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Dans l'avion vers Nouméa

Publié par : pierre49590 le 31/12/2022

Pas mal d’années déjà, si je fais le compte. Je suis dans l’avion pour la Nouvelle Calédonie. Je viens juste d’embarquer.J’ai, comme on dit aujourd’hui, « plutôt les boules ». D’abord par ce que je suis missionné pour un audit que d’une semaine dans une région que j’aurais aimé avoir le loisir de découvrir, et ensuite parce que je vais me payer 22 h d’avion ! Et surtout parce qu’il y aura un décalage horaire de dingue à l’arrivée tout comme au retour. Et en une semaine, difficile de récupérer son cycle de sommeil. Cerise sur la gâteau, la boite m’a réservé une place tout au fond de l’avion. Enfin, au moins coté hublot.Je suis arrivé le premier dans l’avion. Une fois installé, je constate qu’il y a finalement peu de monde qui se présente. Puis, tout à coup, je distingue à l’avant, un jeune adolescent qui parle à l’hôtesse. Elle lui désigne l’arrière de la carlingue.Je le détaille au fur et à mesure qu’il progresse. Jeune de 17 ans environ, complètement rouquin vif et à la chevelure bouclée, fine petite barbe, un flamboyant jogging complet rouge vif, a priori d’une célèbre équipe US, et jeté par dessus son épaule un long sac de sport. Il porte un casque avec de gros écouteurs, comme à l’époque. Je le devine de loin mignon. Mais avec son approche, je le trouve carrément canon ! La providence me ferait–elle bénéficier de sa proximité ? La providence fut généreuse effectivement puisqu’elle lui attribua la place juste à coté de moi. Il me salue en me précisant qu’il occupera la place contigüe à la mienne. J’ai ainsi l’inespérée opportunité de le voir ouvrir la soute haute et d’essayer de faire entrer son gros sac à l’intérieur. Il est debout, face à moi, les bras tendus poussant son bagage. J’entrevois ainsi son haut de survêtement qui se soulève découvrant un magnifique nombril centré sur de beaux petits abdominaux à la peau très claire, un joli filet de poils roux frissonnants y nait en glissant vers son pubis. Son bas de jogging, qui tombe un peu dans l’effort, me fait même apprécier un amusant caleçon de coton blanc imprimé de petits motifs que je ne distingue pas nettement, et surtout, surtout, le long de sa cuisse gauche, la forme d’une belle bosse oblongue tombant vers le bas. Une fois le sac calé, il remonte tout naturellement ce pantalon souple plus haut pour le remettre en place, me faisant encore mieux discerner ainsi cette bite aguichante. Il s’assoit à ma droite. Présentations d’usage, blablas de circonstance. Moi mon boulot, lui ses vacances chez des amis de ses parents.Les consignes de décollage arrivent. L’avion est loin d’être plein. Il se tourne vers moi et me demande si cela me dérangerait de le laisser prendre par le hublot une photo du décollage. Que cela ne tienne, je lui propose même de lui céder ma place. « Je vous la rendrai une fois l’avion en vol. » J’en profite pour le tutoyer. « Ce n’est pas la peine. Tu sais pour moi les avions c’est comme la voiture. Tu pourras garder la place. » Il se lève alors et je me retrouve les yeux face directement à sa bite, presqu’à la toucher. Elle est vraiment très visible. Comment ose-t-il se balader comme ça ? Et elle semble prometteuse en plus...Je me lève alors, nous sommes donc presque à nous frotter, et on échange nos places en nous glissant l’un contre l’autre. J’en profite au passage pour effleurer l’air de rien cette belle bosse que je sens se déplacer sous ma pression. Pas de réaction de sa part. Il faut dire que j’ai fait cela vraiment très naturellement.On se rassoit.« Merci beaucoup, c’est vraiment sympa. »Et le vol commence. Il sort un bouquin et s’y plonge avec mutisme, écouteurs aux oreilles. Je déballe mon ordi et commence à travailler.Le temps passe, les lumières d’ambiance se réduisent. J’essaie le plus discrètement possible de le mater sur le coté. Il est plongé dans la lecture. Son visage est éclairé par la lueur bleutée de mon écran. Quelle magnifique tête !Le temps passe...Petit bruit. Je regarde. Il vient de lâcher son roman et s’est endormi.J’en profite pour le détailler encore plus et m’assurer qu’il est réellement endormi : visage, torse se soulevant au rythme de sa respiration. Ventre bien plat. Et comme il s’est un peu avachi les fesses vers l’avant, je peux discerner la forme de sa bite, vraiment apparente maintenant. Normal avec un caleçon de tissu et un textile si élastique. Tout cela m’excite terriblement, et je commence à bander dur. Comme nous sommes relativement tranquilles et qu’il dort, je décide d’abandonner mes travaux pour regarder des scènes de cul enregistrées sur mon ordi. Surtout des partouzes mixtes. Mixtes car voir un mec