Réveil tout doux, allongés côte à côte, reposés, amoureux depuis toujours, nus. On pourrait rester longtemps ainsi, nos respirations lentes mélangées.Mais je sais que tu as une envie très précise, je le sais parce que j’ai la même pulsion. Une partie précise de ton corps désire entrer en contact avec une partie spéciale du mien. C’est un appel irrésistible, seulement quelques centimètres nous séparent mais nous résistons comme s’il y avait un mur infranchissable entre nos corps chauds. Et finalement tu te risques à étendre le bras dans ma direction, effleurant le mien. Enhardi, tu poursuis ton approche, t’égarant sur mes hanches, mon ventre, mes tétons déjà pointés. Ton souffle s’accélère et mon cœur va plus vite. La machine est lancée et ne s’arrêtera pas, il est trop tard. Le train du plaisir va prendre de la vitesse jusqu’à devenir fou. A pleine vitesse il franchira des viaducs de bonheur, des tunnels de plaisir. L’entrée en gare n’est pas pour tout de suite, on n’est qu’au début du voyage.Ce matin dans ce lit, je vais t’offrir la plus belle et peut-être la plus ancienne des caresses. La douceur de mes lèvres contre la chaleur de ton gland.En pleine ascension du mont Plaisir, tu arrives à l’endroit le plus sensible de mon corps, mes cuisses. Je sais que tu en es fou, tu me mates quand je porte ma minijupe ou un short par-dessus des collants. Tu les caresses souvent à la dérobée, comme un voleur. Ce matin, tu commences par l’extérieur avec des mouvements lents de haut en bas et remontant jusqu’au pli de mes fesses. Tes paumes glissent vers l’intérieur, là où ma peau est fine comme de la soie, provoquant des frissons de plaisir.Je bascule sue le côté, comme si je n’étais pas intéressée, faignant la lassitude alors que je suis chaude comme la braise. Aucun risque que tu débandes. Au bout d’un long moment de torture, je t’appelle enfin, par de petits gémissements de souris, ça te rend dingue. Tu réponds à mon invitation en venant te plaquer contre mon dos, calant ta queue dure au creux de ma raie. Instinctivement je repousse mes fesses vers toi, recherchant le contact avec ton ventre. A ce moment tout pourrait déraper très vite. Mais non, pas maintenant, demain peut-être, ou ce soir.Il fait chaud, c’est l’été, la fenêtre est ouverte, le drap a glissé au pied du lit.A regret tu te laisses repartir en arrière, roulant sur le dos. Ça va être à moi de jouer, jouer avec toi, avec ton désir. La récompense se mérite, tu le sais. Pour le moment je ne bouge pas, je fais semblant de somnoler. Je crève d’envie de te sauter dessus, t’enfourcher, m’empaler sur ton sexe dressé. Mais le programme est différent et je le suivrai jusqu’au bout, bien sagement. Ce matin ça sera la « petite » gourmandise.Je caresse ton torse, tes épaules, descendant jusqu’à ton ventre. Tout ton corps est tendu vers le plaisir. Tu ne vois que ma bouche, tu ne penses qu’à ma bouche, tu te projettes vers mes lèvres, tu me supplies en silence de t’entourer de ma chaleur, de te lécher le jonc, de te gober. Doucement mon beau, on y est presque. Je profite encore un peu du spectacle de ta bite dressée, tendue vers le ciel, désireuse d’atteindre le nirvana. Je vais pencher mon visage vers ce sexe surexcité… Je te branle lentement découvrant au maximum ton gland luisant. Je connais depuis longtemps le goût salé de ton bâton de berger et je vais m’en offrir une belle tranche, accompagn ...

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