Le carnaval de Venise est incontestablement un évènement magique qu’il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie. J’ai eu la chance d’y assister sur l’invitation d’un couple d’amis italiens qui vivent en France mais possèdent un appartement là-bas. Pour des raisons professionnelles, ils ne pouvaient être à Venise à cette période et ils m’ont proposé de profiter de leur logement à leur place. J’acceptai avec grand enthousiasme. C’était un rêve que se réalisait pour moi. Dans le bateau-navette qui me conduisit de l’aéroport à la ville, je ne pouvais m’empêcher de sourire en pensant à la chance que j’avais. L’appartement était situé au bord d’un canal dans le quartier juif et je fus le premier passager à débarquer, seul, à Campanile Madonna del’Orto. De là, je n’avais que quelques ruelles à parcourir pour rejoindre mon gîte. Ma première journée fut une longue marche dans le dédale des rues secrètes et des ponts enjambant les canaux pour rejoindre tous les incontournables comme le Rialto, la place Saint-Marc, la scuola di San Rocco… J’avais cinq jours entiers devant moi pour jouir pleinement de tous ces lieux magnifiques et j’étais bien décidé à en profiter. Au gré des carrefours, des ponts et des entrées, je rencontrai une multitude de personnages semblant tout droit revenus du XVIIIème siècle. Les robes chatoyantes des femmes rivalisaient avec les habits élégants des hommes. Des comtesses, des marquis, des courtisanes croisaient mon chemin sans cesse, bientôt rattrapés par un bouffon ou un pirate de passage. Derrière leurs masques, tous ces êtres au visage lisse et impénétrable, donnaient libre cours à leur anonymat pour partager un voyage irréel dans le temps. Le soir, je regagnai l’appartement épuisé par cette marche et grisé de ces rencontres féériques. Le lendemain, en quittant mon domicile, je rencontrai un couple que j’avais remarqué la veille place Saint-Marc. Elle portait une robe à paniers dans les tons de vieux rose et de vert d’eau et une haute perruque bouclée sur laquelle reposait un trois-mâts tandis que lui arborait un habit de marquis dans les tons de brun et un tricorne à plumes roses et vertes assorties à la robe de sa femme. Ils se cachaient tous deux derrière des masques blancs parfaitement sobres. Je passai ma journée à parcourir la cité mythique dans tous les sens et à plusieurs reprises, je rencontrai ce couple. Quel que soit l’endroit où je me trouvais, leurs pas croisaient les miens. Il était clair que ce n’était pas le fruit du hasard. Ces gens me suivaient mais pourquoi ? C’est le jour suivant que la réponse me vint. Je les aperçus de loin. Ils parlaient à un jeune garçon qui se dirigea aussitôt vers moi. Il me remit une petite enveloppe. On se serait cru au 18ème siècle à l’époque des plis que les nobles s’échangeaient par coursiers. Le temps pour moi de la saisir, lorsque je relevai les yeux, ils avaient disparu dans le labyrinthe des ruelles anciennes. Je décachetai l’enveloppe rose fermée de cire vert pâle et lus : « Il n’est de plaisir véritable que dans le partage. Acceptez d’être notre hôte d’un soir. Des saveurs de la table à celles de l’amour il n’y a qu’un pas. Franchissons-le ensemble s’il vous plaît » Suivait la date du jour à 20 heures et une adresse. J’en restai stupéfait. Ce couple d’inconnus m’invitait ni plus ni moins à partouzer avec eux. Je ne les revis pas de la journée. Cependant, mon esprit fut constamment occupé par ce message énigmatique. Devais-je me rendre à ce rendez-vous ? Quel risque allais-je courir ? Pourquoi moi ? La réponse m’arriva à nouveau par un jeune coursier alors que je déjeunais à la terrasse d’un petit restaurant. Sans un mot et sans même s’arrêter, il déposa une nouvelle enveloppe sur la table. « N’ayez pas d’inquiétude. Vos amis sont également les nôtres. Ils nous ont révélé votre grande sensualité. Notre seul objectif est une extase commune. » Cette missive leva toute hésitation. Si nos amis communs me recommandaient à eux, quelle raison aurais-je de refuser une soirée de sexe ?Je me