j’avais hurlé, je pleurais j’étais au désespoir. Il alla se positionner à coté de moi et posa le bâton juste sur le haut de mes fesses, puis je reçu un coup, ferme, douloureux, un cri m'échappa. Le bâton se posa un peu plus bas et un nouveau coup tomba, plus fort. Je respirais, c'était douloureux, le bâton était posé au milieu de mes fesses ou je reçu un coup plus fort que les deux autres, je criais, je demandais pitié, je lui hurlais que j’allais faire toutes les gorge profondes qu’il voulait ! Rien n'y fit, un quatrième coup fut appliqué! Puis ce salaud se positionna de nouveau devant moi. Sa bite dressée, facile de vouloir, mais il fallait que je réussisse ! J’ouvrai le bouche et je me précipitais, sans tenir compte de la gène je poussais mes lèvres allèrent jusqu’au fond de son pénis, je retins ma respiration, un réflexe de déglutition arriva qui me fit tousser, je restai en position, la salive et la bile sortaient de ma bouche. - C'est bien voila comment une bonne pute doit prendre a bite! rien de tel qu'un bâton pour former une bonne chienne! Le salaud se retira enfin, je pus reprendre mon souffle. l'allusion au bâton pour former une bonne chienne me ramena à phrase de mon maître me disant que j'avais besoin de coups pour être dressé. - Je crois que notre chat vient de passer une étape, messieurs, ça mérite quelques applaudissements, encouragez la bon sang! Je reconnu la voix de l’hôte, tandis qu'ils commençaient à applaudir, il me releva la tête et présentât sa bite devant sa bouche, je la prenais jusqu'au fond et les applaudissement redoublèrent, je me mis à pleurer avec sa bite en fond de gorge, les larmes, la salive et la bile se mêlaient maintenant sur mon visage.- Formidable, messieurs notre jouet commence à être à point, je vous invite à venir tous vous servir largement! J'ai bien sucé l'ôte puis les bites se sont succédé dans ma bouche tandis que certains avaient repris des caresses, j’étais doigté en permanence, j’étais excité, affamé de ces queues plus belles les unes que les autres, hélas après avoir sucé quatre ou cinq queue ma mâchoire était douloureuse de fatigue et je devais me contenté de tenir a bouche ouverte tandis que les hommes se servaient. Je pensais avoir passé pratiquement tous les hommes quand une queue black particulièrement imposante se présenta devant ma bouche. C’était de loin la plus grosse et plus longue queue que je n’avais jamais vu. Je repensais au god noire, cette queue n’étais pas loin derrière. Je me rendis compte que le silence était revenu. Tout le monde devait regarder. Je commençais par lécher, ce qui avait l'avantage de me reposer la mâchoire, mais je savais qu'à un moment je devrai prendre en bouche l'énorme gland. je commençais par bien le lécher, le sucer, j'avançais et je parvins à le rentrer dans la bouche. Ma tête fut bloqué par les mains de l’homme. L’énorme bite ne m’avais même pas touché les amygdales. Je tétais ce gland de ma bouche ouverte au maximum.- Mais quelle gourmande ! c’est la chatte la plus amoureuse que je n’ai jamais vu !Les hommes rirent. L’hôte intervient. Messieurs l’heure tourne ! il est maintenant temps pour nous de saillir la truie afin d’obtenir tout ce qu’on veut d’elle ! A vos outils !Je sentis qu’on me doigtais, je me mis à gémir.- Allé salope, annonce la couleur- J’ai envie de vos bite- Vraiment- Ho oui, s’il vous plait.Je sentit que quelqu'un me pénétrai et commençait à me limer- Oh merci, merci monsieur- Bonne truie, tu vas boire notre sperme à tous- Oh oui s’il vous plaisDes bites s’étaient présentées à mes mains , je les branlaient, je gémissais, j’étais aux anges. On me présenta le god mou et long, je le pris dans la bouche, la matière était molle il s’écrasait. – tu le veux dans le cul ?- oui s’il vous plait. - Je senti le god poussé dans mon cul ? comme il s’écrasait il passait à l’entrée sans problème, mais reprenant sa forme une fois passé l’anus, il me donnait une délicieuse sensation de remplissage, et bientôt sous la pression une intense mais si bonne envie de chier me pris. Je gémissait de plaisir... Des coups de martinet tombèrent sur mon dos. Je vis que les bougies avaient été allumés, j’eu peur je criais. C’est le black avec la si grosse bite qui vint devant moi et me demanda de le sucer. Je pris sa bite en bouche, je sentais des coups de cravache sur mes pieds, une brûlure dans le creux de mes reins m’indiqua que la cire chaude y coulait, le noir se mit à me gifler sur les deux joues, quelqu’un jouait avec l’extrémité du god mou, ce qui intensifiai la sensation. Le noir me demanda si j’aimais être pleine, je lui dit que oui, que je voulais sa grosse bite- redit le plus fort !- j’ai envie d’être baisé par votre grosse biteje sentis qu’on m’enlevais le god, puis mon cul fut graissé, quelqu’un introduisit ses doigt m’ordonnant de me donner, ce que je fis du mieux que je pouvais, les coups tombaient sans cesse, on me présenta un cigare éteint, sans doute celui qui était dans mon cul en début de soirée – bouffe il est éteint – j’ouvrai la bouche, l’homme brisa le cigare et m’introduisit les deux bouts brutalement – mâche – je devais pas mâcher assez vite à son goût et il introduisit sa bite – t ...

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