Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... histoire fictive, seul mon amour pour ce Pierre est réel.Journal d’Isabelle n°33jeudi 19 janvier 2023 LA PROPRIÉTÉL’un de mes amours a eu la bonne idée de me retéléphoner avant-hier.— Allô ?— Salut, c’est Pierre.— Pierre ? répondis-je si émue.Pierre m’avait largué une ixième fois il y a quelques mois, mais je l’aime tant que je suis prête à tout lui pardonner.— Tu vas bien ?J’étais si heureuse.— Oui, maintenant je vais encore mieux.— Vraiment ? Tu ne m’en veux pas ?— Si, mais je t’aime trop...Je commençais à pleurer presque, pleurer de joie bien sûr.— Tu sais quoi ?— Nan, vas-y, dit.— Regarde par la fenêtre.J’ai tourné la tête... et je l’ai vu dans sa voiture, il était au téléphone... devant mon café-librairie.J’ai raccroché immédiatement et je suis sortie. J’ai ouvert sa portière. Il est sorti et je l’ai serré dans mes bras, le couvrant de baisers.Il s’est un peu écarté, et m’a regardé avec ce si beau sourire que j’aime tant.— Eh bé, dis-moi, tu es très belle comme ça, vraiment, ça te va mieux.J’étais habillée avec mes bottines noires, des bas en coton blancs, une jupe noire longue, une robe à marinière qui va aux genoux et qui laisse les épaules nues, un châle et comme toujours mon petit collier de soumise.Je me suis de nouveau serré contre lui. C’est là que j’ai senti la bosse naissante dans son pantalon.— Je te fais de l’effet mon chéri.— Viens, rentrons, j’ai des choses pour toi qui vont te plaire.J’étais surprise et je me demandais bien ce que ça pouvait être. On est rentré dans la librairie, il avait une petite valise avec lui. D’autorité, il a fermé la porte à clef et a tiré le rideau.— À genoux...— Isabelle ! l’ai-je informé de mon tout nouveau prénom.Il a souri.— Ça te va très bien... à genoux Isabelle ! m’a-t-il ordonné.J’ai obéi et je le regardai au-dessus de moi. J’avais le visage pile-poil au niveau de sa bosse.— Ouvre, prends-la, j’ai envie de pisser.Je me suis exécutée et j’ai bu l’urine avec gourmandise alors qu’il me tenait la tête par les oreilles.Une fois fini, il a remis sa bite en place. Il a ouvert sa valise et en a sorti un large collier en métal ainsi que des bracelets de poignet et de cheville en métal aussi.— Donne-moi ton cou.J’ai penché ma tête en ...

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