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cómo no estresarse antes de una operación

Publié par : nature_bi le 04/07/2020

Descendre à Lyon avec la certitude le lendemain de ne plus pouvoir faire de rencontre avec un mec pendant l’été, enfin déjà que c’est compliqué à l'ordinaire alors à l'hôpital ! Cela dit rien ne m’empêche de rêver le contraire, mais je sais que c’est un fantasme à ce moment là.Je partais donc excité comme une puce, le boule en promo, avec 5 heures d’avance sans contrainte famille travail pour une nuit solo à l'hôtel avant une opération aux aurores le lendemain. Aire de Beaune arrêt technique. Il est temps d’enlever mon short long et de mettre mon short maillot de bains qui ne fait pas plus de 20 cm de hauteur, après l’insertion délicate de mon petit plug aneros de voyage. A poil derrière le coffre, personne ne m’a vu, enfin je pense. Je me serais fait démonter sur place sinon.Le t-shirt est court et laisse apparaître mes hanches bronzées dès que je hausse une épaule. En crocs, avec le charme d’un vacancier allemand, il ne me fallait pas plus de 5 secondes pour me retrouver à poil. Du genre facile à éplucher, je remonte dans ma caisse grisé par cette disponibilité. Il fait chaud, beaucoup de touristes sur la route. Je songe à cette soirée où je pourrais accueillir un mec à mon hôtel, mon annonce déposée sur LDD. Mais pourquoi pas un petit plan sur la route ? A la hauteur de Mâcon, aire d’autoroute sans station service, il est presque 14H. Clignotant à droite pour une visite et arrêt car j’ai des alertes sur LDD. Pas très agréable ces touristes qui occupent toujours les lieux en masse. Je vais pour repartir, mais étrangement vers la sortie, le long d’un bosquet personne ne stationne.Je m’engage sur le petit chemin fléché pour les camping cars et me gare.Une discussion s’entame sur LDD et je me satisfais de penser que le type viendra me rejoindre à l’hôtel à 21H30. Trois voitures ont fait une pause à quelques mètres de la table de picnics sur laquelle je me suis installé, mais pas de dragueur. L’affaire ou le lapin est dans le sac, le projet vaut sur les certitudes : ce qu’il y a de sûr, c’est que c’est le calme plat ici. Je file à la clinique pour un ultime RDV. Je renfile le short long pour me présenter convenablement. Il faut aussi que j’achète à manger et des capotes.Trafic assez fluide finalement, je dépose des affaires à la clinique. Il me reste à faire des courses et je dispose de 3 heures pour … visiter le parc Lacroix Laval, un lieu de drague découvert bien entendu grâce au susdit site ….***** Presque une heure de perdue pour faire ces courses. Trouver un commerce en banlieue est toujours galère. Je n’ai pas acheté les capotes à la supérette, les caissières étaient à peine majeures. J’ai pu me fournir à la pharmacie juste en face, c’était plus marrant de faire se retourner les mémés et de ne pas craindre la réaction de la pharmacienne. Ce sera tout ? oui merci - je n’ai même pas osé prendre du gel.16 H j’arrive en trombe sur le parking et vais me garer tout au fond. J’y suis déjà venu une fois en repérage, et je n’ai d’ailleurs rencontré personne, à peine quelques mouchoirs. La partie que j’avais visitée était assez exposée aux promeneurs qui sont nombreux. J’avais même pu observer un service de sécurité. Donc prudence, je ne sors pas mon drap car je ne compte pas m’installer trop longtemps : il faut rester furtif.Mais pas trop discret. Je m’affaire devant mon coffre, retire le short long pour revenir au court, prépare mon sac de course fourre-tout. De l’autre côté du parking, un trentenaire jean chemise casquette-française lunettes, petit sac à dos, belle prestance, que j’avais aperçu vers l’entrée s’est approché et se manifeste à distance. Comme je sais qu’il m’observe, je mets la clé de voiture dans la poche intérieure de mon short de bain en me retournant vers lui puis prélève des mouchoirs un à un de la boîte pour les mettre dans mon sac.Persuadé qu’il n’a rien loupé et que mes gambettes n’ont pas pu le laisser indifférent, je ferme le tout et m’engage sans tarder vers le fond du parc, comme si je connaissais les lieux. Je ne me suis retourné qu’une seule fois, et j’ai constaté qu’il avait embrayé. Je me suis donc mis en quête d’un coin abrité, zigzaguant un peu. Je repère un dévers, une haie d'arbustes le borde et empêche de voir la pente depuis le chemin qui le longe. A