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L’inconnu du parc.

Publié par : steph8366 le 14/05/2022

Ceci est un pur fantasme Assis un soir d’été dans un parc dont le nom et l’emplacement importent peu. L’odeur des jasmins m’emplissait de plaisir. Je ne pensais a rien . Je m’enivrais de ce moment quand je le vis. Il était grand, au moins un mètre quatre vingt dix, bien musclé. Il avait un beau visage, viril et carré. Ses cheveux étaient proprement coupés, cours, avec la nuque dégradée, comme si il sortait de chez son coiffeur. Sans être monsieur Univers , sa carrure et sa tension musculaire le plaçait plutôt dans le genre sportif. Il avançait lentement l’air de muser plus que de réfléchir, quand il s’aperçut que je le suivais du regard. Je lui souris, et il me sourit en retour. Sa chemise ouverte laissait deviner une toison brune qui me fit manquer un battement de cœur. Son large torse me troublait, et la lumière du crépuscule, je l’espérais avait dissimulé mon émoi. Il s’assit à mon coté . Étant de même carrure que lui, bien que moins musclé , je ne m’inquiétais pas. Il avait l’air gentil. -Vous venez souvent ? me demanda d’une voix chaude et virile. -Non ! lui dis je. D’une voix assez fluette et un peu éraillée -Je ne suis pas d’ici ! -Je dois dire que je me suis assis pour profiter du calme des parfums et de l’ambiance du crépuscule. Il étendit son bras sur le dossier du banc le laissant reposer derrière mon dos. Je sentis un nœud se former au fond de mon estomac. -Vous savez ici c’est plutôt calme... et le soir, c’est un lieu propice aux rencontres. -Je ne savais pas. bredouillais je en retour. Mon souffle devient de plus en plus court et le rouge qui me monte au joues commence à se voir. Sait il qu’il me plaît ? Nous n’avons échangé que deux phrases. Je me sens déstabilisé. je La braise de son regard réchauffe mon cœur qui bats de plus en plus vite. J’ai la bouche sèche et mes yeux ne se décollent pas des siens. Sa main se pose sur ma cuisse légèrement. Je le laisse faire . Il me caresse doucement. Il entend mon souffle court et son autre main me caresse la nuque ainsi que ma chevelure. Il retire délicatement le chouchou avec lequel j’ai ramené mes cheveux en queue de cheval et les libère. Je les laissent s’épanouir d’un mouvement de tête. Je me sens de plus en plus féminin cette main chaude sur ma cuisse et l’autre sur ma nuque, je suis de plus en plus ouvert de plus en plus sensible. Il penche son visage sur le mien et pose un baiser léger au coin de mes lèvres. Je peux sentir son parfum poivré et citronné sur sa peau et je lui rend un baiser sur les lèvres. Il est chaste et ne passe pas la barrière de sa bouche sa main s’égare sur mon entrecuisse que j’écarte pour lui laisser le plus de contact possible sa bouche s’enhardit et je sens sa langue sur mes lèvres j’ouvre enfin la bouche et il m’embrasse. Un baiser intense, un baiser profond un baiser qui me laisse chaviré. Sa langue tournoie autour de la mienne ses lèvre papillonnent sur les miennes. Sa main passe sous mon t-shirt remonte en caressant mon ventre et saisissant un de mes seins.Il me prend dans ses bras et me ramène contre lui comme si je ne pesais rien je sens maintenant une grande chaleur m’envahir et je me laisse aller contre son corps chaud. Je l’enlace de mes deux bras emporté par son baiser. Je caresse ses cheveux pendant que sa langue danse avec la mienne. J’ai les joues chaudes les lèvres humides et je me laisse aller à son baiser. Ses doigts me pincent le téton, ce qui m’arrache un léger gémissement étouffé par sa langue. Mon sexe se gorge en partie je suis excité. Il se détache de moi, se lève en s’appuyant sur mes épaules. Son pantalon est maintenant au niveau de mon visage. J’y sens plus que je ne la voit une présence roide et brûlante une pulsation qui me laisse muet et attentif dans cette atmosphère chaude. D’un mouvement lent et assuré. Il ouvre ses boutons de braguettes un à un, laissant un slip noir apparaître . Son sexe libéré de la pression de son jean viens se mettre à l’horizontale avec énergie. L’odeur chaude de sa virilité se diffuse en aphrodisiaque puissant dont je suis envahi. Son sexe apparaît quand il baisse enfin son slip mon sang bats dans mes tempes de manière quasi insupportable. Je vois son gland violet large et couvert d’une pellicule luisante me regarder Une goutte de liquide perle de son méat. Son sexe est large long et veineux. Je ne bouge plus. Ses hanches se rapprochent. Sa queue si raide me touche le visage. Je la sens chaude sous mon nez. Il la passe lentement sur mes lèvres de droite à gauche puis dans le sens inverse elle est douce soyeuse au toucher et brûlante sur ma bouche. Il continue lentement son va et viens. -Elle te plaît ? Hmmph ! réponds je La saveur de son préjus me couvre la bouche. Je le sens forcer doucement mais sûrement, entrer et glisser sur ma langue et dans ma gorge qui s’ouvre et son gland m’envahit Je sens enfin toute sa dureté. Il plonge son sexe en moi lentement puis le retire a la limite de ma bouche et le pousse à nouveau . Je sens son goût d’homme. J’engouffre son sexe jusqu’à sentir sa toison brune très fournie sur mon visage. Sa grosseur m’envahit. Des larmes montent au coins de mes yeux. Ma gorge irritée laisse passer son sexe. Mes tempes résonnent des battements de mon cœur. Je suis de plus en plus soumis, au mouvements de son sexe, à ses muscles bien dessinés. Son ventre au poil dru et noir est tellement beau je laisse échapper son membre d’une taille obscène et je lèche ses couilles bien pleines. Je hume son sexe son entrejambe ainsi que l’odeur un peu fauve qui émane de son entre fesses. Il écarte ses fesses et je m’abouche à son anus que j’embrasse avec passion dans mon pantalon mon sexe me fais mal tellement il est dressé et collé contre mon ventre. Cet homme que je ne connaissais pas il y a dix minutes me pousse de sa main a lui embrasser l’anus et une folie qui m’était inconnue jusqu’alors me submerge. Je ne me maîtrise plus je suis sa chose. Ma langue ne peut s’empêcher de tourner et de s’enfoncer de plus en plus dans son trou. Je sens mon anus qui se contracte je me sens mouillé alors qu’il ne m’a pas encore touché. Je suis possédé par sa virilité. Il me relève et m’embrasse nos odeurs se mélangent et je sens enfin sa main déboutonner ma braguette et mon pantalon glisser sur mes chaussures sa main me pelote les fesses et s’égare sur mon anus j’ai le souffle coupé par sa grande main poilue qui force l’entrée de mon trou je gémis sous la poussée de son doigt qui me force et m’envahit je m’empale a sec sur lui il me regarde intensément pendant qu’il me doigte sa bouche prend la mienne son autre main me malaxe le sein. Je me suis emparé de son sexe sa dureté sa taille dans ma main et son diamètre tout m’affole j’ai le souffle court et sa queue bien dressée frotte la mienne qui ne fais qu’une fraction de celle ci. Ma ...

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