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Du rêve à la réalité . . .

Publié par : trouakeu le 28/07/2020

Ma voisine me fit entrer chez elle sous prétexte d'un problème dans son jardin. Nous avions l'habitude de nous faire la bise et, je ne sais ce qu'il se passa à ce moment là, mon bisou ripa un peu, le sien aussi, de sorte que nos lèvres se rencontrèrent pour un vrai baiser. Nous nous regardâmes surpris autant l'un que l'autre, et je ne pus m'empêcher de dire "Cà fait longtemps que nous aurions dû faire çà". Cà déclencha une réaction immédiate, on se serra dans les bras l'un de l'autre, nos langues s'activèrent en un baiser goulue, et nos mains partirent à la recherche de nos corps en de longues caresses frénétiques. Elle portait une petite robe d'été légère et lorsque mes mains passaient sur ses seins je sentis ses mamelons durcirent. C'était une petite femme dodue, d'à peu près mon âge, donc la soixantaine passée, et je dois avouer qu'elle hanta souvent mes rêves d'une manière que certains diraient "à l'insu de mon plein gré". Il est vrai que ses rondeurs avantageuses excitaient mon esprit depuis un moment déjà, mais jamais je n'aurais osé lui en faire part sans cet incident malencontreux . . . enfin, pas tant que çà en fait. Elle me glissa "Nous ferions mieux d'aller à l'intérieur", il est vrai que, malgré la hauteur des murs, nous n'étions pas à l'abri de certaines fenêtres dont la dénomination de "jalousie" n'était pas forcément usurpée. Nous nous retrouvâmes assis sur le canapé de son salon, et sa robe ultra courte arrivait ainsi au ras de son minou. Ses cuisses découvertes incitaient à de douces caresses, et après en avoir massé l'extérieur, ma main s'aventura vers leur intérieur. Au fur et à mesure que ma main progressait vers le haut, ses cuisses s'écartaient comme pour laisser le champ libre à toutes inspections des lieux. Elle poussa quelques petits gémissements, qui s'accentuèrent sans retenue lorsque j'atteignis sa petite grotte intime, déjà bien humidifiée par ailleurs. De son côté sa main avait tâté du côté ma braguette, en avait zippé la fermeture et sa main était déjà partie en exploration de l'intérieur de mon pantalon, et écartant mon slip, avait agrippé mon membre raidit qu'elle maniait avec une délicatesse attentionnée. Cela devait faire un temps certain qu'elle n'avait côtoyé un homme de la sorte, et de mon côté son odeur de femme m'enivrait et m'excitait, me faisant abandonner tout contrôle. On la sentait prête pour une saillie et étant moi-même en rut, j'étais disposé à satisfaire ses envies, autant que le miens d'ailleurs. Après avoir parcouru ses rondeurs en tout sens et que, de son côté, sa main ait vérifié que je possédais tout ce qui était nécessaire pour la suite de nos ébats, elle me proposa de poursuivre dans sa chambre où nous serions plus confortablement installés. Une fois ses rideaux fermés (toujours la crainte de curieux) qui offraient une pénombre complice, je la culbutais sur son lit et nos corps roulèrent en tout sens, se mêlant et s'entremêlant au gré de nos positions. Les vêtements furent très vite éparpillés dans la pièce. A un moment donné, nous nous trouvâmes tête-bêche, elle goutant mon vit avec délectation, salivant d'un côté et bavant de l'autre, je léchais avec gourmandise sa cyprine débordante. Coquine, elle me titillait parfois mon petit trou, ce qui n'était pas pour me déplaire, et je faisais de même de mon côté, espérant mettre le sien en état de servir ultérieurement. Je sentais la peau douce de sa lourde poitrine contre mon ventre, ce qui m'excitait au plus haut point. Ma queue emprisonnée dans sa bouche avait pris des proportions inhabituelles sous l'effet de sa langue active et je craignais d'éjaculer trop tôt, ne voulant pas que çà se termine après de simples préliminaires. De son côté elle remuait son popotin de telle sorte qu'on sentait son impatience à passer à des choses plus sérieuses. Un changement de position la plaça sous moi en offrande, cuisses largement écartées, elle n'eut pas besoin d'attendre, je la plantais aussi sec avec ma queue prête à éclater, elle referma aussitôt ses jambes derrière mon dos, ses bras m'enserrèrent avec force et elle remua son cul d'excitation en poussant des petits cris et en laissant échapper quelques expressions cochonnes. Ma semence gicla dans sa grotte intime, et se mêla au liquide abondant qu'elle avait secrété. Ce fut une libération qui s'éternisa, chacun savourant un plaisir si longtemps contenu. Nous restâmes ainsi enlacés un bon moment avant de pouvoir reprendre nos esprits. Repus, fatigués, nous en redemandions encore, aussi fallu t-il faire une petite pause si nous voulions tenter une seconde séance de baise intense. Nous restâmes allongés l'un contre l'autre un bon moment, elle lovée contre moi la tête dans le creux de mon épaule. De temps en temps elle levait la tête, frottant le bout de son nez contre le mien, ou me faisant des petits bisous. Nous étions comme d ...

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