C’est par un site de petites annonces que je fais la connaissance de cet homme. Lors des premiers échanges, il me dit qu’il est bi, et peut recevoir en journée sur son lieu de travail. Il est dans le commerce. Nous partageons nos envies, et échangeons sur nos disponibilités réciproques. Nous finissons par trouver une date commune et il m’annonce : -Je travaille dans un caveau de dégustation (nous sommes en Bourgogne) et lorsque tu viens si tu vois du monde au caveau, tu demandes à visiter la partie chais (immense cave ou sont stockées les bouteilles en vieillissement et le vin en fûts). En bas des escaliers tu te déshabilles et si tu veux tu te promènes nu en attendant que je sois dispo. De mon comptoir je te verrais par les caméras de surveillance par contre les clients ne pourront pas te voir. J’avoue que cela m’excite a fond, j’aime m’exhiber, être maté, regardé. Le jour J je suis super excité, je dois le rejoindre en début d’après midi et la matinée passe trop lentement mais cela me laisse le temps de me préparer comme il faut : lavement, douche à fond, m’enduire le pubis et les fesses d’une crème parfumée aux fruits rouge. Je mets juste un jeans et un tee-shirt. Arrivé sur place, 4 véhicules occupent le parking, si j’enlève la sienne cela doit faire 6 clients environ. Le cœur battant fort, je pousse la porte, et je vois mon hôte derrière un bar avec les clients. Se doutant de qui je suis il me dit : " en attendant que je m’occupe de vous, vous pouvez visiter le caveau, là en bas des escaliers " Et il rajoute : " n’hésitez pas à vous mettre à l’aise " avec un large sourire. Les clients présents ne font pas attention à moi et heureusement car le trouble que j’éprouve doit se voir. Je descends les escaliers, et sur la gauche se trouve un gros tabouret, là oû je peux déposer mes affaires. Le chais est dans la continuité ce qui fait que je suis caché des clients. Je suis hyper excité à l’idée de me dénuder, d’être observé, à déambuler nu en attendant mon hôte.Je me déshabille rapidement, très envie d’être à poil , sans rien sur moi et sentir l’air du chais sur mon corps. La température est douce et agréable, je commence à parcourir les immenses couloirs du chais. Je tortille légèrement du cul, histoire d’exciter celui qui me mate sur son écran de contrôle. Dès que je vois une caméra, je m’arrête devant, prenant une pose sexy et provoquante, me caressant les tétons, ouvrant mes fesses, touchant mon sexe qui durcit. J’éprouve une sensation étrange d’être nu dans cet endroit, risquant de me faire surprendre par des visiteurs, attendant que l’on s’occupe de moi. Le chais est immense et plein de croisements, d’allées, et j’ai envie de m’y perdre. Je visite tranquillement, excité ! Soudain la lumière baisse d’intensité, pas l’obscurité, pas la pénombre mais cet éclairage faible apporte une ambiance spéciale, qui perturbe mon sens de l’orientation. La sensation est vraiment étrange, d’être nu dans ce lieu sous cette faible lumière. Je continue la visite, troublé et encore plus excité. A un croisement, je tombe sur mon hôte, il me met une main au cul, virile, ferme et qui s’insère dans mon sillon. Puis il enlève sa main, se met nu lui aussi révélant un sexe d’une belle taille et dur. Il me prend les épaules et m’oblige à le sucer, je ne résiste pas et je prends son sexe en bouche, et pendant que je le suce je lui titille la tige avec la langue. Pendant ce temps la je me doigte la rondelle histoire de me préparer et de ne pas avoir trop mal s’il me baise. Je réalise le surréaliste de la scène : je suis nu dans un chais depuis plus d’une heure, je suis en train de sucer un mec que je ne connais pas et qui me doigte ! Au bout de quelques minutes il se retire de ma bouche, enfile une capote qu’il sort de la poche de son pantalon posé au sol, l’enduit de gel, me retourne brutalement, me fait me pencher en avant et présente son sexe à l’entrée de mon petit orifice. Il pousse doucement, je sens ma rondelle céder et son sexe me pénétrer. Une fois bien au fond, il commence son va et vient, n’hésitant pas à sortir complètement de mon anus pour mieux y re-rentrer. Je prends du plaisir à le sentir dans mon corps, je contracte mon anus quand son gland a passé, me contractant sur sa tige. Je joui du cul, et je sens des frémissements dans les jambes et le bas du dos. J’ai la queue raide mais je n’ose la toucher de peur de jouir tellement je suis excité. Il me lime pendant une bonne dizaine de minutes, se retire, retire le préservatif, et me fourre son gland dans ma bouche tout en se branlant la tige, je l’entends pousser un râle alors qu’il déverse sa semence en moi. Il se retire, je recrache son sperme ; Il me dit : « j’adore ton cul, je te sens super bien et j’ai envie de te rebaiser. Tu as un peu de temps ? « Ne sachant qu’elle heure il est, nous regagnons nu l’entrée du chais afin que je regarde l’heure sur mon téléphone. Il me fait traverser une salle avec une table en bois immense qui sert pour des dégustations de groupe. Cette salle est en face des escaliers mais accessible par une porte que je n’avais pas osé ouvrir. Je regarde l’heure, lui dit que j’ai un peu de temps, et je lui propose de l’attendre dans la salle à la table. Il me répond qu’il en a pour une petite demi-heure. Pour que je sache quand il revient, il me dit qu’il va fermer la grille d’accès au chais et qu’à son retour il l’ouvrira fortement et comme ça je l’entendrai. Je rentre dans la salle, toujours nu et toujours aussi excité. Je visite les deux salles de stockage attenantes puis revient dans la grande salle, je regarde l’heure (ayant rapatrié mes affaires dans cette pièce), presque 35 minutes d’écoulées. Je grimpe sur la table, m’agenouille et je me penche en avant, ma tête touchant la table comme j’ai un petit cul, cette position écarte mes fesses et révèle ma rondelle humide. C’est la première chose que mon hôte verra en entrant avec mes testicules gonflés de foutre. Quelques minutes après, j’entends la grille qui s’ouvre, puis la porte, je ne bouge pas, je reste dans cette position d’offrande totale ! Le silence règne dans cette salle, je sens qu’une main caresse mes fesses, puis une deuxième main, je commence à gémir, doucement. Puis je se ...

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