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exhibitionnisme

Publié par : yvhes le 05/11/2023

Avec Jules, nous avions repéré le manège d’un couple de nudistes qui venait se dorer la peau du cul en contrebas de chez nous, sur une petite parcelle herbeuse, abritée du vent et ombragée d’un côté. Je me doutais par quel sentier ils passaient et j’avais remarqué qu’ils nous guettaient régulièrement. Il existait une grande différence d’âge entre les deux, le plus jeune étant le dominant et le plus âgé semblait très soumis.Au fil des jours, ils s’enhardissaient (tout en nous observant) et ce jour-là, ils arrivèrent alors que le jeune tenait en laisse le plus âgé. Comme d’habitude, ils étaient nus et le jeune pris une fine branche avec laquelle il fouetta les fesses de son soumis. Puis il lui fouetta les couilles à plusieurs reprises. Nous entendîmes alors le vieux implorer le pardon de son bourreau. Au lieu de devenir moins violent, le jeune se mit à gifler son aîné avec véhémence. Ce dernier avait ainsi les joues, les fesses et le trois-pièces rouges.Le plus surprenant dans cette situation était que les deux acolytes bandaient comme des taureaux. Le jeune enfonça sa baguette dans le cul de l’autre et lui enfourna la pine en gorge profonde en même temps ; si vite et si fort que le pompeur s’étouffa dans un haut-le-cœur bruyant et recula : quelle erreur ! La baguette se cassa et le jeune entra dans une colère monumentale ! Heureusement, il n’y avait pas péril et le bout qui dépassait de son cul servit pour retirer le morceau entré dans le profond de cette tapette, qui n’était blessée ni physiquement ni moralement.Au lieu de cajoler sa victime, le jeune fouetta de nouveau son compère avec la branche cassée et lui remis brutalement la bite dans la gueule. Cette fois, une fellation magistrale débutait et le vieux semblait fort habile car le jeune gémissait bruyamment et effectuait de larges mouvements du bassin. Il baisait la bouche de son soumis avec beaucoup d’autorité.J’indiquais à Jules que cette violence me gênait et en lui disant, je vis que sa queue pointait vers le ciel. Il me répondit que lui, ça l’excitait et qu’ils étaient libres. Il ajouta que ce genre de rapport entre nous changerait de nos pratiques, qui devenaient routinières même si la douceur nous réchauffait et nous unissait. Je lui demandai alors s’il souhaitait que nous empruntions ce genre de chemin et il se montra attiré. Puisque tout ce qui lui faisait plaisir me faisait plaisir, je lui demandai s’il souhaitait que nous imitions ce couple. Il me répondit : « pourquoi pas ? ». Je lui demandais alors qui de nous deux serait le dominant et qui le soumis ? Sa réponse fut très surprenante : « Que dirais-tu de suivre ton instinct et de laisser faire la nature ? ». Je ne comprenais pas et lui indiquai. Il me prit par la main et m’entraîna vers la voiture. Je comprenais immédiatement qu’il nous dirigeait vers ce couple si différent de nous.Il nous conduisit jusqu’au parking où était garée la voiture de nos exhibitionnistes. Quelques dizaines de mètres plus loin, nous rejoignions les fornicateurs et Jules s’en prit avec autorité au petit jeune : il le baffa, le fit se baisser en appuyant sur sa tête et lui entra son chibre dans la bouche. Le jeune était stupéfait et ne pouvait pas exprimer ses protestations puisqu’il avait la bouche pleine. Jules me fit signe de plaquer le vieux contre le cul de son dominant et de le faire le pénétrer.Apparemment le jeune n’avait pas l’habitude de se prendre une queue dans le tréfonds et je dus pousser le dominé tout en dirigeant son pieu pour qu’il s’enfonce dans son partenaire. Jules jubilait en voyant le regard horrifié de sa victime dont les cris étouffés indiquaient une douleur certaine. L’enculeur par surprise semblait totalement tétanisé et je devais lui enjoindre ses mouvements de bassin pour avancer et reculer tout en faisant coulisser sa bite au travers du cul de son maître. Au bout d’un moment, je m’en lassais et enfilais un préservatif pour imprimer le rythme avec ma queue fichée dans le cul de ce mollasson de Marcel (nous apprenions son prénom ultérieurement ainsi que le prénom de son compagnon, Lionel). Il avait une ouverture anale sans limite car je le pénétrais sans aucun préliminaire. Jules me stimulait du regard et je prenais ma proie avec beaucoup de ferveur, sans aucune retenue. Je me sentais dominateur et à la limite de la violence. Mes coups de butoir faisaient avancer ...

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Palabras clave : Pur fantasme, Gay, Fellation, Sodomie, Soumission/domination