Brusquement un éclair de lumière, je fus aussitôt aveuglé. Monsieur Henri sur l’ordre du Maître venait d’arracher mon bandeau. Je plissais les yeux laissant à mes pupilles le temps de s’accommoder à la lumière éclatante. Des hommes, des femmes, assis en arc de cercle tout autour de moi, m’observaient. Une lueur malveillante éclairait leur visage. En face, mon Maître, en chef de cérémonie, était assis sur un siège plus haut, ressemblant à un trône. Sol et Fa étaient couchés sagement à ses pieds. Maître Cyril semblait satisfait. Le timbre de sa voix était devenu plus accommodant : « Beau spectacle que tu nous as donné. Regarde derrière toi.» me fit-il amusé. Je tournais la tête avec peine. Des cheveux blonds apparurent, que je reconnus aussitôt. Mon amant d’une nuit se tenait à genoux derrière moi, les mains attachées derrière le dos. Il avait un bandeau sur les yeux. Sa langue allait et venait sur mon cul, sa salive remplissait la raie de mes fesses. Il poursuivait son office avec application. Sur ses reins je vis horrifié les marques sombres des coups de cravaches. Je fus soulagé mais la honte me repris. Je n’ose dire ce que j’avais imaginé. Le jeune homme continuait de me lécher le cul avec application. Tout désir et tout plaisir m’avait quitté. « Il suffit » tonna le Maître. Monsieur Henri se saisit de lui. Il sortit sa tête de mes fesses. Maître Cyril ordonna d’appeler un taxi pour qu’il rentre chez lui, et que l’on ne le revoit plus. Monsieur Henri poussa le bellâtre hors de la pièce. Tous deux disparurent à ma vue. Mon Maître s’approcha de moi. Il flatta ma croupe, glissa un doigt dans mon cul, puis deux. La salive du jeune homme lubrifiait mon anus, les doigts de Maître Cyril glissaient en moi sans effort dans un lent va et vient. Il imprimait par moment un mouvement circulaire pour dilater ma chatte à chaque fois un peu plus. « Je n’en ai pas fini avec toi » murmura-t-il à mon oreille. Je fus changé de place et me retrouvais à plat dos sur une table, les fesses tout au bord, attaché à nouveau. Je vis des mouvements autour de moi, l’assemblée s’animait Une Dame monta sur la table, souleva sa robe et s’accroupit sur moi. Je sentis le liquide chaud de son urine sur ma peau. J’ouvrais la bouche comme elle me l’ordonnait et buvait à la source son jet doré. Elle s’abaissa un peu plus jusqu’à s’assoir sur moi. Sa chatte sur ma bouche, mon visage enfouit entre ses fesses, je respirais avec peine. Son bassin bougeait d’un mouvement régulier, d’avant et d’arrière. Je léchais sa chatte gonflée avec application, nettoyant son humidité au gout exquis. Chaque frottement sur mon visage lui arrachait un cri de plaisir. Elle s’assis complètement, je ne respirais plus, elle cria de plus belle, et joui telle une femme fontaine, sa liqueur pénétrant mon nez, coulant dans mon cou. Lorsqu’elle me libéra enfin, à demi étouffé, une autre Dame pris sa place. Elle me pissa dessus avec délectation, me traitant de salope, de moins que rien, de putain. Prenant à pleine main la cage de chasteté, elle tirait avec force dessus m’arrachant des cris de douleurs. Toutes montaient une à une sur la table, me giflant au passage, déversant leur urine à grand jet sur ma figure et mon torse. Jouissant en chevauchant mon visage, frottant leur clitoris contre mes lèvres tuméfiées, ma langue, mon nez. Mes cheveux trempés d’urine collaient sur mon front. Lorsqu’elles avaient fini je devais remercier poliment avec beaucoup de gratitude. Je m’habituais à n’être plus que des chiottes pour Dames, lorsque tout à coup des mains puissantes relevèrent mes cuisses, un homme se tenait entre mes jambes mettant mon anus a porté de son énorme queue. L’homme était hideux, rougeaud, son visage pustuleux inspirait le dégout. Je n’eus pas le temps d’avoir peur, son premier coup de hanche m’arracha un cri de douleur, des larmes jaillirent de mes yeux. Il resta tout au fond, ne b ...

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