Début des années 80, fini mes petits moments privilégiés avec mon oncle, fini cette complicité indécente dans les cabines de la piscine. Désormais tous les samedis matin, j’allais le voir au domicile de son mec, j’étais devenu par habitude, la petite salope à qui on ne demandait jamais son avis, « Lèche lui le cul, suce moi, met toi à quatre pattes je vais t’enfiler, etc … » Pendant près d’un an j’en ai bu des litres de sperme et nettoyer des trous et j’ai pris des kilomètres de bite dans le cul, mais j’aimais bien, puisque chaque samedi j’éprouvais la même excitation, mon gland rouge de plaisir et ma bite raide comme un piquet.Et puis mes années fac sont arrivées, cela m’obligeait à montrer un autre visage, il fallait entrer dans une normalité. Il y a 45 ans, il n’était pas bon d’avouer être une pédale. Alors comme les autres jeunes, j’avais une copine, comme les autres je rigolais avec mes potes en me foutant de la gueule des mecs un peu efféminés. Mon costume de petit étudiant hétéro m’allait comme un gant. Même si une fois par semaine j’arrivais à faire jouir ma copine, je n’étais pas satisfait, le sexe bien dur d’un beau mâle me défonçant le cul me taraudait l’esprit sans cesse. Un dimanche après midi, alors que j’attendais ma petite amie, vautré sur un banc du square ou nous avions RDV, je regardais défiler des mecs qui allaient dans les pissotières Je me suis dis, curieux quand même que tous ces types vont aux chiottes. Il fallait rassasier ma curiosité, d’un pas nonchalant je me dirigeais vers ces toilettes devinant à moitié ce que j’allais découvrir.Bingo, je regarde cet endroit insalubre, mal éclairé qui pue la pisse, et une bonne douzaine de mecs sont présents dans cet endroit insalubre. Une chose était certaine, ce ne sont que des pédés venus pour une seule chose, et tous, avaient laissé leur pudeur à l’entrée. Un petit gros était agenouillé en train de pomper vigoureusement un mec qui en profitait pour branler son voisin, au fond un autre était penché en avant en train de se faire limer sans même savoir qui était l’heureux élu. En face de la pissotière, 3 chiottes avec des portes sans verrou, ou l’on comprenait sans difficulté qu’il s’y passait des trucs pas catholique. Une des portes s’ouvrit, un type en sortait en se remontant son jogging, alors que le second complètement nu se branlait en me regardant tout souriant et en se passant la langue sur les lèvres. Mon cœur battait la chamade, il fallait que j’entre dans cette orgie. Frustré j’abandonnais mes phantasmes en tournant les talons, ma copine devait m’attendre.Effectivement, radieuse et souriante, elle venait d’arriver, « houlà, mon ange, tu prends des risques si tu es rentré dans ces toilettes publiques, c’est réputé pour être dangereux et mal fréquenté » me dit-elle. Je souriais faisant l’étonné mais je me disais : si tu savais ma cocotte comment je vais revenir me faire défoncer le cul et sucer toutes les bites qui voudront bien de ma bouche. Ce jour là, je lui ai fait l ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad