Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être. Tout le monde me dit que pour mes 50 ans je suis une superbe femme. Il faut dire du haut de mes 1,76 m pour 52 kg et mes petits seins 85 B qui sont très fermes pour mon âge, attirent très souvent les envies des hommes et couples.J’ai tout pour être heureuse, Un travail qui me plaît, une vie de femme épanouie, complètement libre, sans tabou. Un mari Louis, qui partage ma façon de voir la vie, et quelques amis et amies, qui sont également mes amants et mes amantes. Dans les moments d’absence de mon homme, je compense ! Pour certains, c’est la nourriture qui les aides, d’autres, c’est la boisson ou d’autres substances. Moi, c’est le sexe, le cul, avec n’importe qui ! j’ai besoin de ma dose pour me sentir bien ! Après une journée au boulot ou il ne sait pas passé grand-chose, période de Noel oblige, après mon tour d’abstreinte du samedi, hé oui une fois toutes les 4 semaines, un gros 18 heures, après la fermeture de l’Agence, ne voulant pas forcément rentrer de suite à la maison, je me décide de me rapprocher du centre-ville pour faire un tour au marché de Noel qui était installé depuis quelques jours. C’est rare de trouver son bonheur la dedans, mais la féérie, les lumières et les produits régionaux toujours agréable à regarder. En ce jour où il ne faisait pas chaud, j’avais sur moi une robe d’hivers en 1 seule pièce avec une coupe évasée pour sublimé ma silhouette sans la marquer au cas où… avec un col en drapé élégant qui flatte mon décolleté, le tout sans sous-vêtement, je n’en porte jamais, et pour la 1ere fois de la saison mes cuissardes en daim.Il était installé sur la grande place. C’est vrai que c’est très typique avec les nombreuses échoppes pleines de pains d’épices et autres friandises, les marchands de vin chaud, et beaucoup de costumes traditionnels de la région chez les marchands. Il y régnait une joyeuse bousculade et parfois des gens de connaissance se croisaient dans de grands éclats de voix et des embrassades à n’en plus finir, mais aussi quelques mains baladeuses lors des regroupements de personnes à des endroits difficiles de passages. Après un tour très rapide, je n’aime pas la foule, je décide de sortir et de prendre un bon café chaud ou un chocolat dans mon petit bar préféré.J’aime me retrouver dans ce bar proche de mon bureau, chaque midi durant la pause, je viens grignoter et boire un coup. J’ai mes habitudes, je m’installe sur un tabouret, au bout du comptoir dans l’arrondi près du mur pour être un peu isolé de la salle. Mais à cette heure de la journée le bar est bondé, ça parle, ça crie, ça mange ça hurle, ça joue. Le patron s’affaire pour servir les clients pressés, il me dit « Marie, essayes de te trouver un endroit, j’arrive… ». Trop de monde, trop de bruit, j’opère un demi-tour et je ressors aussi vite que je suis rentrée.Je décide donc de repartir pour prendre ma voiture et rentrée à la maison… et je suis passée dans cette petite rue qui m’est inconnue. Sans m’en rendre compte, je me suis éloignée un peu du centre-ville, et pour être franche, je ne sais pas trop vraiment où je suis ! Là, un petit bar, la façade un peu défraîchie, et je ne sais toujours pas pourquoi, je suis entrée. Sans doute en ne voyant pas trop de personnes dans cet établissement et aussi à la recherche d’un peu de calme après ce brouhaha de ce début de soirée.Un ancien bar de quartier, un comptoir bien usé en zinc, d’anciennes tables et chaises en bois. A peine rentrée en un moment, je pense à faire également un autre demi-tour, mais bon, j’y suis, j’y reste... envie de frissons ! qui sait…Je me suis assise sur un tabouret dans un coin du bar. Le patron, un peu goguenard, me demande ce que je bois. Je prends un Martini blanc avec un glaçon s’il vous plait… c’est pour me détendre un peu après une journée de travail.Dans la salle, un groupe d’hommes, plus âgés, autour d’une table qui tape le carton et quatre autres, plus jeunes, qui jouent au billard dans un coin au fond de la salle, tous très surpris de la présence d’une femme, seule, dans LEUR bistrot, cela ne doit pas arriver souvent !J’avais remarqué les va-et-vient des jeunes qui venait chercher au bar leur boisson les uns après les autres tout en me matant… L’un d’entre eux ma même venté de mon super physique… Je suis dans mes pensées et à mon 2ème verre, un peu à l’ouest comme on dit, surtout à jeun, quand un des gars m’interpelle, - Mademoiselle (Le dragueur...), tu sais jouer au