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La leçon de musique

Publié par : thim29 le 06/11/2023

Philippe était professeur de musique au conservatoire et avait pour mission de m’apprendre à manipuler la flûte. Il était jeune, quelques années de plus que moi et je n’en étais que plus admiratif de sa dextérité. J’appréciais la courbe de ses doigts qui maintenaient avec une fermeté certaine cette tige de bois trouée, tout en restant souples. Je trouvais que Philippe conservait une belle petite gueule même en soufflant dans le bec de son instrument. Et puis, quand nous répétions dans cette salle avec un miroir derrière lui, je me délectais du galbe magnifique de son cul d’athlète.Ce jour-là, il faisait chaud et il était vêtu d’un short court et tout aussi moulant que son tee-shirt. Ses pectoraux saillants étaient ainsi mis en relief tout comme son magnifique cul que je regardais dans le miroir. Je le voyais m’observer et estimer où mon regard se dirigeait. Il avait un petit sourire aux lèvres.Au bout de quelques mauvaises notes dues à mon manque d’exactitude au niveau de la position de mes doigts, il vint se placer derrière moi et me posa ses mains sur les miennes pour les diriger avec une douce autorité. Sa peau était douce et je me sentais bien alors que je sentais son souffle dans mon cou et qu’il m’enveloppait contre son torse musclé. Je m’imaginais qu’il allait me faire l’amour et mon sexe s’est mis à gonfler. Je vis qu’il regardait dans le miroir et observait cette bosse qui pointait au travers de mon pantalon.Il défit un des boutons de ma chemisette et plaça sa main sur mon torse en me disant doucement dans le creux de l’oreille que c’était de là que devait venir mon souffle et qu’il allait m’accompagner avec la main dans mes respirations. Sa bouche était près de mon oreille et le souffle de sa voix engendrait une excitation supplémentaire pour moi. Sa main était si douce que son accompagnement retentissait en moi comme une caresse qui m’excitait sexuellement. Mon sexe gonflait de plus en plus et se trouvait fort à l’étroit dans mon slip en nylon.Au bout de quelques phrases musicales hésitantes de ma part, il retira sa main de mon torse, sourire aux lèvres, en regardant ma bosse dans le miroir. Il me dit que cet air était aérien et que pour mieux le jouer, je serais mieux pieds nus sur le plancher de bois. Il s’accroupit à mes pieds et me déchaussa non sans frôler ma bosse avec sa bouche en se relevant face à moi. Il reprit sa position dans mon dos, main dans ma chemisette et m’incita à reprendre au début de la partition. Au bout de quelques instants il m’arrêta et me glissa dans le creux de l’oreille qu’il me sentait trop dans un carcan, qu’il fallait que je me libère pour jouer pleinement. Il se plaça alors devant moi, nous étions face à face, presque collés l’un à l’autre et il dégrafa ma chemisette avant de me la retirer en passant ses deux mains dans mon dos. A cet instant, nos bouches étaient presque en contact et nos sexes aussi : j’ai bien senti que lui aussi avait une bosse bien formée.Selon ses indications, j’ai repris le morceau à son début et sa main gauche m’imprimait calmement un rythme de respiration non sans effectuer quelques mouvements délicats qui excitaient mon téton droit. De sa main droite, il continuait à diriger mes doigts droits ; là encore avec une agilité qui paraissait faire danser harmonieusement nos phalanges. Au bout de quelques instants de ce doux traitement, il m’arrêta de nouveau et me dit qu’il me trouvait encore trop entravé, qu’il me fallait me libérer de tout artifice matériel, que seule ma flûte et moi devions être en communion et il se plaça devant moi avec son magnifique sourire, ses yeux se noyaient dans les miens et sans dire un mot de plus il dégrafa ma braguette, fit tomber mon pantalon et il écarta l’élastique de mon slip pour en libérer ma tige turgescente. Il ne toucha que le tissu et le fit tomber à son tour à mes chevilles.Je me retrouvais nu et il reprit sa position derrière moi, main gauche sur mon téton droit et main droite sur ma main droite. Tous deux regardions mon sexe libre dans le miroir et je repris mes notes avec une liberté quasi-totale. Je sentais bien sa verge turgescente contre mes fesses. Au bout de quelques instants, son visage était illuminé de satisfaction et il se recula pour me laisser effectivement en communion avec mon instrument.Le tempo s’accélérait et tout mon corps vibrait au son de cette musique qui émanait de moi et de ma flûte. C’était si intense, si envoutant, que j’en fermais les yeux. Au moment le plus fort de la partition, j’ai cru que j’allais éjaculer et pour cause, Philippe s’était accroupi face à mon pieu dressé. Il s’était dénudé et m’a pris en bouche. J’ai ouvert les yeux et nos regards se sont plongés l’un dans l’autre.Il a continué à me sucer et j’ai continué à jouer. Il me suçait avec beaucoup de dextérité : sa langue virevoltait autour de mon gland et ses lèvres coulissaient merveilleusement le long de ma tige qui était engloutie parfois jusqu’à sa base, là où mes testicules entraient en contact avec son menton. Ses mains caressaient la base de mes testicules et il les prenait parfois entièrement dans sa cavité buccale en les faisant tourner avec sa langue : c’était délicieux. La musique nous accompagnait et j’étais envouté pour pouvoir continu ...

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