Les deux mecs qui m’ont chauffé au début reviennent, les trois autres sortent : « Remettez-le en forme » dit l’un d’eux. « En position » me dit un des deux mecs en me montrant la barrière. « Oui monsieur » dis-je en m’approchant, je pose les mains sur la barrière, me penche en avant et écarte les cuisses. Aussitôt le deuxième me met la ceinture sous le nez « tu la reconnais ? » dit-il « Oh oui monsieur, je l’aime beaucoup » dis-je en balançant mon cul. « Non, il bande déjà » dis le second un peu déçu, la séance ne va pas durer. Les premiers coups tombent, pas trop fort au début et rapidement la force augmente et la cadence accélère, Les fesses me brulent, je bande mais je continue à balancer mon cul, les coups pleuvent je ne sens plus rien mais je bande vraiment bien alors que j’ai joui il y a cinq minutes. « Bon arrête, tu vas le faire jouir et ce n’est pas pour nous maintenant » ils sortent Le sadique et celui qui m’a travaillé le cul dans la salle entre d’un air décidé, je suis toujours en position en balançant lentement le cul. « Fouette le je veux voir quelque chose » dis le sadique Les coups commencent à tomber fort, il est à côté de moi et la ceinture se glisse bien entre les cuisses et me cingle les couilles et la bite à chaque fois que la ceinture cingle je sens ma queue qui se dresse. Le sadique le voit très bien. « Putain, c’est vrai plus tu fouettes plus il bande, à chaque coup sa queue se dresse, c’est une merveille cette fiotte. » Il vient se mettre devant moi et me met sa queue dans la bouche : « suce bien, il va s’occuper de ton cul » pendant que je suce il cherche mes tétons les pinces fort, « ce que c’est bon » pensais -je à haute voix. Il pince plus fort et m’enfonce son chibre dans la gorge. L’autre me couvre le cul de gel et le travaille fermement, me l’ouvre bien. Il s’arrête, je proteste comme je peux avec la queue de l’autre qui m’étouffe. Je les entends rire, le sadique me montre un gode énorme « ça devrait suffire non » j’agite les fesses, ça les fait rire. Il remet du gel, me masse la rondelle avec les doigts des deux mains puis approche le gode et force doucement le passage. Il me dit : « pousse comme pour chier, ça va rentrer » je m’exécute et rapidement je le sens pénétrer un peu il le retire remet du gel et recommence et ça rentre et l’autre se met à me pilonner la bouche en même temps le gode me pénètre lentement et surement, je m’éclate. Le sadique continue son pilonnage en me pinçant les seins. Il s’arrête brusquement me fait mettre à genoux pendant que l’autre tient le gode en place, je suis à genoux en appui sur le gode, je m’enfonce doucement sur ce bonheur. Avec les pieds le sadique m’écarte les cuisses ce qui a pour effet de m’enfoncer un peu plus sur le gode et m’arrache un petit cri, ce qui le ravi. Il s’agenouille devant moi, me pince les seins fort et me demande d’ouvrir la bouche, ce que je fais aussitôt il crache dedans « avale salope » dit il. Le deuxième qui était sorti, revient avec un sac dont il sort des cordes et entreprends de m’attacher les mains au-dessus de la tête, ils me font avancer un peu pour me décoller des sièges derrière moi, ainsi avec les bras au-dessus de la tête, attachés au siège derrière je suis bien cambré en appui sur le gode qui me défonce. Il sort un bâton qu’il attache entre mes genoux pour me garder les cuisses très écartées. Le sadique pour se relever s’appuie sur mes épaules ce qui m’empale un peu plus en arrachant un autre petit cri « enfin, on va t’entendre crier » dit-il en se penchant et me crachant dans la bouche. J’avale sans qu’il me le dise : c’est bien tu es une bonne chienne » Le roi du gode s’approche, sort sa queue, il ne bande pas.