible; ce doit être un cauchemar.Mamadou en leva son pantalon et sorti un énorme sexe qu'il me fourra dans la bouche sans ménagement.Je m'appliquai à le sucer du mieux que je pouvais, espérant le faire jouir avant qu'il ne mette son horrible projet à exécution. Rien n'y fit; il me retourna brutalement, me fit mettre en levrette et s'approcha de moi. J'essayais ...

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