billard ? Eh bien oui, je sais jouer au billard… lointain souvenir de mes soirées étudiantes… je vais leur montrer !Je me lève et me dirige vers le fond de la salle… Encore maintenant je ne sais pas pourquoi j’ai dit et fait cela…Très courtois, l’un d’entre eux m’aide à enlever mon manteau en s’attardant avec ses mains sur mon corps. Voilà comment je me retrouve avec une queue... de billard en main au milieu de ces quatre gaillards... Ah, ils sont étonnés, je marque des points ! Un quatrième verre est arrivé, offert par le patron, je suis de plus en plus détendue et eux de plus en plus collants ! À chaque fois que je me penche sur le billard, je sens leurs regards pesant sur mes fesses et leurs mains qui me frôle, mais j’aime ça !!Au bout de la 2ème partie, j’en suis déjà à mon troisième verre, puis un quatrième, je ne sais toujours pas qui me les offre ! j’ai chaud, du mal à me concentrer… Mes souvenirs sont un peu flous, mais je me souviens avoir vu le patron fermer les volets du bar après le départ des beloteurs. Restait dans le bar que le patron, les quatre joueurs de billard et moi la seule femme… Et puis un des gars m’a lancé « Maintenant on va te baisser, je te sens si chaude et je suis certaine que tu en as envie ». Ils me disent qu’ils feront exactement ce que moi je voudrais, mais que bien entendu avec 4 gars on ne peut pas appeler ça plan romantique. Pas grave, mais j’accepte, l’occasion est trop belle, les vapeurs d’alcool m’ont donné l’envie de baiser. Nous discutons donc tous les 5 ; je vous passe les prénoms de chacun. Ils sont délires et super proches les uns des autres et me mettent en confiance, nous buvons encore... Je suis pompette mais j’ai toujours un degré de lucidité.Je leur propose de se mettre tous à l’aise. Ils se mettent alors tout naturellement à poils et en quelques minutes, j’ai 4 mecs devant moi, la queue entre les mains, en train de se toucher. Un festival visuel. Étant un peu bourrée, je ne suis même pas étonnée, et je me dirige vers le billard, et m’assois dessus les invitant à me rejoindre. On en a parlé avant, ils savent ce que je veux et ne veux pas, j’ai été suffisamment claire et ils savent que si je ne gère pas, on stoppe tout.Ils m’entourent alors et je commence à être l’objet de leur affection. Lentement ils me déshabillent, l’un ma robe et l’autre mes cuissardes. Je me retrouve nue devant eux, et ils m’allongent rapidement sur le dos, jambes écartées. Je suis déjà pas mal excitée et je sens que je mouille déjà pas mal avec cette vision de leurs queues bien dressées pour moi et mon corps. Voilà que l’un prend l’initiative remonte mes jambes sur le rebord du billard et vient se mettre entre mes cuisses, et commence à me lécher mon entredeux jambe. Hum que c’est bon, et sa langue fait super bien son travail, il passe sur mon clitoris et s’occupe de mes lèvres, déjà bien ouvertes, alors que ses doigts touchent mon sexe. Pendant ce temps, un deuxième s’occupe de mes seins, il les prend en bouche et les suce doucement, tout en me regardant, même s’ils sont petits, mes tétons commencent à pointer et je lui demande de sucer plus fort, tout en caressant les cheveux de mon suceur. Rapidement je me tourne et je vois les deux queues qu’il me reste, je commence à les branler puis, puisqu’ils se sont mis des deux côtés de mon visage, je commence à sucer le premier gars, je prends son gland en bouche et je le suce, pendant que je branle plus activement le deuxième, qui me caresse les cheveux. J’ai l’impression à cet instant non pas d’être un objet, mais plutôt une princesse dont les princes charmants s’occupent à merveille. Et je sais que la baise risque de durer des heures et que je m’en souviendrai toute ma vie. Je suce le gars quelques minutes puis je passe au deuxième, enfournant sa bite dans ma bouche en gorge profonde pour lui montrer que je ne suis pas une sainte nitouche, j’entends les gars se parler entre eux et gémir, je pense qu’ils apprécient eux aussi ces préliminaires…Celui qui me faisait ce joli cunni s’est redressé, puis est allé chercher des capotes qu’il a distribué à ses camarades. Il a enfilé ça sur sa bite et il a commencé à me prendre comme ça, en missionnaire... Sa queue était bien grosse mais j’étais assez bien lubrifié et son sexe est entré tout seul, il me prenait assez rapidement, malaxant mes petits seins et pendant ce temps, les deux gars que je suçais s’étaient rapprochés, grimpés sur ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad

