Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... histoire totalement fictive (mais non dénuée de désirs).Journal d’Isabelle n°36jeudi 26 janvier 2023ÊTRE OUVERTEJ’étais en train d’écrire ce “journal” du jeudi, et je n’arrivais pas à trouver une bonne idée... une histoire qui eut pu faire plaisir au lecteur... lorsque trois hommes sont entrés dans mon café-librairie. Je ne sais jamais si mes visiteurs viennent par lieuxdedrague ou pas, mais qu’importe mon collier de soumise, je suis telle que je souhaite. Je m’étais habillée avec mes escarpins rouges, de très longues chaussettes à rayures colorées, une jupe longue rouge, un marcel, un gilet en laine noire et donc mon très large collier en métal avec son anneau central.— Bonjour messieurs, dis-je souriante.Ils m’ont regardé attentivement.— C’est possible d’avoir des cafés ?— Mais bien sûr.J’allais au bar pour les préparer, quand quelques instants après l’un d’eux dit :— Et plus, c’est possible ?J’étais déjà en train de finir le plateau avec les trois cafés. J’avoue, j’ai un peu rougi. J’ai beau ne pas être bêcheuse, à chaque fois, ça me fait la même chose.— C’est-à-dire ?Celui qui avait posé la question, caressa son pantalon en souriant gentiment.Je posais, en silence, le plateau en face d’eux, et je me mis à genoux devant celui-ci pour ouvrir son “coffre à bijou”.Il me caressa la tête.— C’est bien ça ! Tu es gentille toi.Je sortis son chibre et je commençai à le sucer quand un deuxième, derrière-moi, retira mon gilet pour me prendre les seins. Ça me fit l’effet d’un courant électrique, et je m’enfonçai le sexe dans la gorge en remuant des fesses.Ça n’a pas loupé, il remonta ma jupe.— Quel cul de salope !J’assume toujours mon état, alors j’ai redoublé le dandinement de ma croupe. Ce qui fait, que ce second, écartant les lobes, enfourna sa bite doucement en moi.C’était adorablement exquis de sentir cette queue me pénétrer avec tant de douceur.Pendant ce temps, le troisième, qui ne participait pas à notre trio, se branlait tout en regardant la scène.Le premier, celui qui avait ma bouche, lui dit alors :— Mais viens Jacques, je suis sûr que cet ...

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