« Ouvre la bouche, je n’en veux pas une goutte à côté » dit-il en me pissant dans la bouche. J’avale au fur et à mesure mais fatalement quelques gouttes m’échappent. « Ça va se payer » me dit-il. Il attrape le sac en sort deux poids avec des pinces et me les met au bout des tétons, très douloureux, j’ai les larmes aux yeux, je vois le plaisir dans leurs yeux. Le sadique se met à me gifler la bite, je bande comme un âne, le godeur prends un lacet le lie sur mes couilles en serrant bien et attache les bouts au bâton entre mes genoux. Avec un autre lacet il entoure ma queue devant et derrière les couilles en serrant j’ai la bite qui double de volume. Le sadique à genoux ,me gifle la bite avec force, il m’arrache des petits cris, ça l’excite vraiment, je le voie dans ses yeux tout comme il voit dans les miens le plaisir dans la douleur. Il me fixe, quand il frappe je pousse des petits cris j’ai la bouche entre ouverte la langue un peu sortie, ce n’est pas volontaire c’est ça qui le branche, il voit que je perds le control. Il se relève, l’autre arrive avec un autre lacet le passe autour du gland et l’attache au bâton comme je bande très fort c’est très douloureux ça me force à me cambrer et je m’enfonce sur le gode un peu plus encore, le sadique regarde et dit « il est presque au bout, détache-lui les mains » « Tu vas te tenir bien les bras le long du corp » je m’exécute mais la position me fait très mal, j’ai toujours la bite attachée « ok détache lui la bite et le couilles » tout de suite, c’est du soulagement de courte durée, « met toi à quatre pattes » ce que je fais tout de suite, les poids se balance au bout de mes tétons, je râle de douleur, de bonheur. Il détache le bâton « lève-toi et en position » dit il. Je m’appuie sur la barrière, me penche en avant et écarte les cuisses. Les poids se balance et s’entre choque les larmes me montent aux yeux je râle. Le godeur me retire le gode doucement. « Vient voir, il a le cul béant j’ai bien envie de le fister » dit il « Ne te gêne pas, le dernier n’aime quand ils sont serré » dit le sadique Le roi du gode me couvre de gel me travaille un peu le cul puis m’enfonce le gode doucement et profondément puis le retire et le renfonce brusquement de plus en plus vite je m’accroche à la barrière, les poids partent dans tous les sens et me martyrisent les seins. Je râle de plus en plus fort pour leur plus grand plaisir. Le sadique se met à me branler sans douceur « vas-y, fiste le, on va voir si je peux le faire jouir quand il a un poing dans le cul, pour l’instant il bande bien. » J’ai les fesses bien offertes, il commence à me forcer en tournant le poing à droite à gauche, je pousse pour l’aider et d’un coup ça rentre en m’arrachant un cri.« C’est bien, le plus dur est fait maintenant ça va être le plaisir » dit-il en enfonçant le poing puis le ressortant et en s’arrêtant quand il est au plus large et travaille pour que je m’ouvre plus. Il sort complétement et aussitôt replonge profondément, je l’accompagne dans le mouvement, je commence à ressentir du plaisir. Je râle « encore, encore c’est trop bon, aller encore » je me balance d’avant en arrière, je m’empale sur ce bras avec un réel plaisir. Le sadique reprend la direction des opérations. Il m’enlève les poids et me pince les tétons je crie, il recommence je crie, mais ce n’est pas le même cri. Je suis debout le fisteur est à genoux derrière moi et me défonce doucement. Le sadique est devant moi il me regarde bien dans les yeux et me pince les seins je gémis avec un petit sourire.Ca l’énerve « défonce le » dit-il et l’autre commence un va et vient profond pendant que mon sadique les yeux rivé aux miens me gifle la queue a la cadence du fisteur, je sens ma queue qui gonfle sous les coups, je commence à trembler, « vas-y plus fort défonce-le, bordel il va jouir » l’autre accélère, son poing va et vient en moi de plus en plus fort les gifles sur ma bite aussi, tout mon corps tremble je m’empale avec bonheur et tends ma queue le sadique a les yeux qui brille quand il me gifle la bite, je sens le plaisir arriver je tremble « oui, oui, encore plus fort » dis-je dans un râle, je m’empale à fond , mon sadique en trois gifles énorme me fait exploser de plaisir, je tombe à genoux épuisé le fisteur se retire doucement le sadique me relève par les cheveux me gifle violement il bande comme un âne, je comprends qu’il veuille sa part, je lui offre ma bouche, il la pilonne sans douceur j’aime ça, je me paluche et doucement ma bite se réveille. Il voit que je bande, me tient la tête en ...

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