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Escapade sexuelle...

Publié par : leonys le 14/03/2023

En relation depuis quelques années, mon désir pour ma partenaire commençait à s’effilocher sérieusement. Je connaissais parfaitement ce phénomène pour l’avoir éprouvé auparavant dans le cadre de relations antérieures. Mon besoin de connaître autre chose revenait immanquablement au bout d’un certain temps, plus ou moins long en fonction de mes compagnes. Et j’avais constaté précédemment que parfois, bizarrement, le fait de s’épanouir sexuellement avec une autre permettait de relancer sa vie sexuelle avec sa régulière.Je décidai donc de me réinscrire sur un site sur lequel j’avais précédemment pu faire des rencontres et commençais à consulter les profils présents. Pour mettre toutes les chances de mon côté, j’étendais mes recherches aux grandes villes, toutes régions confondues, en me disant que je trouverais toujours un moyen, soit par opportunité professionnelle, soit par mes propres moyens, de me déplacer.Ayant un peu d’expérience sur ce genre de sites, je repérais vite les profils bidon, ce qui me permit de resserrer rapidement une première sélection de fiches intéressantes. Après quelques échanges plus ou moins prometteurs à droite à gauche, je tombais sur un profil particulièrement attractif et décidai de me concentrer sur cette personne. Dans l’état de tension sexuelle où je me trouvais, sa photo de profil où on l’a voyait nue, offerte en position de levrette, mettait son superbe derrière en évidence et chaque fois que j’ouvrais sa fiche, cette vision faisait dresser mon sexe.Toujours est-il que la personne en question répondit très positivement à ma prise de contact et nos échanges prirent très vite une tournure très intéressante et très érotique. Plus nous discutions, mieux nous semblions nous entendre.Elle se trouvait un peu dans la même situation que moi et cherchait à redynamiser une vie sexuelle au point mort ou presque. Le seul problème est qu’elle était localisée à deux bonnes heures de route de chez moi et que ses disponibilités étaient rares. Mais très vite, nous décidâmes qu’il fallait qu’on se rencontre, coûte que coûte.Nous finîmes par caler une date, en semaine.Rien ne se profilait sur le plan professionnel mais j'inventais quand même un déplacement dans le cadre du boulot tout en posant 2 jours pour pouvoir aller la rejoindre à Pau, puisque c’est là qu’elle se trouvait.Elle se chargeait de réserver un air b’n’b à proximité de la gare locale, sachant que je m'y rendrai en train.C'est ainsi que je partis un jour de printemps, en milieu d’après-midi, pour être sur place en fin de journée. Il était convenu qu'elle serait déjà dans l’appart’ quand j'arriverai. La suite serait ouverte à tous les vents, elle avait juste insisté sur le fait qu'entre autres, elle avait envie de sodomie. Je lui avais également proposé d'amener une bouteille de Champagne pour agrémenter nos ébats, ce que je fis.Une fois sur place, nous nous découvrîmes comme prévu dans l’appartement et j’eus la confirmation immédiate qu’elle avait tout pour me plaire. Je sentis que ce sentiment était réciproque tant nos premiers échanges furent marqués par une belle fluidité, doublée de légèreté et d’une connivence déjà palpable.L’ambiance était à la fois et douce et électrique, le désir sexuel semblait tourbillonner au-dessus de nos têtes, comme suspendu dans l’air environnant. J’ouvris la bouteille de champagne, nous servis une coupe et très vite, la discussion pris une tournure brûlante. Au 2e verre, elle vint s’asseoir à mes côtés sur le canapé et sans préavis, alors que je lui disais que je commençais à avoir très chaud, elle posa sa main sur mon entrejambe pour, dit-elle, vérifier mes dires. C’est grave docteur ?, lui demandai-je. Elle me répondit que l’excroissance qu’elle sentait allait nécessiter de plus amples investigations, il fallait qu’elle vérifie qu’il n’était pas trop engorgé, ce qui pouvait être le signe d’un problème. C’est donc dans ce champ lexical très « médical » dans lequel nous avions glissé qu’elle déboutonna mon pantalon, puis continua à me caresser le sexe à travers mon boxer, tout en plantant son regard de feu dans le mien. Je bandais tellement qu’à cet instant, j’avais l’impression que ma queue allait exploser de désir.Je sentais qu’elle le sentait et pendant qu’elle continuait à me caresser lentement, elle me gratifia d’un baiser langoureux qui devient vite un baiser passionné. Mon boxer devint humide, elle finit par me l’ôter lentement, laissant jaillir ma queue dressée à l’air libre. J’enlevais le haut dans la foulée et me retrouvais