Voilà quelques jours que j’échange sur LDD avec un coquin qui est parti à la foire aux vins de Bordeaux pour y écouler quelques hectolitres de son élixir.On se chauffe mutuellement et il me propose de venir par chez moi pour promener son chien puis me faire découvrir son élixir devant ma cheminée.J’accepte avec avidité d’autant plus que ma cheminée n’a pas été ramonée depuis longtemps (lol). Et je compte bien goûter son élixir…Le soir arrive et lui aussi avec son chien. Il me lèche directement (le chien, bien sûr !). Il a une bouteille dans chaque main et nous sommes donc contraints de nous embrasser pour nous saluer.Son regard est profond, sa peau est tout aussi douce que ses lèvres que je trouve très suaves, excitantes. Sa bouche me paraît très accueillante et tout de suite nous échangeons des petites plaisanteries. Je l’invite à entrer dans la maison et l’aide à poser ses bouteilles sur la table du salon. Bien entendu, j’en profite pour effleurer ses mains et je ressens une très légère impulsion électrique. Il a des mains qui sont pleines de promesses : elles ne sont ni larges ni fines, elles sont puissantes et douces à la fois, je parie qu’elles sont délicatement parfumées.Je l’invite à s’asseoir dans le canapé, face aux lumières de la cheminée qui illumine davantage encore ces éclats de coquinerie dans son regard. J’avais tout préparé à l’avance et nous n’avons plus qu’à faire plus ample connaissance, assis l’un à côté de l’autre. C’est lui qui choisit quelle bouteille ouvrir en premier. Sans penser à la deuxième, je suis persuadé qu’il a gardé son meilleur élixir au chaud. Les verres servis, nous trinquons, les yeux dans les yeux, pétillants et chaleureux. La première gorgée est intéressante mais le trajet a remué le breuvage et il mérite de décanter quelque peu. La première impression est toutefois fort prometteuse…Tout en reposant mon verre, je félicite Jérémie et pose en même temps ma main sur sa cuisse. Nous nous sourions et il pose sa main sur la mienne avec beaucoup de douceur tout en plongeant son regard enflammé dans le mien. Nous ne disons mot et nos bouches se rapprochent l’une de l’autre jusqu’à se rejoindre. Elles s’entrouvrent pour laisser nos langues se côtoyer et s’enrouler l’une autour de l’autre pour notre grand plaisir. Sa langue est comparable à ses mains : ferme, douce, ni trop fine ni trop large et elle est dynamique et sensuelle. Déjà quand Jérémie a posé sa main sur la mienne, j’ai ressenti frémir mon périnée à la base de mon chibre, là, je sens que ma queue commence à se raidir et à me reprocher son enfermement dans une prison de tissu.Je suis sous le charme de Jérémie dont une main vient me caresser la nuque avec beaucoup de délicatesse. Pour ma part, la curiosité de ma main se dirige vers son entrejambe afin de vérifier si une bosse s’y est formée et c’est très prometteur…Jérémie gémit dans ma bouche en réaction à ma palpation et de sa deuxième main, il m’invite à poursuivre mes caresses à cet endroit. Je sens le souffle qui sort de ses narines devenir de plus en plus fort. Il devient presque saccadé et il s’accélère nettement. J’entreprends donc de dégrafer la braguette de mon Apollon et je pénètre dans son sous-vêtement pour y déplier une lance de plaisir fort prometteuse…Ma main délivre un braquemard aux dimensions qui font rêver et j’éprouve immédiatement l’envie, presque le besoin, d’y goûter. Je quitte avec tact les lèvres de Jérémie et me place à genoux devant lui, je place mes mains sur ses hanches pour me saisir de ces bouts de tissus qui encombrent et je nous en débarrasse avec hardiesse. Je regarde ce pieu qui se dresse fièrement devant ma bouche avant que cette dernière ne l’engloutisse comme la mer peut engloutir une frégate, à la différence près que j’ai bien l’intention de la faire ressurgir. En plongeant ce phallus dans ma bouche, mes lèvres serrent ce petit bout de peau qui en re ...

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