Avec notre ami Bertrand ma femme et moi avions pris pour habitude dès les beaux jours d’aller dans un endroit idyllique et charmant que nous connaissions pour disputer des parties de pétanque. Bertrand étant un célibataire endurci, il accompagnait souvent notre couple pour de terribles parties endiablées et arrosées de vin rosé que l’on nous servait dans un seau à champagne rempli de glaçons.C’était un long week end du moi de mai, Bertrand avait la visite de son frère qui était descendu de Paris avec un collègue de travail et de deux amis à lui qui venaient des Pyrénées Atlantiques.Nous avions tous fait connaissance autour d’un apéro, les pyrénéens avaient fait un détour par l’Espagne afin de ramener des alcools.Après les grillades, direction le terrain de boules. Nous faisions trois équipes de deux, je jouais avec ma femme.Les parties n'étaient pas sérieuses, certains manquaient de lucidité, les esprits étaient embués par les vapeurs d’alcool mais nous étions là avant tout pour nous distraire.Ma femme, comme à son habitude était courtement vêtue et jouait toujours accroupie en serrant ses genoux pour éviter que l’on puisses voir sa culotte. Enfin, parfois elle serrait les genoux, parfois elle oubliait de les serrer, dans le feu de l’action...J’observais que les garçons au lieu de rester près du joueur allaient tous au bout du terrain, échangeaient à l’attention de ma femme des mots à peine voilés du style « t’as pas peur de prendre froid » ?, « tu risques pas de t’enrhumer » ?Je réalisais qu’à sa grande habitude elle n’avait peut être pas mis de culotte, d’ou le déchaînement des garçons, j’allais les rejoindre afin d’avoir la même vue qu’eux et ma femme pour confirmer mes craintes, en me souriant écarta généreusement ses cuisses, j’aperçus ce que je redoutais, sa chatte, la salope n’avait pas mis de culotte, elle s’exhibait sans pudeur aux boulistes voyeurs, j’étais consterné.Elle avait bu et ne supportait pas l’alcool, je pouvais comprendre son comportement et ne lui en voulais pas, j’allais près d’elle et lui demandait de se redresser pour jouer, elle se mit à rigoler à gorge déployée, tomba et se retrouva les fesses en l’air, les boulistes applaudissaient, elle avait le cul nu, était sur le dos et écartait ses jambes ce qui permettait aux mateurs de découvrir entièrement son sexe impudique.Je me demandais où tout cela nous emmènerait, j’étais loin d’imaginer ce qui se passerait par la suite.Vu l’état de ma partenaire on abrégea la partie de boules et décision était prise de retourner chez Bertrand finir les grillades du midi, il restait de la viande à profusion.Après l’apéro du midi au pastis, le rosé de l’après-midi, nous remettions le pastis en apéro, je commençais à avoir mal de crâne, ma femme avait pris la sage décision de ne plus reboire. Sauf !…Sauf que Olivier le frère de Bertrand nous porta deux verres bien tassés, ma femme hésita et laissa le verre posé devant elle, je pensais le finir pour éviter qu’elle le boive, c’était mal la connaître. Je trouvais Olivier bien empressé auprès de ma femme, il s’en occupait bien, c’est vrai que selon l’angle on arrivait à voir sa chatte tant sa jupette était courte et que ma femme un vrai garçon manqué n’avait pas facilement cette habitude qu’on les femmes de tirer sur la jupe pour la descendre et de croiser une jambe sur l’autre pour éviter que les hommes matent.Elle était sagement assise à mes côtés, je m ‘occupais d’alimenter le feu du barbecue, les garçons se trouvaient à l’intérieur du mas, des éclats de voix m’indiquait que les bouteilles de pastis descendaient, j’entendais des chants, les drilles s’amusaient et rafraîchissaient leurs gosiers.Bertrand m’avait rejoint, il faisait bon de se retrouver près du feu par cette belle nuit de mai, les flammes captaient mon attention, je les fixaient, les bruits des voix s’étaient tus, j’appréciais la soirée, je regardais près de moi, ma femme n'était plus là.Je pensais qu’elle avait du aller se rafraîchir dans la salle de bains, se passer de l’eau sur le visage, prendre une douche, j’allais à sa rencontre voir si elle allait bien.Dans l’entrée je trouvais au sol sa jupe en jean jetée éparse au sol, son tee shirt de coton, ses souliers, des escarpins rouges assortis à son tee shirt.Je me demandais entièrement nue où elle se trouvait.Je grimpais à l’étage, dans l’une des chambres je reconnaissais les voix de certains des invités, des gloussements, des rires, des gémissements, des soupirs.J’ouvrais la porte de la pièce, je m’attendais un peu à ce que j’allais voir, jamais à ce que j’ai vu. Ma femme était entrain de se faire baiser par trois salopards, elle était allongée sur le dos sur Gino, sa queue dilatait l’anus de ma femme, les deux autres Eddy et Olivier étaient chacun dans sa chatte. C’était la première fois que ma femme faisait l’objet d’une double pénétration vaginale et d’une pénétration anale.Les bras m’en tombaient, le trio infernal m’avait vu mais aucun ne s'était arrêté, je regardais un peu admiratif la souplesse d’Olivier qui s’était introduit dans la chatte de ma femme en passant devant Eddy et avait réussi à rentrer dans ce trou accueillant.Ma femme jouissait, je ne voyais pas pourquoi je passerai pour un trouble fête en intervenant, elle ne semblait pas avoir besoin d'aide.Bertrand était monté aussi, je le voyais tomber son pantalon et la queue bien raide venir devant le visage de ma femme qui sans se faire prier pris sa bite en pleine bouche et commençait à le sucer alors que les trois autres occupaient tous ces trous.Eddy qui avait énormément bu me faisait des signes de le rejoindre en disant « viens elle est bonne la pute »…Il avait du oublier que c’était de ma femme qu’il parlait mais à quoi bon, il n’avait pas tord c’était bien une pute ce soir là…Je m’asseyais sur un petit siège crapaud et observais que chacun changeait de trou, Gino était maintenant dans sa chat ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad