Sur internet quand on cherche des séances de martinet ou autres on voit toujours des hommes dans des postures abominables, ficelés comme des saucissons et presque fouettés à mort par une dominatrice.Non ce n'est pas ça.J'ai commencé par me fouetter le cul avec un simple martinet et par la suite avec un paddle.Il faut au début donner des coups doucement et de plus en plus violents. Car il se produit un phénomène particulier.Les fesses, car bien entendu il faut frapper les fesses, commencent à devenir rouges. Normal. Mais surtout elles commencent à chauffer. Or plus elles chauffent, moins elles deviennent sensibles. Ce qui fait que l'on peut augmenter la force des coups sans ressentir une douleur violente. En revanche le bruit des lanières qui claquent est érotique.En outre la chaleur se diffuse dans les reins, on ressent un bien être – ce n'est peut-être pas le bon terme – qui procure surtout une érection. Et plus on frappe plus l'érection est violente.Je me souviens d'avoir joui intensément sans me toucher.Se donner le martinet seul, c'est bien mais à deux c'est autre chose. J'ai donc demandé à ma femme de me fouetter .Elle ne s'est pas montrée enthousiaste alors que l'on avait pratiqué –entre autres - l'ondinisme, moi étant le receveur. Elle a bien voulu accepter, comme elle me l'a dit " pour te faire plaisir"Donner le fouet mérite un certain décor. Je me suis mis nu, à quatre pattes, avec un plug de ma confection. C'est à dire une poignée en bois d'un rouleau à pâtisserie (ou tout autre objet semblable) relié à une chaine relativement fine. J'enroule cette dernière autour de ma taille, insère le plug dans l'anus. Une partie de la chaine sert de ficelle comme si c'était un string. Super.J'avais demandé à ma femme de se "mettre en tenue". Talons hauts – elle aimait ces deniers – bas noirs, porte jarretelles noir – genre ceinture - e ...

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