Mes poils pubiens étaient apparus quelques mois auparavant et je me réveillais parfois avec la trique et surtout des tâches sur mes draps. Sans penser sexe car je n’étais attiré ni par les filles ni par les garçons, je partais à la découverte de mon corps. La masturbation avec la main droite sous la douche me procurait des sensations agréables et je découvrais l’éjaculation. Ayant entendu que des hommes homosexuels se coinçaient parfois des objets bizarres dans leurs fondements, j’entrepris de traverser ma rondelle avec le manche d’un tournevis de mon père. Là encore, je trouvais que la sensation était agréable au point d’en avoir la trique ! J’avais fait la relation entre l’avant et l’arrière de mon entrejambe et mes sensations étaient décuplées par cette notion d’interdit qui en dissuade certains et en incite d’autres.Au collège, certaines filles sortaient avec des garçons et ils échangeaient des baisers sur la bouche. Certains y mettaient la langue. L’insulte du moment était « puceau » et je l’étais ! Ma franchise faisait que je ne me vantais pas comme certains d’avoir déjà pénétrer une fille. Je m’en fichais : le sexe ne m’attirait pas. Ce qui me dérangeait était de devoir cacher les traces nocturnes sur mes draps. C’est pourquoi je me masturbais sous la douche afin de me vider les couilles, recouvertes d’un petit duvet, tout en faisant tourner dans mon cul ce tournevis que je n’oublierai jamais. Ma semence partait dans le syphon ni vu ni connu !J’allais parfois claquer des pétards dans un chemin très peu fréquenté au milieu de la campagne, avec des copains. Pour économiser les allumettes, nous allumions des cigarettes que nous avions piquées à nos parents et nous toussions souvent quand nous tirions dessus pour qu’elles ne s’éteignent pas.Ce jour là j’étais avec Alain, un gars plutôt dégourdi qui n’avait pas froid aux yeux et que mes parents regardaient d’un sale œil. Alain était de ceux qui affirmaient avoir couché avec plusieurs filles. Il était plus grand que moi. Il avait une bouille d’ange avec des yeux clairs et des cheveux qui ondulaient sur leur lumière de soleil qui va bientôt aller se coucher. Avant même de penser à allumer une cigarette pour faire exploser nos pétards, Alain me regarda avec un air de défiance et me dit : « Tu sais, ici on peut faire du naturisme ! » Il dégrafa son bermuda et fit tomber son slip. A cette étape, son sgeg était encore caché par son polo qui descendait assez bas sur ses cuisses. Voyant que j’hésitais de peur d’être surpris par un passant (je n’en avais jamais vu à cet endroit), il s’avança vers moi et entreprit en premier de m’enlever le tee-shirt. Je me laissais faire et il poursuivit de m’effeuiller en descendant mon short. Il effleura ma bite et me regarda avec un sourire en prenant mon paquet à pleine main. Il me dit : « Nous allons faire un concours de celui qui a la plus grosse ». Je sentais déjà ma queue se durcir et il le sentit immédiatement. « Attends-moi ! » me dit-il. Il baissa mon slip et me demanda de lui ôter son polo.Au moment où je m’apprête à prendre le bas de son polo pour le relever par au-dessus de sa tête, je devine une bosse au niveau de son entrejambe et je sens que ma bite est déjà à l’horizontale. Je prends son polo et dès que je lui ai enlevé, il me dit : « Embrasser une fille sur la bouche, ça fait dresser le kiki. Tu crois qu’avec un mec, ça fait pareil ? » Et il me prend par la nuque pour approcher mon visage du sien. Il pose ses lèvres contre les miennes. Il introduit ensuite sa langue en moi et commence à la bouger en tous sens. Je suis tellement ébaubi que je me laisse faire et par reflexe ma langue se met à suivre la cadence de celle d’Alain. Cette sensation est de la même nature que la masturbation et l’introduction du manche de tournevis dans mon cul. Je sens que ma tige est désormais tournée vers le ciel et je sens la main d’Alain qui se l’approprie.Tout comme sa langue tournoie dans ma bouche, sa main entoure mon sgeg et virevolte autour, le massant avec ardeur et volupté combinées. Je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer et au bout de quelques instants seulement, je décharge mon foutre entre les doigts d’Alain et jusqu’à son ventre. Son baiser se fait plus fougueux et sa deuxième main qui était restée derrière ma nuque descend le long de mon dos et vient caresser mes fesses si blanches et si lisses.Alain se recule et plante son regard dans le mien ; ses yeux me sourient. Il présente ses doigts maculés de mon sperme entre nos deux visages et commence à les lécher un par un. Il semble aimer le goût qu’il a en bouche et me dit : « Vachement bon ! Je crois que j’aime autant que le mien. Puisque ta bite a ram ...

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