POUR FAIRE SUITE à l´épisode de ma rencontre avec les trois bucherons de la ville de mennecy et le fait qu´ils m´ont surpris en plein exhibitionisme dans le parc, qu´ils m´ont abusé ensuite et raccompagné chez moi, il fallait que j´en parle à ma femme d’une manière où d’une autre surtout qu´ils avaient insisté sur le côté bien foutu de mon épouse, il ne faudrait pas que cela dégénère trop, de toute façn ils allaient revenir me chercher et ma femme trouverait celà inhabituel .Nous étions un lundi matin et comme de coutume je me préparai pour aller faire une marche à pied dans le parc, elle finissait son petit déjeuner dans la cuisine, nous ne faisions plus grand chose ensemble au point de vue sexe, quelques gâteries au plus, comme par exemple recevoir une fessée pour moi et quelques léchouilles por elle, je lui faisais remarquer qu´il y avait longtemps qu´elle´avai pas exercer ses talents de fouetteuse, elle était encore en pijama, on était en été, il faisait chaud, elle se prit au jeu et alla chercher le martinet, elle revint me dit de sortir dehors, de baisser mon jogging, elle a l’habitude de pas prendre de gants , elle baisse le slip très vite et m’assène rapidement 20 ou 30 coups sur les fesses, penché sur la table de jardín, quand elle termine en général je lui attrape les fesses, je la bascule sur la table lui baisse son pijama et je lui bouffe le cul et la chatte, elle gemit et ferme les yeux et c´est ce moment-là que je choisi de lui parler pour avoir la conscience tranquille.-je dois te dire quelque chose, les trois bucherons m´ont surpris dans le parc alors que je me branlais, ensuite ils m´ont fait chanter et m ont enmené dans une clairière pour m´abuser et j´ai dû les laisser faire.-Ah bon me dit-elle et que s´est-il passé-Ils m´ont sodomisé-Tous les trois me dit-elle, ça a dù te faire mal, c’est bien fait pour toi , tu n´a qu´a baiser à la maison, et alors cést tout me dit elle, toujours le cul à l´air,-je répondis que non, et lui expliquais quíls l´avaient reluquer avec insistance quand ils sont venus me raccomnpagner lundi dernier, qu´ils avaient dit qu’ ils pourraient s´occuper de toi aussi bien sûr toujours sous le coup du chantage.-Elle se releva remis son pijama me regarda méchamment et s’en alla dans sa chambre, dédaigneuse.Pour moi le plus dur était fait, j´avais balancé le problème, quelle serait sa réaction, mystère.Le mercredi matin alors que j´étais déjà en jogging pour sortir vers 9h00,je ne pouvais pas le croire, mais on sonna à la porte, je regardais par la fenêtre et vis mes trois lascars, deux ètaient dans le pick-up double cabine avec le logo de la mairie, je suppose que c´est Robert qui sonne à la porte, ma femme était au premier étage,J´ouvris la porte d´entrée et saluais Robert à haute voix.-Tu es prêt me dit-il, on t´enmène en forêt de fontainebleau,on va te faire connaître de nouveaux chemins et on prendra le café avec des collègues à nous.Ils semblaient avoir oublier ma femme et cela me rassura un peu, je leur répondis que j´étais prêt et c´est à ce moment là que tout a basculé, ma femme Jenifer descendait les escaliers habillée et prête elle aussi, les yeux de Robert s’écarquillèrent,Ma femme est sud américaine, petite, 150 cm proportions 90-60-90 pas mal disons-le, elle avait mis un jean collant, des bottes noires, un chemisier rouge assez collant au corps, un maquillage à la limite du raisonable, en fait un peu pute sur les bords, elle ne me l´avait jamais faite.Robert était toujours silencieux, -Je viens avec vous, moi aussi je veux prendre le café et j´ai mis des bottes pour aller en forêt, Je fus très surpris de tout et pas préparé du tout à la suite des évennements, elle passa devant moi avec un regard qui en disait long sur ses intentions, je fermais la porte , Robert la suivi et la fit Monter à l´arrière du véhicule, il