J'habite un petit village qui est également peuplé d'Anglais.J'avais fait la connaissance de l'un d entre eux qui venant faire des travaux de jardinage chez le voisin, se garait devant chez moi et nous avions échangé quelques mots, mon anglais étant aussi limité que son français.C'est un métis d'une cinquantaine d'années plutôt petit gabarit.Un jour où j'étais un peu chaud, étant seul a la maison pour la journée, je commençais à mater du porno. L'excitation montant, je commence à me déshabiller puis à choisir une tenue de salope, car même seul, j'aime me voir comme ça.J'enfile des bas avec un porte-jarretelles, une culotte ouverte, puis un soutien-gorge balconnet qui fait pointer mes petits seins. Je m'installe dans cette tenue devant mon ordi et lance une vidéo. Excité par ma tenue et les images, je me caresse mes tétons, les étire, les pince et je ferme un peu les yeux écoutant les gémissements du film.À ce jeu, je sais que je vais avoir envie de mon plug de 10cms qui va m'ouvrir la rondelle.Quand je sors de ma torpeur, je sens une présence et me retournant, je vois devant ma fenêtre mon anglais qui me regardait. Sur l'instant un peu surpris d'être pris en flag, je ne sais pas quoi lui dire et a priori lui non plus.Il finit par me dire qu'il avait un souci technique ce qui justifiait sa présence devant ma fenêtre et il rajoute :J'aime comment vous êtes habillé.Ces mots détendent un peu l'ambiance et je lui fais signe de rentrer. Ayant des talons aux pieds, pour faire cette opération, je me mets à tortiller du cul (je ne suis pas très doué pour marcher avec des talons. ) devant mon anglais médusé qui j'apprends s'appelle Paul.Son regard sur moi change et je vois son regard se charger de désir. Je me sens femelle, désirable, convoitée. Je me cale contre ma table j'écarte mes jambes,j'entends le crissement de mes bas et je l'attire contre moi fougueusement pour l'embrasser.Paul partage mon baiser, active sa langue dans ma bouche suce mes lèvres,ma langue et plaque ses mains sur mes fesses pour rapprocher son pubis du mien. Je sens dans son pantalon quelque chose de dur et volumineux. Je suis en transe, je n'ai jamais vécu un mome ...

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