La période de confinement concerne aussi la sexualité , depuis des mois , il est impossible de faire sereinement des rencontres. Entre les restrictions de distance et de temps , les rdv deviennent vite des galères sans fin . Heureusement dans cette tempête de mauvaises ondes une éclaircie peut arriver même sans le prévoir . Comme , cet été par exemple. Je reviens d’un rdv important, il est tard, peut-être trop tard pour avoir un plan sur cette aire d’autoroute de l’A35. Mais , je m’arrête, la première partie , il y a comme d’habitude des dizaines de camions , ensuite sur la partie voiture , juste 3 véhicules ... pas de quoi être optimiste. Je me gare et sort, direction les WC.La porte est fermée, les bruits qui parviennent de l’intérieur sont explicites, ça baise très fort .Le gars est expressif, il demande de se faire défoncer le cul comme une pute . Ça laisse rêveur !Tant mieux pour lui mais moi je vais rester sur ma faim.Je décide quand même d’aller faire un petit tour vers les tables au fond de l’aire et pourquoi pas dans le petit bois (qui est plus sombre qu’une backroom)Je pose mes fesses sur le béton froid et regarde autour de moi. Un bruit de pas attire immédiatement mon attention, un gars en short et polo vient vers moi. Il a une bonne cinquantaine, plutôt costaud, il marche en se tripotant le sexe.Il arrive à ma hauteur et sans un mot me sort un morceau à moitié dur (c’est mon côté positif) , je m’empresse de saisir la pièce et la soupèse, hummmm, c’est du lourd, comme les couilles qui semble bien pleines, une bonne odeur de propre se dégage (je déteste les mauvaises odeurs ).Il se rapproche de moi, pour que son gland entre en contact avec ma bouche.Quand , il entre en passant sur ma langue, la bite gonfle comme un ballon.Whaou, dans cette état, il ne va pas tenir longtemps surtout avec le traitement buccal que je vais lui prodiguer.Je l’aspire goulûment, et le pompe avec délicatesse, il grogne de plaisir .Il m’attrape la tête et imprime des mouvements du bassin .Il me baise bien la bouche.Je sens qu’il va jouir.Mais, d’un coup , il s’arrête . Je pense qu’un voyeur le dérange , et dans un accent plutôt latin il me dit : « tu me donnes ton cul ? »La bite est grosse, j’ai le cul serré , mais on va y aller !J’ai toujours du gel sur moi et des capotes, je retire mon pantalon et abaisse mon boxer. Dépose du gel sur ma rondelle pendant que lui chausse la capote. Avec un doigt , je me lubrifie l’entrée de l’anus.Le cul en l’air toujours sur le banc en béton , il s’approche avec sa bite ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad