Ce lieu est connu des habitués du coin, j’y ai fait trois vraies rencontres, toutes ne valant pas la même jouissance. La première, fût compliquée, car je n’osais pas m’arrêter sur cette aire, tellement de voitures vides, j’’imaginais tous ces gens dans le bois, entièrement à leurs désirs. Je fis plus de cinq fois l’aller-retour entre Brionne et Carsix, avant de me décider à m’arrêter.Il y avait tant de voitures ! mettant ma clé de voiture dans ma chaussure (je ne savais pas se qui m’attendais), je suis entré plus avant dans le bois, des hommes erraient, marchant les mains dans les poches, j’avais juste l’impression qu’ils étaient là comme moi, pour savoir.Ayant marché sur une cinquantaine de mètres, je ressentis un homme qui me suivait, faisant des détours et prenant des chemins qui n’en étaient pas, je compris que j’étais sa cible. Il continuait à me suivre. Nonchalamment mais d’un pas décidé.Arrivé dans un lieu qui me paraissait être assez loin de la route, je décidai d’arrêter ce jeu, baissant mon pantalon aux chevilles, et m’appuyant contre un arbre, j’offrais mon cul ouvert à celui qui viendrait. L’homme ne passa pas son chemin, il se fixa à bonne distance de moi, et commença à branler sa bite, avec douceur, pour faire durer le plaisir.Son sexe de bonne taille me faisait envie, mais il n’approcha pas. Un instant plus tard une main vint caresser mon cul, étonné, je ne l’avais pas vu venir, trois hommes étaient derrière moi, et toujours à distance l’homme qui me faisait envie. Je compris qu’il ne voulait que regarder, sans contacts entre nous. Cependant les hommes derrière moi n’étaient pas du même avis, je sentais un nombre inexact de mains qui malaxaient mon cul, certaines douces et d’autres avec l’envie de me faire mal.C’était sans me connaitre, j’aime une certaine violence dans ces moments de sexe volés. Ma bite était gorgée au maximum, désirant bien plus d’eux.Sans autres actions de leurs parts, je me suis retourné, agenouillé contre mon arbre, j’ai commencé à sucer le plus proche, médusé, il ne s’attendait pas à ce revirement, mais moi je n’en pouvais plus, la bouche demandant à être comblée et le cul en feu !Pendant que je m’affairais sur le sexe dans ma bouche, je ressenti plus de vigueur par les deux autres, enfin des doigts entaient en moi, avec maladresse, mais avec une force qui me comblait. Un coup d’œil sur le coté me permit de voire que l’inconnu à distance caressait toujours sa bite. Ce fût un plaisir de plus, il ne manquait aucune seconde de ce que je faisais. Qu’on me regarde, avalant une bite me faisait flamber de l’intérieur. Et ces deux hommes qui bataillaient avec mon trou du cul, c’était délicieux.Du même mouvement qui les surpris, je repris ma pause de chienne, les mains sur l’arbre et le cul ouvert. Après un moment de latence, pendant lequel un frisson parcouru mon corps. J’attendais, cela me paru durer des heures, mais un des hommes vint direct ...

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