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exhibitionnisme (suite)

Publié par : yvhes le 05/11/2023

Arrivés à la maison, j’invitai Marcel à me suivre pour prendre une douche après que je lui aie rempli à ce point son tréfonds. Sous la douche, tout en le savonnant pour me faire pardonner, je lui présentais mes excuses pour ce manque de délicatesse dont j’avais fait preuve et il s’agenouilla devant moi en me remerciant de l’avoir honorer de la sorte. Je lui demandais comment il avait vécu notre intrusion dans son couple et il me complimenta sur ma façon de l’enculer sans retenue. Par contre, il avait beaucoup peiné à enculer Lionel pour la première fois de sa vie. Il commença à me sucer (il restait du « miel » sur ma queue) mais c’était trop tôt et ma bite restait molle. Je le relevai et nous continuâmes à nous savonner mutuellement.Nous attendions l’arrivée de Jules et Lionel mais ceux-ci se faisaient attendre. Je les avais pourtant vu nous suivre dans le rétroviseur de la voiture et il n’y avait même pas un kilomètre de distance ! Marcel m’expliqua qu’il appréciait beaucoup être soumis et que Lionel le dominait à merveille. Même si certains de ses gestes provoquaient une douleur physique, c’était toujours maîtrisé et supportable au point d’en être agréable. Je ne comprenais pas : comment une douleur pourrait-elle être agréable ? Suite à ma question, Marcel m’a pincé un téton avec vigueur. Il m’a fait remarquer mon mouvement du bassin induit par le pincement au niveau de ma poitrine puis m’a demandé si celui-ci m’avait été agréable. Effectivement, j’avais ressenti une douleur au niveau du téton et une agréable sensation au niveau du bassin. Il m’indiqua ensuite cette succession de sensations au cours de la pénétration anale : en premier lieu, une douleur puis du plaisir et du plaisir encore. J’étais convaincu : douleur et plaisir étaient mêlés.Nous nous caressions alors pour nous rincer du savon déposé sur nos peaux et nous continuions à échanger sur la façon de prendre du plaisir. Là, je lui ai indiqué ma philosophie de la tendresse et lui ai prodigué un baiser voluptueux en guise de travaux pratiques. Au début, il semblait peu habile et il s’enhardit au fur et à mesure que ma langue initiait la sienne. J’avais ma main sur sa bite et je la sentais se raidir au fur et à mesure que nos langues s’enchevêtraient de plus en plus harmonieusement. Il était de plus en plus excité et lui aussi me branlait avec délicatesse. Ma bite se faisait de plus en plus fière. Dans sa façon de suivre ma langue plutôt que d’inciter la mienne à suivre la sienne, je comprenais que sa façon d’être, de prendre du plaisir, c’était de suivre, d’être soumis. Je comprenais qu’il lui avait été difficile d’enculer Lionel et de se vider en lui et pourtant ! Pourtant, comment ne pas prendre plaisir à se vider dans l’autre ? Impossible : Marcel reconnut qu’il avait beaucoup pris plaisir quand il avait éjaculé au plus profond de Lionel.Marcel et moi évoluions au travers de nos échanges de valeurs et de ressentis : sa découverte de la douceur se confrontait à mon ignorance de la violence sexuelle. Il appréciait ma douceur quand je l’embrassais et il appréciait aussi quand je lui défonçais le cul. Je trouvais agréable sa nouvelle façon d’embrasser après initiation et j’avais joui de la violence de mon pieu dans son cul.Jules et Lionel arrivâmes et nous intimèrent de les laver sous la douche. Visiblement, ils avaient échafaudé un plan pour la suite de la journée. Marcel commença par lécher les couilles de Lionel et se prit une valse de baffes en lui indiquant que son nouveau maître était Jules. Immédiatement, il se mit à genoux devant Jules et lui prit la bite en bouche. Jules le tira par les cheveux avec une telle violence que je crus qu’il allait lui arracher son scalp en entier ! Marcel le remercia de tant de sollicitude et le prit en gorge profonde. Lionel me regarda avec véhémence et me demanda : « Qu’est-ce que tu attends ? ». Je regardai Jules d’un air interrogatoire. Que devais-je faire ? Et Lionel me baffa sans retenue suivant plusieurs allers-retours. Mes joues étaient rougies par les contacts physiques mais surtout peut-être par ma honte d’être giflé de la sorte, publiquement. L’envie d’exprimer ma désapprobation fut vite anéantie par une paire de baffes de Jules qui m’indiqua que je devais me soumettre à mon maître Lionel.Après la douche, nous nous installâmes sur la terrasse, au bord de la piscine. Jules et Lionel avaient pris leurs distances vis-à-vis de Marcel et moi. Ils nous intimaient des ordres et nous étions leurs serviteurs. Au fond de moi, je me disais qu’à la première occasion, j’allais exprimer toute ma réprobation à Jules mais l’occasion ne se présentait pas. Au contraire, le couple de dominants se vautrait dans la piscine et au bout de plusieurs services de bières fraîches, ils exigèrent que nous préparions le souper et l’apéritif.Marcel et moi étions affairés dans la cuisine quand Lionel vint murmurer à l’oreille de Marcel. J’exprimais mon refus de messes basses à mon insu et je me pris une volée de gifles avec un regard terrifiant dans les yeux de Lionel. Marcel vint me consoler et m’expliqua que nous devions trouver une tenue pour effectuer le service de ce soir auprès des deux maîtres. Au li ...

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Palabras clave : Pur fantasme, Gay, Sodomie, Soumission/domination