baiser une femme ou se faire sucer est un vrai bonheur pour moi ! Je compte ainsi bien mater puis j’irai me branler dans les toilettes en pensant à mon bel adolescent.De temps à autre, je jette un œil sur lui, pour vérifier qu’il dort et pour admirer ce beau corps. Je l’imagine dans cette partouze ! Ce serait le pied.Puis au bout d’un bon moment, je remarque sa bosse qui semble grossir... Mais oui, il bande ou quoi le mec ? Un rêve érotique, sans nul doute. Je jette un coup d’œil en coin et il me semble avoir vu ses paupières bouger. L’air de rien, je continue à le mater. Là il bande visiblement très fort me laissant entrevoir une vraiment belle protubérance. Encore un coup d’œil, et je suis sûr qu’il vient de fermer subrepticement ses yeux. Je ne dis rien et continue à mater mon film. A un moment, je le sens bouger. Coup d’œil, il est en train d’essayer de pousser son excroissance discrètement, et l’air de rien, pour la cacher. Il persiste, essaie de la remettre en place. Coup d’œil rapide et cette fois-ci je le surprends en train de loucher sur mon film. Je le regarde très franchement. Il me regarde un peu gêné et me sourit.« Tu trouves ça intéressant ? »« Oui bien sûr ! Normal non pour un homme ? » M’assure-t-il en riant discrètement.« Ca a l’air de te faire de l’effet » dis je en lui pinçant discrètement son enflure mais sans insister. « Remarque moi aussi » et je lui montre mon érection sous mon jean.« C’est normal, nous les mecs ont adore ça ! »« Oui. Tiens, lui dis-je, en lui passant mon ordinateur. Tu pourras regarder cela de plus près ! » On se souritIl récupère l’engin et le pose sur ses genoux pour assurément dévorer la scène des yeux. J’en profite pour me pencher sur lui, tête presque contre tête pour regarder moi aussi. Mais ce que je scrute surtout c’est sa bite qui enfle de plus en plus. Le taux élevé de testostérone propre à sa jeunesse, ajouté à ses envies, font que sa bite se dresse vraiment droit sous l’étoffe maintenant. Il a beau la repousser, essayer de la mettre sur le coté, elle se redresse de plus belle ! Elle forme un beau pic. Visiblement, tout cela l’échauffe beaucoup.« Dis donc, ça te fait un sacré effet » lui murmuré-je « Oui, ca me chauffe au maximum... »« Je vois... » Et j’en profite pour lui pincer doucement le bout du sexe au niveau du gland mais toujours sans m’appesantir. Il ne réagit pas trop à mon comportement et n’affiche un sourire un peu timide... J’avoue que moi maintenant j’ai la queue en feu. Lui aussi certainement car il commence carrément à se la malaxer sensuellement à travers le molleton.Je décide de passer à l’attaque illico. Je pose ma main sur son survêtement et commence à lui masser la bite.« C’est pas plus agréable comme ça ? »« Là, oui, bien sûr ! » Voulant prendre un maximum de plaisir, il pousse ses fesses plus vers l’avant pour se retrouver presque allongé pour mieux prendre du bonheur tout en ne quittant pas des yeux l’écran qui semble le subjuguer par des scènes maintenant très hard.Je profite alors de sa concentration pour glisser ma main dans son caleçon et extirper sa queue dehors. Elle est admirable ! Longue, au moins 26 ou 27 et très large. Je comprends mieux la bosse maintenant, même la bite au repos. Elle est toute rose, très veinée et son gland excessivement rouge sang est déjà trempé. Son pubis bénéficie d’un magnifique duvet roux très très frisé, avec des reflets presque brillants. C’est la première fois que je vois cela et je trouve cette partie très belle. Je commence à le masturber lentement en tirant au plus sur son frein. Je glisse mon autre main pour lui peloter les couilles. L’effet est avéré et je la sens durcir, vite raide comme du bois. Je le regarde et son visage a pris de sacrées rougeurs d’un coup mais lui fixe toujours les images défilant. J’avoue prendre un immense plaisir à branler ce jeune ado. Je sens sa tension et son excitation monter. Une mousse blanchâtre apparait au bout de son gland car je m’efforce à chaque fois de bien recalotter au maximum pour le décalotter à fond, presque à faire péter le frein. Je sens bien qu’il atteint le comble des sensations. Il halète, pousse des « ouf, ouf ! » écarte les jambes par à coup et donne de violents coups de bassin pour amplifier mon jeu. Prudent, je lui enlève l’ordinateur et me remets en action. J’accélère tout en pressant au maximum son gland lorsque je fais glisser son prépuce dessus tout en faisant tourner mes doigts. Ses couilles roulent dans ma main. Je n’ose chercher sa rondelle, le lieu ne s’y prêtant pas. J’accélère encore et quand au moment où je tire à fond en arrière son prépuce j’aperçois une généreuse arabesque blanchâtre de sperme onctueu ...

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