Se observó esta historia : 3.9 / 4

 
( 0 = historia aburrida   4 = historia TOP )


Ajouter à ma liste
Le boulanger

Publié par : sensuelh le 11/01/2023

Depuis plusieurs mois, j'ai remarqué la présence aléatoire d'un jeune boulanger qu'il remplace la vendeuse, absente ou en congé. C'est une petite boulangerie de village au bon pain d'antan et aux viennoiseries gonflées que j'apprécie tout particulièrement les week-ends. Aujourd'hui, samedi 24 décembre, j'ai promis à mes hôtes de ce soir de me charger du pain pour les huîtres et le foie gras. Il est environ 16 heures lorsque je pénètre dans la boulangerie où bon nombre de clients m'ont devancés. La vendeuse n'est pas là et c'est Medhi qui assure les ventes. J'aime beaucoup ce garçon. A peine 30 ans (29 exactement) il est aimable avec la clientèle, souriant et d'une présence admirable. Il tranche le pain, choisit les plus ou moins cuits en fonction des désirs des clients et toujours avec une voix douce et posée. C'est un vrai plaisir pour les yeux de le voir s'appliquer à donner satisfaction à la clientèle, essuyer ses belles mains de manuel sur son tablier qui dessine une silhouette de rugbyman. Épaules larges, allure un peu trapue comme un pilier de rugby. Ses cheveux coupés courts sont bruns et épais. Ses yeux verts sont brillants, expressifs et ornés de longs cils noirs. Il est de type méditerranéen voire maghrébin. Je l'observe travailler pour les clients devant moi. Habituellement, je déteste attendre dans un commerce mais là, je profite de ce moment pour le détailler et j'en éprouve beaucoup de plaisir, comme chaque fois où il remplace la vendeuse charmante, mais tout de même une femme ce qui n'est pas franchement pour me faire vibrer.Vient mon tour et il ne reste qu'un client âgé derrière moi. Medhi me demande « ce qui me ferait plaisir ». Si j'osais lui répondre, il rougirait certainement. Oui, rien que de le voir me fait plaisir... Je réponds donc que je souhaite deux baguettes plutôt cuites car mon père aime les croûtes brunes alors que moi je les préfère tendres et blanches. J'ajoute également une tourte paysanne que Medhi me propose de trancher. J'accepte sa proposition pour rester un peu plus en sa compagnie, client bichonné par le beau boulanger. Il me tend mes paquets et fait les comptes. Lors de la remise de la monnaie, ses doigts effleurent les miens. Ils sont chauds et doux, un peu farinés. Ce contact est très sensuel et je me plais à le faire durer.Medhi me donne congé et prend en main le client suivant. Je range lentement mes pains dans un grand sac de grande distribution et quitte à regret ce boulanger décidément trop séduisant. Je sors de la boutique et machinalement, profite du soleil doux d'hiver pour me rouler une cigarette. Le dernier client sort avec son panier en osier. Medhi baisse le store sur les rayonnages un peu vides désormais. Il ferme la porte en m'adressant son plus joli sourire. Une fois la boutique plongée dans le noir, la petite porte de service grince et laisse apparaître Medhi qui a quitté son tablier enfariné. Il me sourit en me demandant si je pouvais le dépanner de feu. Il tient une cigarette roulée entre ses doigts forts. Avec plaisir, j'allume sa cigarette dont il inspire profondément la première bouffée. Pour éviter un silence un peu gênant, je lui demande si la journée est finie. Medhi me répond que la journée est finie mais qu'il reprendra le travail dans le fournil à vingt-trois heures pour assurer les commandes du matin de Noël. Je l'imagine en débardeur blanc, tablier et mains dans la farine, enfournant les pains et viennoiseries dans un four rendant le fournil un peu étouffant.Je réplique que les fêtes ne sont sûrement pas de tout repos pour les boulangers. Il sourit et me répond que les heures supplémentaires pour les fêtes arrondissent sa fin de mois.Oserais-je lui proposer de prendre un verre ? Je ne sais comment m'y prendre. Je fais le constat pour lui que c'est donc la pause. Réponse : « Oui, jusqu'à ce soir, mais côté fournil ». Je meurs d'envie de lui proposer de prendre une bière dans le troquet du coin et me lance finalement. Medhi me répond qu'il est sans doute fermé en cette veille de Noël. Je ne me dégonfle pas et lui répond « Eh bien, je vous offre un verre dans mon salon, à la chaleur de la cheminée ! ». Gonflé le mec... Medhi me répond qu'il ne veut pas me déranger mais qu'il prendrait bien un café pour mieux amorcer la nuit de travail. Gagné, je vais passer un peu de temps avec lui et faire plus ample connaissance. Je lui indique que j'habite le village d'à côté ce à quoi il répond qu'il le sait puisque je viens chercher des fromages de chèvres chez la productrice qui habite à côté et que tout le monde connaît tant sa production est de qualité. On y va donc. Nos deux véhicules quittent la place du village et parcourent rapidement le trajet qui nous sépare de mon domicile.Nous sommes donc devant la maison qui a toujours cet air de demeure de famille qui a traversé les années avec la même lignée de propriétaires.Poli et précautionneux, il quitte ses chaussures sur le paillasson malgré ma réprobation. Nous nous installons sur le canapé de cuir rouge, devant le feu qui danse derrière la vitre. Il fait chaud mais c'est appréciable surtout que mon jeune boulanger se voit contraint de quitter son manteau à chevrons gris anthracite pour afficher un sweet-shirt fin et joliment orné de motifs géométriques colorés. Je quitte également mon pull d'éleveur de chèvres pour me retrouver en T-shirt et enfile mes tongs qui me semblent plus sexy que des charentaises. « Café expresso ou allongé ? » lui demandais-je. « De préférence allongé ». C'est parti, je sais qu ...

... Entre para leer el final de esta historia erótica | inscripcion 100% gratuita


Palabras clave : Histoire 100% vécue, Gay, Bisexuel, Fellation, Jeunes, Mûrs, Maghrebin(s), Marié(e)s