présentai à l’adresse indiquée à l’heure dite avec un bouquet de roses roses mêlées de quelques roses vertes et une bouteille de champagne. L’homme m’ouvrit. Il portait une large chemise à jabot de couleur noire et un pantalon à pont fermé de boutons argentés. Surtout, il portait toujours un masque, noir cette fois, qui couvrait le haut de son visage mais terminé en bas par un volant de dentelle noire également qui m’interdisait de voir la moindre partie de son facies. Je le saluai mais sans un mot il s’inclina en retour et m’invita à entrer. Il me conduisit dans un grand salon-séjour dont les fenêtres donnaient sur un canal. En face, on apercevait par la large fenêtre un autre appartement où se déroulait une fête costumée. Sur la table du salon, trois verres, un seau à champagne et tout un assortiment de petits plats contenant des préparations salées faisaient office de buffet. Un fonds musical occupait l’espace. J’étais à peine entré que mon hôtesse fit également son entrée. Son visage était dissimulé derrière le même type de masque que son mari mais d’un blanc immaculé. Sous une robe d’intérieur à motif cachemire à dominante de rose, je devinai un corset de soie blanche. Elle me tendit la main avec élégance pour que j’y dépose un baiser et s’assit dans une bergère. Elle dévoila, en les croisant, des jambes magnifiques gainées de bas tenus par un porte-jarretelles en dentelle et une petite culotte, assortis au corset. D’un geste, l’homme m’invita à m’asseoir face à son épouse. Il nous tendit à chacun un verre de champagne. Pas un mot n’était prononcé. D’un geste, il m’invita à me servir les mets de mon choix et alla s’asseoir sur l’accoudoir de la bergère qu’occupait son épouse. Avec douceur, il écarta les pans de la robe d’intérieur de sa femme et lui fit décroiser les jambes. J’avais désormais une vue imprenable la jolie culotte de dentelle. La main de l’homme glissa sur la cuisse l’effleurant du bout des doigts. Les jambes s’écartèrent. L’homme glissa un mot à l’oreille de sa femme qui se leva, ôta sa robe d’intérieur et se rassit en ouvrant largement les cuisses cette fois. Elle posa les pieds chaussés d’escarpins à talon sur le bord de la table basse. La main masculine retourna se poser sur la peau veloutée et remonta jusqu’à la culotte qu’elle écarta. La fente parfaitement lisse m’apparut. Avec habileté et tout en me fixant du regard, l’homme sépara légèrement les lèvres pour me faire entrevoir les reflets nacrés de l’intimité de sa partenaire et commença à titiller le petit bouton de chair. La femme s’agrippa à l’avant-bras de son mari et sa respiration se fit plus sonore. Après quelques instants de ce joli spectacle, il parla à nouveau à l’oreille de sa femme qui se leva et s’approcha de moi. Elle s’agenouilla devant moi et posa ses mains sur mes genoux puis remonta lentement vers ma braguette. Elle caressa mon entre-jambe avant de lentement défaire ma ceinture, défaire le bouton et descendre la fermeture éclair. Sans attendre, elle sortit mon sexe déjà bien dressé et commença à le branler puis à le sucer. Derrière le voile de dentelle je ne voyais pas sa bouche s’activer mais la sensation était extraordinaire. L’homme pendant ce temps ôta sa chemise. Il était svelte, parfaitement lisse. Il vint s’agenouiller derrière sa femme et commença à dénouer le ruban de satin qui fermait le corset à l’arrière puis, ayant déposé la pièce de soie près de lui, il s’empara de ses seins et les caressa tandis qu’elle continuait de me prodiguer ses bienfaits. Il se leva et contourna le fauteuil où j’étais assis. Je sentis ses mains se poser sur mes épaules et descendre sur mon torse. Il titilla mes tétons à travers le tissu de ma chemise. Je fermai les yeux. Ses doigts s’appliquèrent alors à me déboutonner et il ouvrit largement les pans de ma chemise pour caresser ma poitrine. A la fois entrepris par l’homme et la femme, je ne pus réprimer mes premiers soupirs. L’homme déboutonna lentement les boutons de son pantalon à pont e ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad