Histoire vraieJ’ai rencontré Karine sur OKC en 2007. Elle habitait Grenoble et me contacta par un message marrant et plein de sous-entendus. Divorcée, deux jeunes filles à la maison, une petite blonde aux yeux incroyablement bleus, des kilos superflus où je les aime et un esprit pétillant.A l’époque, j’occupais un poste où j’avais de nombreux déplacements sur tout le grand quart sud-est, de Clermont-Ferrand à Nice, mais pas la zone de Grenoble ni Lyon. Je lui dis que j’étais flatté de son contact, mais que ce serait compliqué de nous rencontrer. Elle me dit qu’elle pouvait bouger. Nos discutions depuis une ou deux semaines, par messages ou par téléphone, des échanges pleins d’esprit et de pensées érotiques, échanges de photos gentilles ou plus osées. J’arrivai à la convaincre de m’envoyer une photo de ses seins, ce qu’elle fit. Pas très gros, de jolis tétons et aréoles rosés. Je lui proposai que l’on se voie pour une nuit, elle organisa une rencontre dans un charmant hôtel de La Ciotat où nous baisâmes jusqu’à plus soif. Elle n’avait aucun tabou. Nous nous rencontrions régulièrement sur Valence, où j’allais régulièrement et où elle avait un service qui dépendait du sien. Rencontres à l’hôtel, restos, baise. La baise avec elle était incroyable, une femme qui devançait les désirs de son partenaire et se prêtait à tous ses jeux. Nous ne faisions pas que baiser, elle avait un esprit cultivé et mordant que j’adorais.Ca faisait bien trois ans que nous nous voyions épisodiquement, au moins quatre fois par an. Un jour, je lui dis que je devais aller en formation sur Paris pour trois jours en décembre, et que si elle le pouvait, mon lit lui était grand ouvert. Elle m’appela dans l’instant pour me dire qu’elle allait se débrouiller pour la garde de ses filles et qu’elle prendrait un autobus.J’arrive à l’hôtel avec mes collègues de travail et prétexte une fatigue extrême pour ne pas aller au resto avec eux. Je monte dans ma chambre, prends une douche et sors de la salle de bain avec une serviette autour de la taille. J’ai reçu un SMS de Karine, « Je suis dans le métro, j’arrive dans quinze minutes », elle ne devrait pas tarder. Et effectivement, des coups discrets sont frappés à ma porte, que j’entrouvre. C’est elle, tout sourire et haletante. Je l’embrasse sur la bouche, ses lèvres sont froides. Elle me dit : « il va falloir que tu me réchauffes », elle entre dans la chambre et pose sa valise, puis se met à genoux, soulève ma serviette de bain et commence à me sucer comme elle sait que j’aime, lentement. Je lui dis : « Et ben, je t’ai manqué ! ». Elle rit, se relève et m’informe qu’elle va prendre une douche.Je m’allonge sur le lit, j’entends l’eau couler, je rêvasse. Elle sort au bout d’une dizaine de minutes, une serviette autour des seins en souriant et s’allonge à mon côté. « Ouf, ça va mieux. Tu nous mets de la musique ? ». Je me lève et tâtonne sur mon pc pour ouvrir Spotify, je lui tourne le dos. Je n’ai pas mes lunettes et n’arrive pas à lire les play-lists, je me penche pour m’approcher de l’écran. Je l’entends se tortiller sur le lit, puis je sens deux mains qui m’attrapent les cuisses, je vois ...

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