Il y a quelques années de cela, je me rendais chez une grand-tante pour entretenir son jardin. Elle était hospitalisée et la maison était vide. C’était la maison de famille, située en Dordogne à la périphérie d’un petit village, aussi calme que la rivière en contrebas du jardin. Que de souvenirs avec les cousins cousines, de soupers au feu de bois, parties de pêche !Nous étions venus à deux voitures avec ma femme et ma cousine. Nous avons travaillé ensemble jusqu’en fin d’après-midi. Le jardin devenait propre mais il restait encore du boulot. Nous décidâmes que je resterais passer la nuit sur place pour finir le lendemain. Ma cousine me fit la bise et ma femme m’embrassa tendrement sur la bouche en me collant une main aux fesses pour faire sa macho, comme elle disait. C’est à ce moment que je découvris la présence d’un nouveau voisin dans le jardin attenant. Il fit un petit geste de la tête et nous sourit.Quelques instants après le départ de mes femme et cousine, le voisin (Jérôme), vient à ma rencontre et se présente. Il a emménagé quelques mois auparavant, au printemps et il me propose de passer chez lui quand j’aurai fini pour boire un coup et faire plus ample connaissance. J’accepte bien volontiers et me remets au travail. Il s’est installé sur un transat, au soleil, avec une vue sur tout le jardin que j’entretiens.Il s’est mis à l’aise, comme moi : short et torse nu. Il a une légère toison sur le torse et sa peau a pris des couleurs estivales, elle est bien foncée. Il porte un short large et il commence à se mettre de la crème solaire ou autre huile. En tout cas, il luit au soleil et je me suis aperçu que ses mains étaient allées jusque sous son short ; je pense qu’il n’a rien en dessous. Cette idée m’excite, je ne sais pourquoi car je n’ai jamais eu d’intentions homosexuelles. Pour autant, je suis attiré par savoir si j’ai raison ou tort et je sens un trouble dans mon esprit mais aussi dans mon boxer.Jérôme ne me quitte pas des yeux, c’est évident ; il ne se cache pas. Je devine même une bosse qui commence à poindre au niveau de son entrejambe, qui soulève le tissu léger de son short et je commence à voir ses deux couilles. Cette vue augmente le trouble instillé dans mon boxer. Il fait chaud, je sue et j’imagine ce que peut voir Jérôme : j’ai la trentaine, le corps d’un sportif et la peau dorée par le soleil. Mon torse légèrement poilu surplombe un abdomen bien musclé sans aller jusqu’aux tablettes de chocolat. Il peut aussi voir mes jolis mollets bien galbés et mes cuisses consistantes. Quand je m’accroupis et que je lui tourne le dos, il bénéficie d’une vue sur mes fesses et sur ma nuque où perlent des petites gouttes de sueur. Comme le soleil commence à décliner dans le ciel, ses rayons qui prennent une couleur cuivre et or viennent se réfléchir sur mes gouttelettes de sueur. Je ne suis pas aller chez le coiffeur depuis un certain temps et cette luminosité rayonne sur le petit duvet blond qui s’est formé sur ma nuque. Ma peau est couverte par la poussière formée par les feuilles de certains arbustes et aussi la terre desséchée par l’été sur le déclin. Pour autant elle doit briller avec toute cette sueur qui me recouvre.Au bout d’un moment, Jérôme vient vers moi et m’indique qu’il est tard, que je devrais arrêter pour aujourd’hui. Il me propose de prendre une douche chez lui car il a de l’eau chaude contrairement à moi. Pendant qu’il me parle, je reste interdit par les traits de son visage, je devrais plutôt parler de courbes de son visage qui me semble angélique alors que ses yeux brillent de mille feux, surtout quand il me propose la douche ! Je ressens cette même explosion lumineuse dans mon regard à l’évocation de la douche et comme une explosion aussi dans mon boxer. La bosse de Jérôme est révélatrice désormais d’une érection à la verticale.Tout ému, j’accepte de prendre la douche chez lui. Avant que je n’entre dans la maison, il me demande d’enlever mon short tout poussiéreux et me propose même de nous mettre nus tous les deux car il est naturiste et si ça ne me dérange pas… Je pratique régulièrement car j’aime sentir mes couilles flotter dans l’air et encore plus dans l’eau mais