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feu de cheminée

Publié par : thimau le 28/12/2020

Avec Ronan, nous sommes en couple depuis des années.Il fait froid, le givre colle aux fenêtres mais heureusement le feu dans la cheminée réchauffe notre chambre. Nous sommes collés l'un à l'autre sous cette peau de bête qui recouvre notre lit. Le soleil ne pointera pas avant une demi-heure mais je suis réveillé et je le regarde dormir, son visage angélique me donne envie de déposer un baiser sur ses lèvres. Je me remémore notre première rencontre...Suite à nos échanges sur un site de rencontres, nous convenons d'un rendez-vous en réel. Début d'après-midi, je sonne à sa porte et lorsqu'il ouvre nos regards se croisent longuement, très longuement avant qu'il ne m'invite par un geste de la main à franchir le pas de sa porte, qu'il referme derrière moi. Ni lui ni moi n'aurait idée de tendre une main pour nous souhaiter le bonjour mais nous hésitons tous deux où poser nos lèvres. Ce sera sur les joues. C'est l'été et je suis en short et tee-shirt avec une veste sur l'épaule dont la seule utilité est de pouvoir y placer mes papiers de voitures et mes clefs. Ronan me propose de me débarrasser de cette veste autant encombrante que devenue inutile sur l'instant et je l'en remercie. En la prenant pour la déposer sur le porte-manteau, sa main effleure la mienne et j'en ressens une légère décharge électrique (il m'apprendra plus tard qu'il a ressenti la même sensation à cet instant). Il me demande si je souhaite prendre un café et j'accepte. Il me dit de m'installer sur la terrasse et il me suis immédiatement avec deux tasses. La vue est dégagée ; derrière les quelques pins, on aperçois clairement la mer qui est d'un magnifique vert émeraude. Il n'y a pas de voisins et la vue est panoramique. Nous sommes assis l'un en face de l'autre, de chaque côté d'une petite table et lorsque nous avons fini notre café Ronan aborde notre côté nudiste que nous avons évoqué lors de nos échanges sur internet. Il me dit qu'il a hésité à me recevoir dans la tenue d'Adam qui est la sienne sur sa terrasse quand il y est seul, mais qu'il s'est quand même habillé pour me recevoir. J'hésite entre lui dire qu'il aurait pu rester lui même sans faire de manières et le remercier d'avoir enfiler ces vêtements légers qui me donnent envie de lui ôter. Sans dire un mot, je me lève et m'approche de lui. Il se lève et me fait face. Nos visages se touchent presque et nos regards plongent dans l'océan des yeux de l'autre. Nos bouches fusionnent et nos langues se croisent sans mot dire. Je me délecte de sa salive et et son odeur (mon nez est collé à sa joue). Nos langues se promènent dans nos bouches avec une ardeur délicate. Ma bite se tend et je sens que la sienne n'est pas insensible. Tout en m'embrassant chaudement ses mains commencent une balade sur mon corps en commençant par ma nuque. Sa main droite descend le long de mon dos et déclenche de légers et doux frissons qui s'estompent lorsqu'elle remonte le bas de mon tee-shirt pour venir caresser la peau du bas de mon dos. Ses doigts s'insinuent alors entre ma ceinture et ma peau avant de venir vers mon ventre. Sa main gauche quitte ma nuque et rejoint sa main droite au niveau de la boucle de ma ceinture. Là, ma bite est vraiment à l'étroit dans mon boxer ! Il déboutonne mon ceinturon puis mon bouton de braguette avant de descendre la fermeture zippée de celle-ci. Sa main se positionne contre mon paquet : mes deux couilles et ma verge sont pressées délicieusement avec beaucoup de douceur. Mon short tombe et ses deux mains se rejoignent une nouvelle fois, dans mon dos entre l'élastique de mon boxer et ma peau. Ses deux mains se tendent alors vers le bas et malaxent gentiment le haut de mes fesses avant de venir vers l'avant en faisant tomber mon sous-vêtement devenu très emprisonnant pour ma verge. Nos lèvres sont toujours accolées et nos langues éprises l'une de l'autre. Il soulève alors mon tee-shirt et l'enlève avant de quitter mes lèvres pour se baisser jusqu'à ce que son visage soit au niveau de mes bijoux de famille. De sa main droite il soupèse mes bourses et dépose sa langue à mon entre-couilles avant de la promener tout en bavant le long de ma tige jusqu'à atteindre mon gland qu'il engloutit dans sa bouche si moite et accueillante qu'agréable et dynamisante. Mes reins ne tiennent plus en place et j'initie des va et vient d'avant en arrière en les maîtrisant autant que possible. Il semble apprécier ma réaction qui indique le bienfait qu'il me procure.Je suis dans un état d'excitation très très avancé et ses coups de langues sur ma verge trempée de bave ne sont pas pour me calmer. Je profite d'un léger relâchement de sa part pour le faire se relever et cette fois c'est moi qui le désape délicatement en lui prodiguant des baisers partout où je peux. J'en profite évidemment pour insérer ma langue dans son nombril après avoir copieusement goûté ses tétons. Avant de lui enlever son dernier rempart de tissu, ...

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