C'était il y a quelques années, voire de nombreuses années, je commençais à me travestir mais pas encore question pour moi de sortir en fille en ville en plein jour.Près de la place Wilson à Toulouse, il y avait un cinéma porno dont j'ai oublié le nom et qui est aujourd'hui fermé, je pense.Je m'y étais rendu trois ou quatre fois mais en garçon, encore timide, et je me contentais de me faire sucer par quelques vieux qui fréquentaient ce cinéma.Mais les mois passant, l'envie était de plus en plus forte et un soir je me décidais : j'enfilais un porte-jarretelles et des bas noirs, un soutien-gorge et une culotte. Par dessus tout ça, un jogging et dans mon sac à dos ma perruque blonde et une petite robe courte et des talons.Je tremblais presque en prenant ma place et je fis un petit tour dans le cinéma où il y avait quelques personnes, essentiellement des hommes.Un passage aux toilettes où deux hommes étaient en train de se sucer, j'enlevais mon jogging mis ma robe, ma perruque et mes talons et je sortis pas très rassurée. Les deux hommes n'étaient plus là et j'en profitais pour mettre un peu de rouge à lèvres.Je remontais les escaliers pour rejoindre la salle obscure et je m'installais au dernier rang.Je n'attendis pas une minute quand je sentis derrière moi une main me caresser les seins. Immédiatement, mon voisin le lus proche se rapprocha de mon siège et commença à passer sa main sous ma robe, caressant ma jambe jusqu'en haut de mes bas.L'excitation montait et l'homme de derrière me dit de me retourner. Je me mis à genoux sur le siège et je me trouvais en face d'un très beau sexe, circoncis qu'il m'enfourna tout de suite dans la bouche. L'homme d'à côté remonta ma robe, descendit ma culotte, me pelota les fesses et commença à me mettre un doigt dans la chatte que j'avais lubrifiée à l'avance. Je sentais ma chatte s'ouvrir et très vite il y mit deux autres doigts et commença à me pistonner.Je poussais des petits cris ce qui déclencha la jouissance de celui qui était dans ma bouche et j'avalais avec délice ce sperme chaud. J'étais excitée au plus haut point ; je me levais et je me baladais dans l'allée ce qui ne manqua pas d'attirer l'attention de deux ou trois hommes qui m'entrainèrent jusqu'au balcon un peu plus tranquille.Ils me firent mettre à genoux et me présentèrent leurs queux en me traitant de salope, de traînée. Je suçais altern ...

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