là, la situation me paraît bien différente et une ambiance de relation homosexuelle est latente alors que je n’ai connu que des relations hétéro. Mon esprit est tellement embrumé que je fixe Jérôme dans les yeux, m’approche de lui. Je m'accroupis en le regardant dans les yeux avec une lueur de provocation et je lui baisse son short. Mes yeux et surtout ma bouche sont à hauteur de son sgeg qui me paraît aussi attirant que son visage. J’ai envie de découvrir le plaisir de prendre une queue en bouche, d’autant que celle-ci me plaît : elle est bronzée, ni trop grosse ni trop fine, ni trop courte ni trop longue. Elle est super bien dimensionnée. En plus, le gland qui n'est qu’à moitié décalotté possède une jolie couleur et son diamètre est supérieur à celle de la tige : sa queue a une forme de champignon-sucette !Alors que je m’apprête à goûter cette sucette, Jérôme me relève et à son tour, il fait tomber mon short puis mon boxer. Il reste un moment à me goûter du regard et du nez : il m’a tellement troublé, excité, que mon sexe doit dégager des phéromones. Il se relève tout en laissant glisser ses mains sur ma peau en partant de mes cuisses et une de ses mains s’initie dans ma raie tandis que l’autre vient se positionner sur ma nuque, sur mon petit duvet doré. Je me sens happé par son regard si brillant, si coquin, si tendre. Ma bouche est irrésistiblement attirée par la sienne.Nos lèvres entrent en contact et naturellement nos langues s’entremêlent. Sa langue est douce et fougueuse. Il embrasse divinement bien, avec beaucoup d’assurance, de tact et de délicatesse. Il faut croire que nos langues étaient faites pour se rencontrer. Ses mains me malaxent la nuque et les fesses tandis que les miennes lui caressent les cheveux. Il sursaute quand une de mes mains se saisit de son sgeg dressé. Notre baiser est des plus voluptueux et la raideur de nos tiges s’en ressent. Cet échange de caresses dure un long moment et Jérôme m’invite à aller prendre la douche.Je m’exécute à regret car je me sens si bien dans ses bras avec nos langues qui se câlinent ardemment, tout en douceur. Il me pousse sur les fesses pour me diriger vers la salle d’eau où se trouve une grande douche à l’italienne et il m’invite à ne pas fermer la porte car il revient avec une serviette de bain. J’ai à peine le temps de commencer à me savonner qu’il arrive derrière moi et me prend par les hanches. Il m’adresse de délicats petits baisers dans le cou avant de me mordiller le lobe de l’oreille : je fonds de bien-être. Ses mains se promènent sur mon torse et je tourne la tête pour que nos bouches fusionnent de nouveau. Nos langues se font plus suaves que tout à l’heure et je me tourne complètement vers lui.Jérôme met du shampoing dans ses mains et commence à caresser mon cuir chevelu. Il est très doux et c’est entre le massage et la caresse. Je suis aux anges et mes deux mains lui prennent la tige. Je lui avoue que je suis totalement surpris par ce qui se passe car je n’ai jamais connu un tel échange avec un homme. Il me regarde avec ses yeux d’ange et avec une douce assurance, il me rassure et me convainc que tout va bien se passer et qu’il va me faire découvrir des plaisirs que je n’imaginais pas. Il me laisse me rincer les cheveux pendant qu’il me savonne d’abord le cou pour descendre sur ma poitrine. Il titille mes tétons et ses yeux sourient en voyant leur réaction : ils se gonflent et durcissent tout en pointant vers lui. Il se colle à moi pour me savonner les épaules et le haut du dos. Il poursuit son parcours de découverte vers le bas et fait l’impasse sur mon sgeg et mes fesses. Après m’avoir chatouillé les pieds, il remonte le long de mes jambes en maintenant son regard coquin et enflammé dans le mien. Ses deux mains enserrent mon sgeg et il le malaxe à le faire rougir de plaisir. Il le rince avec le pommeau de douche à bout portant en le dirigeant en tous sens. Il me tend le pommeau, reprends du savon et reste accroupi pour me savonner les fesses. Sa bouche est proche de mon gland et il le lèche alors que ses deux mains malaxent mes fesses et s’insinuent dans ma raie.Il com ...

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