quelque mètres je repère des traces de passage et m’engouffre sans peine. Je me retrouve immédiatement sur une petite clairière en pente, complètement à l’abri des regards. Debout, on peut discerner les promeneurs qui circulent sur le sentier au dessus. Assis, je n’ai plus ce point de vue et j’attends que mon gavroche se présente. Mais au bout de 2 minutes, toujours pas un bruit. Il connaît peut être un autre chemin pour arriver à cet endroit. Affolé par l’idée qu’un autre promeneur me l’emmène, j’enfile mon t-shirt et remonte prestement à hauteur du chemin. Je me tiens sous un arbre et lui est encore dans les herbes hautes qui bordent le bois. Il pose sa main sur son sexe et je le salue aussi de cet façon en retour. Il s’approche, je le regarde dans les yeux, découvre son doux visage, ses yeux clairs, mais lui n’ose pas. A ma hauteur il toussote et ose en me fixant : — Bonjour, vous cherchez quelque chose ici ?Son approche me surprend un peu, j’espère qu’il a compris quand même. Avec la même convenance, je réplique— Je ne connais pas bien ce parc. Peut-être pourriez vous me montrer ? Je viens de lui mettre la main au panier et il enchaîne en me contemplant :— Ca va vraiment être une excellente fin d’après-midi.— C’est exactement ce que je me disais..Je fais mine de le suivre pensant qu’il a un meilleur coin à me proposer. Mais il m'entraîne là où j’étais. Quelques échanges sur la vigilance que nous devons conserver : je suis déjà à poil et lui dans tous ses états. Il veut savoir mon nom et m’annonce qu’il s’appelle Sébastien.**** A l’ombre des chênes nous entamons notre séance, l’envie partagée, le sourire aux lèvres. Je l’embrasse dans le cou pendant qu’il déballe sa queue. j’enlève son t-shirt et lui caresse les seins. Son sexe n’est pas le plus long que j’ai rencontré, mais il est dressé, légèrement incurvé vers le haut et orné d’un gland bien dessiné, ferme et brillant. Accroupi, j’approche ma bouche et ma langue s’enroule autour ce cette boule douce. Délicatement, j’en redessine les contours. Je l’avale et ce sont mes lèvres qui viennent maintenant serrer et jouer avec le pli boursouflé de cette extrémité en forme de casque de pompier.— Oh Arnaud. Se plaît-il à dire. C’est vraiment une très belle fin d'après-midi.Pour ne pas aller trop vite alors que j'étais prêt à le gober à fond, je me relève et me plie pour reprendre mon jeu de langue à la base son gland et l’étendre sur son frein. Son souffle se fait entendre et je suis motivé par cette excitation que je sens monter. Pendant ce temps, ses mains s’abandonnent sur mon cou et mes seins ainsi que ma croupe que je n’ai pas oublié de lui rendre accessible.A l’issue des palpations découvertes de mon corps, ses doigts cheminent entre mes fesses et rencontrent mon petit plug. Après un léger recul, ils entreprennent l’inspection de l’équipement. Sebastien semble sourir intérieurement. Une fois de plus son souffle et ses râles traduisent une pleine satisfaction. Il se décide rapidement à jouer non sans délicatesse avec l’extrémité apparente. De mon côté, je sens qu’il en veut à mon cul et je suis ravi d’être entrepris ainsi. Je l’avale désormais à fond, contient mes étouffements pour ne pas faire de bruit.— Oh Arnaud… ArnaudIl m’a demandé mon prénom pour pouvoir le dire à chaque fois que ses joies l’affolent. C’est une première pour moi, je trouve ça tellement charmant.Il n’en peut plus, il a besoin de posséder le corps que je suis heureux de mettre à sa disposition. Il me fait relever, m’embrasse, m’enlace, me tient par mon plug ou par ma bite qu’il fait bien bander. Son souffle et ses râles redoublent quand il lèche et gobe mes piercing. Il commence à me sucer, me malaxe les seins ou me gode avec mon jouet. Il me complimente sur ma grosseur et se régale en me procurant bien des plaisirsJe décide d’enlever mon jouet tandis qu’il me suce et m’arrache à nouveau les seins. Il me fait mal, mais je cherche à ne pas trop le montrer. Son désir est furieux et ça me plait je ne veux pas le couper. Il s’est assis pendant que j’inspecte mon plug qui est parfaitement propre: je vais pouvoir m’offrir sans complexe et cette perspective me rend encore plus vicieux. J’ai l’idée de lui montrer l’objet après l’avoir essuyé et décide de lui faire découvrir les sensations qu’il procure en le posant à l’entrée de son fondemen ...

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