LE PRATICIEN PRATIQUÉ Marcello Ottimosesso est un psychanalyste exerçant à Venise. Très apprécié par une bonne part de la bourgeoisie locale.1932, sous le régime fasciste de Mussolini, sa profession n’est pas en odeur de sainteté... mais il continue malgré tout d’exercer.Ce jour-là, il reçoit Antonella Succhiacazzi, jeune mariée.— Buongiorno... vous êtes en avance, dit le praticien en entrant dans la salle d’attente.— Vous aussi, sourit-elle.Antonella, au contraire de ces habitudes passées, s’est habillée très “bourgeoise” stricte, pour ne pas encourir les foudres des bigots mussoliniens.Il l’a fait entrer devant lui dans son cabinet.L’endroit est rempli de bibliothèques où les livres sont serrés les uns contre les autres. Un grand tapis s’étale sur le parquet. Il y a un bureau, un fauteuil et un divan. Mais ce qui étonne le plus Antonella, c’est une statue de Priape, dieu de la fertilité, muni d’un membre d’une taille impressionnante.— Oui, je sais, elle surprend toujours, précise le psychanalyste, très courtoisement... mais installez-vous.— Sur le divan ?— Bien sûr... il n’y a pas d’autre choix.— Eh bien si, dit-elle avec un sourire enjôleur.— Je ne comprends pas.— Mon mari désire que je me donne à vous... à une condition.Marcello, bien qu’habitué des lubies de certaines ou certains de ses patients, ne peut être qu’étonné de ce préambule.— Mais pourquoi ? Et quelle est la condition, questionne-t-il.— Parce que j’ai lu votre roman pornographique, que vous avez publié sous un faux nom...Il rougi et croise les jambes comme pour cacher son émotion. — ...et que ce roman nous a bien excité tous deux. Aussi la condition est que mon mari nous rejoigne pour jouer une des scènes de votre livre.— Laquelle ? fait-il surpris.— Vous verrez bien... ne faites-vous pas dire à votre héroïne, Armance, que “Le mystère est le tapis de l’érotisme, et qu’il est si agréable de s’y allonger en s’offrant.”— Je vois que vous avez apprécié ce roman... de jeunesse, essaye-t-il de se justifier.— Alors ?Il desserre ses jambes, laissant entrevoir une bosse prononcée à son entrecuisse.— Eh bien... d’accord... mais je suis très curieux de la scène que vous avez choisie.— Je sais.Elle se lève, va au téléphone sur le bureau et appelle son mari.— Sandro, tu peux venir, susurre-t-elle avant de raccrocher.— Il arrive quand ? demande Marcello sans laisser penser qu’il est impatient.— Dans deux minutes, il attendait au café du coin.***Le mari, Sandro, est un bel homme, musclé, grand et plutôt svelte, avec un regard dominateur sûr de lui. Il s’est positionné derrière Marcello. Serrer contre lui, il descend son pantalon en lui mordillant une oreille.— Tu en as envie, hein ?Marcello n’ose rien dire, il se laisse faire, alors que sa “patiente” aidant son mari à baisser le pantalon de leur compagnon jusqu’aux chevilles, commence à flatter les couilles.— Qu’elles sont belles ! Et bien pleine.Sandro, dégrafant son propre pantalon, frotte son sexe contre les fesses de son amant partagé.— Tu veux que j ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad