Tout d’abord, merci à tous ceux qui m’ont adressé un message. J’ai hésité à écrire cette histoire tout à fait vraie. En être arrivé là où j’en suis arrivé, m’apparaît comme fou. Cette expérience m’a fait me découvrir. Je sais maintenant qui je suis et ce que je cherche.Mais revenons à cette histoire. Le samedi suivant je suis revenu chez lui. Sous mes vêtements, j’avais mis mon collant-jarretelle noir et un string blanc en dentelle. J’avais pris avec moi un collier et une laisse. Dès que je fus entré chez lui, il me dit « Fous-toi à poil » Quand j’enlevais mon pantalon, il vit mes dessous « Tu portes des fringues de gonzesse ma salope » « J’ai aussi un collier et une laisse » « fais voir » Il me mit le collier et pris la laisse dans sa main. « Mets-toi à quatre pattes, chienne » Nous allâmes dans la chambre. « Grimpe sur le lit » Je mis sur le lit à quatre pattes, la laisse pendante. « Baisse la tête » J’obéis, il posa sa main droite sur mes fesses, me les caressa et me donna une claque dessus. Je poussais un petit cri. Il fit glisser mon string jusqu’à mi-cuisse et pris mes testicules dans sa main. En même temps il pinça mon sein gauche avec le pouce et l’index de sa main gauche. Il pinça fort le bout de mon sein en malaxant durement mes testicules. Je poussais un cri, j’avais mal. « Ta gueule, je ne veux pas t’entendre » « Ça fait mal » « Oui je sais » Il enleva mon string, le roula, me fit ouvrir la bouche et l’enfonça dedans. « Maintenant tu peux gueuler, personne ne t‘entendra ». Mes cris étaient effectivement étouffés mais j’avais toujours autant mal. « Pose ta tête sur le lit » Je sentis un de ses doigts sur mon petit trou. Il força et l’enfonça. « Aujourd’hui je vais t’enculer, tu vas vraiment devenir ma femelle » Il entreprit de mettre du gel sur mon anus, enfonça un puis deux et enfin trois doigts. Je gémissais de plaisir, c’était bon. J’aime être sodomisé. « T’aime ça ma salope » « On va voir ce que tu diras quand ce sera ma bite ». Il monta sur le lit, se mit derrière moi, je sentis son gland toucher mon anus, j’espérais qu’il avait mis une capote. Doucement mais fermement, je sentis son sexe entrer en moi. Je fis tout ce que je pouvais pour l’aider et au fur et à mesure qu’il s’enfonçait en moi, j’avais l’impression que mes fesses s’ouvraient en deux. Puis il commença à aller et venir. Heureusement que j’avais toujours mon string comme bâillon. Je respirais très fort et gémissais en même temps. Plus il me besognait et plus mes cris devenaient aigus. Il ...

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