Cela s’est passé il y a environ 15 jours, je me balader dans la montagne avec mon chien, la nature était belle c’était merveilleux j’étais seul enfin je le croyais.Je grimpais le long de tout ce petit chemin étroit vers une falaise quand tout à coup mon chien ce mit a Grogner. Un homme la quarantaine passée blanc yeux bleus environ 1,85 m assez trapu me regarder.Il me dit : bonjour et je répondis : bonjourIl me demanda : N’est-ce pas merveilleux ici? Je répondis : Oui c est superbe, ne vous inquiétez pas de mon chien il ne mord pas il a juste été surpris car il n y a personne d’habitude dans ce coin.Il rétorqua : Je n’ai pas peur en plus il est beau ce chien.Nous commençâmes une conversation de tout et de rien quand tout à coup le ciel s’assombrit, et quelques gouttes commencèrent à tomber, pour se transformer en une sacrée averse, il me dit venez vous mettre à l’abri dans la cabane à berger qui est a côté , et je le suivi.Le temps de parcourir les 200 mètres nous étions trempés jusqu’aux os, Nous entrâmes dans la cabane tout mouillés on se regarda et éclata de rire .Il y avait un tas de bois et de brindilles à côté de la cheminée et alain (c est son prénom) alluma un feu.Il commença a se déshabiller et à disposer. Ses fringues autour de l’atre Tout naturellement, il n’avait sur lui que ses boxers, j’admir Ce beau corps poilu sur le torse, le genre de corps habitué à travailler durement.Il me regarda et me surpris en train de le mater, je rougis et il éclata de rire en me disant : vous devriez vous dévêtir car il va y en avoir pour un moment et vous risquez d’attaper Un rhume, Je me déshabillais et je le voyais qu il fouinait je me demandais ce qu il pouvait bien chercher.Tout à coup il s’ecria J en ai trouvé qu’ Une seule on devra partager, je me retournai et le vis brandir une couverture.On s’installa l’un contre l’autre, devant le feu, la couverture sur nous, nos peaux se touchant.J’avais une trique de fou, ça me faisait presque mal cette sensation au bas du ventre d’ecrasement, comment ne pas être excité quand on est assis à poil à côté d’un canon, auprès du feu et la pluie qui tombe sur le toit d’ardoise.Nous regardions le feu et je ne sais pas ce qu il s est passe ou comment ça a débuté mais je me retrouvai encerclé dans ses bras et ses lèvres sur les miennes, ou bien les miennes sur les siennes.Nos Langues tourbillonnaient, mélangeant nos salives, nos mains exploratrices allaient et venaient le long de nos corps.Je sentais son sexe contre moi, la taille d’un bras de bébé, énorme, il se frottait contre moi, et moi contre lui, il quitta ma bouche pour promener sa langue sur mon cou puis ils aspira mes tétons un par un, je gémissais de plaisir, étant très sensible des tétons, il se mis sur moi et commença à me lécher mon corps, il s arrêta sur mon nombril et l aspira, la sensation était ineffable mais me fit gémir encore plus fort.Il descendait au niveau de mon sexe et commença une danse, avec sa bouche , endiablée autour de mon entre jambe à l ainé sans toucher ma verge, j avais l’impression que j’allais exploser, mon gland éta ...

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