entièrement nu. Elle ne portait qu’une fine robe qui s’arrêtait à mi-cuisse et je savais depuis le début qu’elle n’avait rien en dessous, ce qui m’excitait énormément.Tout en continuant à m’embrasser, elle commença à me branler lentement puis me dit qu’il fallait qu’elle analyse le liquide qui sortait abondamment de mon sexe. Elle descendit le long de mon corps, lécha d’abord du bout de la langue l’orifice de mon gland pour en prélever un maximum de matière, puis prit celui-ci en bouche avec la plus grande douceur.Sur la foi de ces premiers contacts physiques, je savais déjà qu’elle allait m’offrir une nuit de plaisir mémorable. Alors qu’elle allait et venait sur mon sexe qu’elle avait désormais parcouru sur toute sa longueur, je me sentais comme ensorcelé par les délices dont me gratifiait sa bouche. Je ne pouvais plus résister à l’envie de toucher son corps à mon tour, que je retenais depuis le début. Alors je lui posai délicatement mes mains sur ses joues, releva sa tête, la fit s’asseoir sur le canapé et commença, tout en l’embrassant, à peloter ses seins volumineux, tandis qu’elle avait repris mon sexe dans sa main et s’était remise à le branler doucement. Je mordillais ses seins à travers le tissu et pendant que je les sentais gonfler dans ma bouche, descendis ma main sur ses cuisses. Lentement, j’allais et venais de leur base jusqu’en haut, effleurant son sexe sans le toucher. Sa respiration devint de plus en plus saccadée, je ne cessais de l’embrasser, nos langues batifolaient onctueusement dans nos bouches, l’électricité monta d’une cran.Alors je rentrai en contact avec sa chatte qui sans surprise, mouillait abondamment. Son clito était incroyablement gonflé, je posai délicatement mes doigts dessus et commençai à le caresser. Sa respiration s’intensifia, je relevai sa robe, l’ôtai, m’attardai sur ses seins que je pris en bouche, les léchant, les tétant puis descendis m’occuper de sa chatte, la queue dressée et affamée. Je goûtai le liquide qui m’enivra aussitôt, j’avais l’impression d’en perdre la tête. Et commençai à laper son clito tout en lui glissant 2 doigts dans la fente, ce qu’elle sembla apprécier. J’accélérai le mouvement de mes doigts, mordillai son clito entre 2 lapées, sentis ses muscles se contracter, son plaisir s’exprimer et d’un coup, elle se mit à crier, libérant une quantité de liquide assez incroyable dans ma bouche. Je remontais, me colla contre elle le temps qu’elle redescende et continuai à caresser son corps. Dans le mouvement, elle me poussa à m’allonger sur le canapé, et reprit ma queue en bouche goulûment. Puis elle descendit sur mes couilles qu’elle commença à lécher avidement, ce qui me rendit fou. Sa langue m’apparaissait tout à la fois douce, moelleuse, râpeuse et énorme, j’avais l’impression que plusieurs personnes s’affairait sur moi, je nageais dans un plaisir intense. Pendant que je perdais pied, ma queue aux portes de l’orgasme, elle commença à me caresser l’anus puis y entra le bout de son index, très légèrement, qu’elle fit tourner tout en douceur à l’entrée de l’orifice. Je redoublai de plaisir, sentis que j’allais jouir pendant des litres mais me concentrai pour faire durer le plaisir en me maintenant dans cet état extatique. Évidemment, son doigt n’en resta pas là et une fois que mon anus commença à se dilater, après avoir bien lubrifié son doigt avec sa propre mouille, elle l’enfonça plus profondément et commença à me limer, tout en continuant à me laper les couilles et à lécher et sucer ma queue.Je ne saurais trouver les mots exacts pour décrire les sensations qui m’habitaient à cet instant mais je pense que nulle drogue au monde ne peut procurer un trip analogue.Je fermais les yeux et voyais défiler des étoiles lumineuses, des éclairs de couleur vive, j’étais dans un état second, j’étais à la merci de ses caresses, de ses volontés, de ses désirs, de sa lubricité, de ses savoir-faire, de ses doigts, de sa bouche, de son corps. Le plaisir monta encore d’un cran, si c’était possible, quand sa langue magique descendit sur mon anus. Sa main remonta branler mon gourdin, dont le gland, violacée par l’océan de divinités auxquelles il était soumis, était à 2 doigts de rentrer en éruption. Sa langue fit d’abord le tour de l’orifice puis vint le lécher par petits va-et-vient. Avec le bout, je sentis qu’elle pénétrait légèrement à l’intérieur : des larmes de plaisir coulèrent de mes yeux, c’est la première fois de ma vie que ça m’arrivait.A cet instant, je ne pouvais plus esquisser le moindre geste, j’aurais voulu que ce moment dure toute la vie.Je parvins l’ ...

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