Ce soir mon Maître Effendi Tahir m'a sommée de venir chez lui et je l'ai trouvé très en colère contre moi, trouvant que je ne travaillais pas suffisamment, et que je ne lui apportais pas assez d'argent ! Il exigea que je me prépare - "avec la tenue musulmane que je t'ai achetée" et que sorte immédiatement pour aller draguer dans son quartier où vit une importante communauté nord-africaine. Il m'ordonna de me préparer de façon très sexy : pas de soutien-gorge, mais un string ouvert sur la raie de mes fesses, ma cage de chasteté cadenassée, mon lourd collier d'acier riveté à mon cou, et un simple corset serre-taille auquel j'ai rattaché mes bas de nylon noir. J'enfile des escarpins à talons aguille de 12 cm et lace les brides sur mes chevilles gaînées de nylon. Sur ces quelques dessous, j'enfile donc la vaporeuse burka de double voile noir offerte par mon Maître, dont la transparence laisse parfois deviner mon corps à demi-nu... Je pose mon hijab également en voile noir et rabat le léger crêpe sur mon visage, ne laissant deviner par légère transparence, que le rouge éclatant de mes lèvres et mes yeux bleus abondamment surlignés de köhl noir. Je me parfume largement, enfile des gants de dentelle noire et je vais rejoindre Maître au salon, qui inspecte ma tenue et me dit d'y aller "Et tâches de trouver des clients ma pute" Je quitte l'appartement et sort dans sa petite rue, tranquille et silencieuse. Il est 22h30 et je me dirige à deux rues de là où a été construite il y a peu, une belle mosquée, et où les hommes viennent en groupe prier, ou se retrouver dans ses verdoyants jardins touffus. Lorsque j'arrive aux abords de la mosquée, il fait déjà très sombre; çà et là quelques reverbères éclairent les allées du parc public qui mènent au lieu de prière. Je m'engage dans parc, devenu très sombre. Je vois sur un banc, plusieurs hommes qui discutent et qui lèvent soudain la tête au bruit de mes talons aiguille sur le ciment de l'allée. Je passe lentement devant eux, ils sont trois et se sont tus; j'accentue le léger balancement de ma croupe qui fait légèrement voler le voile de ma burka, et des effluves de mon parfum accompagnent mes pas devant eux... Je continue et j'entends soudain marcher derrière moi, je me retourne, le plus hardi m'a suivi. Il a une quarantaine d'années, une petite moustache et il me salue en souriant. Je m'arrête et lui rends son salut d'un signe de tête. Il est maintenant face à moi, mais il ne peut voir mon visage caché sous le voile diaphane de mon hijab... "Vous êtes belle" se contente-t'il de me dire. Je ris et lui lance "Vous ne voyez rien de moi, comment le savez-vous ?" "Vous êtes belle et gracieuse, et votre parfum est comme une invitation que vous l ...

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