C’était l’été dernier.. en août.Ma femme Laurence était partie trois semaines en vacances avec sa copine Muriel.La Thaïlande c’est loin et je ne risquais pas de la voir revenir à l’improviste.De toute façon je me doutais bien qu’elle allait profiter à plein de son séjour là-bas. J’avais bien noté qu’elle mettait dans sa valise la plupart de ses tenues provocantes : maillots, shorts, robes bain-de-soleil..Et elle allait sûrement croiser plein de jeunes gars aux couilles bien pleines.. Une, et même deux touristes sexa c’est une occasion qui ne se manque pas..Bref je me sentais assez morose, uniquement occupé à arroser les plantes.Et je me suis décidé à draguer, moi aussi.. Avec mes moyens, retraité, cheveux gris, et une bite moins dure depuis quelque temps.Bref je hante les terrasses de café, quitte à revenir plusieurs jours de suite à la même table..Bingo !! Je fais connaissance avec une jeune femme, dans la trentaine, moi qui cherchais plutôt dans les quinqua-sexa..Brune, cheveux courts, lunettes de soleil, bonnes cuisses et seins lourds, une belle plante, quelques centimètres de plus que moi, très nature... Elle pourrait être ma fille, elle me plait.Elle a probablement pratiqué un sport style judo, athlé mais dans les lancers.Au bout de quelques jours en voisins de table je lui propose de venir chez moi, elle accepte tout de suite. Elle s’appelle Vanessa, moi c’est Marc, et c’est sympa de tomber sur cette femme qui sait ce qu’elle veut.Le lendemain je l’attends dans ma rue, c’est compliqué d’expliquer le chemin à l’interphone.Elle arrive pas trop en retard, elle porte un gros sac avec elle.En short fluo vert clair et débardeur noir elle ne passe pas inaperçue, surtout dans les rues désertes du mois d’août. En plus on voit bien que sa poitrine est libre…On trouve l’ascenseur, je suis au 7ème. Plus grande que moi elle me domine…On rentre, direction le salon. Et là : « enlève tes lunettes !! »C’est très autoritaire, je suis étonné mais je les pose sur la table.Aussitôt je reçois une gifle, très forte, en tout cas assez pour faire mal. Je porte une main à ma joue, c ...

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