Emmanuelle et Serge ont décidé de passer leurs vacances à Paris dans une location saisonnière.C'est l'été mais le ciel est couvert et pèse lourdement sur la capitale. Nos deux tourtereaux décident d'aller visiter le théâtre de Chochotte dans le quartier St Michel. Ils n'ont lu que des bonnes critiques qui ont émoustillé leurs sens. Emmanuelle passe donc beaucoup de temps à se préparer. Elle se rase soigneusement son bel abricot après l'avoir couvert de mousse à raser dans laquelle le rasoir la dénude encore plus, tout en caressant sa peau très sensible. Une fois cette opération terminée, elle prend un petit miroir et s'examine soigneusement, dégustant à l'avance la sensation que fera cette nudité renforcée sous sa minijupe sexy.Bien évidemment le reste de la tenue de notre salope ne vous surprendra pas mes amis voyeurs ou libertins. Elle lisse ses bas sur ses jambes superbes et point de culotte pour protéger sa vulnérabilité, désormais très indécente et exposée. Pas de soutien-gorge malgré un haut plutôt peu couvrant et résillé!. Un parfum sensuel et poivré. Les chaussures sont sages pour l''instant et la commodité qu'elles offrent pour marcher. Les talons aiguille sont dans le sac qu'elle porte en bandoulière et qui dévoile encore plus le galbe de ses seins en soulignant ses pointes. "Quelle belle salope" pense Serge, rejoignant sans doute vos pensées courbes et lubriques mes salauds!Ils décident de prendre le métro qui bien sûr à 9h du matin est très bondé. Ils réussissent à se caler in extremis dans un wagon.Emmanuelle est coincée entre deux vieux messieurs. Ils tiennent la barre assez bas; et chaque soubresaut du métro la met en contact avec leur main. Ils ne font cas de rien, appréciant le contact du nylon sur leur vieilles mains tachetées. Emmanuelle décident de les gratifier d'un petit plaisir . Au soubresaut suivant elle reste appuyée sur les deux mains qui se trouvent en contact avec ses bas. Celles-ci prennent un peu vie et délicatement remuent des doigts coquins contre sa jambe imprudente. Devant son absence de réaction l'une d'elles remontent plus haut sur la cuisse dénudée. Elle s'enhardit encore plus et bientôt un doigt se tient près de sa chatte humide et fait de petits cercles discrets mais efficaces tandis que l'autre main caressent sa cuisse, appréciant manifestement la texture de ses bas. Serge sent bien que quelque chose se passe au sourire un peu béat de notre salope. Hélas l'arrêt à St Michel ramène tout le monde à une réalité moins sensuelle.Notre couple trouve facilement l'entrée du petit théâtre où ils sont accueillis avec le sourire par la dame d'accueil qui papote avec deux superbes créatures.Ils règlent les 80 euros de l'entrée qui couvrent une entrée permanente jusqu'à très tard dans la nuit. Ils descendent les escalier qui mènent à un tout petit espace où la scène est très proche des banquettes du public. Ils sont accueillis par une jolie femme de couleur vêtue en policière sensuelle. "prenez place Madame, Monsieur" avant que je ne passe faire mon contrôle d'identité"Emmanuelle se dirige vers deux places inoccupées mais distantes d'un siège, deux vieillards entourent Emmanuelle la séparant de Serge. La policière se dirige vers elle et s'asseyant sur la petite rambarde devant les sièges lui demande son prénom."Emmanuelle , Madame," répond -elle avec un petit sourire qui n'échappe pas à notre contractuelle. "Que signifie ce sourire railleur et insolent, Madame?"Sans lui laissez le temps de la réponse elle se tourne vers son voisin."Cette catin ne se livrerait elle pas au plus vieux métier du monde pour nous offrir un tel visage d'effrontée?"Le vieil habitué des lieux la rejoint dans son jeu et surenchérit."ces bas à couture donnent de la valeur à vos soupçons Madame la policière""s'ils sont en soie la preuve est faite et la garde à vue obligatoire!" rétorque celle-ci "tâtez et expertisez " dit-elle au vieillard libidineux et ne craignez pas l'intervention de son vieux mac, ajoute-t-elle à l'intention de Serge, trop heureux de ce développement théâtrale."Levez-vous Emmanuelle la catin" notre ami n'est plus tout jeune, facilitez lui la tache!"Emmanuelle toute rouge mais excitée dans son exhibitionnisme se lève devant les yeux des males de l'assistance dont elle est la seule femme. Le vieillard ne se fait pas prier et caresse les deux jambes longuement jusqu'à ce que ses mains disparaissent sous la minijupe."prenez votre temps, nous voulons éviter l'erreur judiciaire""puis je utiliser ma bouche pour gouter la qualité des bas" demande-t-il avec une humilité affectée que démentent ses yeux libidineux.-faites donc et soyez loué de votre sérieux!Le vieillard à ces mots attire les jambes d'Emmanuelle vers sa bouche qui les lèche abondamment; les couvrant de salive. Ses mains crochètent dans les fesses de notre salope sous les rires des autres hommes, tout émoustillés du spectacle de la belle et la bête.Notre policière le laisse s'exciter un moment puis l'arrête dans sa frénésie.Le vieillard condescend à extirper son visage de sous la jupe où il commençait à s'installer.-Madame la policière cette pute n'a même pas de culotte! Passez lui les menottes!La policière exécute cette injonction et conduit Emmanuelle sur le devant de la scène, lui ordonnant de se tenir dos au public . Elle relève la minijupe et dévoile son cul somptueux qui porte des traces de la salive de notre vieil obsédé."Petite catin notre ami disait vrai, tu oses te présenter sans culotte dans notre temple de vertu"Sous les rires gras Emmanuelle rougit mais est très excitée.-Agenouille toi sur ce canapé en te cambrantEmmanuelle s'exécute maladroitement à cause des menottes mais bientôt toute son intimité est exposée.Notre policière choisit alors quatre hommes d'âge mur à l'exception d'un homme de couleur d'une quarantaine d'années.-nous allons dévoiler à jamais l'infamie de cette catin dit -elle à ces hommes. Nous allons la marquer au fer rouge.Déshabillez la en lui laissant juste ses bas. Aussitôt dit ,aussitôt fait après que notre policière lui ait ôté ses menottes, désormais convaincue de la docilité d'EmmanuelleEn guise de fer rouge elle leur donne des feutres à l'eau dont ils vont devoir se servir pou ...

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