me fit signe de Monter à l´avant à côté de André, Robert monta aussi à l´arrière, ma femme était bien coincée par les deux enormes bûcherons d´environ 190cmLa voiture demarra et se dirigea vers Fontainebleau, je n´étais pas très rassuré, André avait réorienté le retroviseur, ma femme avait posé sa tête en arrière sur le fauteuil, Robert et Marcel avaient chacun ne main dans le corsage et malaxaient ses seins, elle se laissait faire visiblement, la suite promettait. André certainement excité par ce qu´il voyait me caressait la cuisse tout en conduisant, je fixais le rétro et angoissais un peu, les mains baladeuses continuaient leur exploration et je vis qu´elle ecartait les cuises quand Robert lui frotta le vagin, je ne me fis plus d´íllusion sur le sort qui nous attendait tous les deux, ma femme avait annoncé la couleur.Enfin la voiture ralentissait, on tourna sur une voie forestière à droite et on s´arrêta devant une barrière fermée, Marcel descendit du véhicule, enleva le cadenas ouvrit la barrière, la voiture passa de l´autrte côté, marcel referma la barrière avec le cadenas,au moins personne ne viendrait déranger, Marcel remonta en voiture et nous nous dirigeames droit devant, il fallut bien encore 20 minutes avant d´arriver dans une clairière avec une cabane , une table en bois et deux bancs en bois, trois hommes nous attendaient,tranquillement assis, une cafetière sur la table fumante, Robert avait prévenu par téléphone que nous arrivions et il avait bien précisé que nous étions cinq et non pas quatre faisant comprendre aux autres que ma femme était du voyage.Je jetais un oeil dans le rétroviseur et vis ma femme un peu angoissée mais déterminée, elle me fit un sourire du coin des lèvres, qui voulait dire tant pis pour toi. La voiture s´immobilisa, André sortit le premier, suivi de Marcel qui vint m´ouvrir la porte, Robert accompagnant ma femme et la tenant par le bras, je vous presente Jean-Louis, Pierre et Luc nos amis et collègues, voici Francis et son épouse Jenifer, volontaires je precise , claironna Robert, aller un petit café pour tout le monde.Jenifer était assise en face de moi sur le même banc que Robert Marcel et André . Jean-louis, Pierre et Luc, m´entouraient sur l´autre banc, tout a basculé quand Robert a dit de passer aux choses sérieuses, il fit signe à Pierre qui semblait être le meneur de s´occuper de moi sous-entendu que lui et ses deux accolytes s´occuperaient de ma femme, il lui demanda si elle était d´accord et si elle désirait quelque chose de plus, questions auxquelles elle répondit par oui et demanda de voir les hommes entre eux, ce qui voulait dire me voir moi. C´était pas sympa de sa part, mais on ne m’a rien demandé à moi.Pierre me fit me lever et sans ménagement me baissa le pantalon de jogging et le slip, me courba sur la table le nez devant ma femme elle poussa un cri sûrement quand elle vit le braquemard de Pierre qui s´apprétait à m´empaler, je levais la tête pour voir son expression et c´est à ce moment là que la douleur me fit hurler, certainement un penis de plus de 20cm me déchirait le cul , ma femme poussa un deuxième cri puis se mit à sourire, j´étais vaincu et enculé devant ma femme. La leçon était en cours, Pierre, jean-louis et Luc me trainèrent vers la cabane où ils me ficelèrent entièrement nu sur une espèce de tréteau, me permetant de voir ce qui se passait à l´extérieur de la cabane, j´étais à environ 10 m de la table où ma femme se tenait toujours assise avec les trois autres lascars qui avaient décidé de prendre leur temps en buvant un deuxième café, je sentís Pierre qui remettait le paquet et il m´encula avec un peu de gel cette fois, et commença à me laminer comme un professionnel, j´avais mal au derrière mais la suite allait me faire oublier mes maux.Robert termina son café le premier se leva et vint par derrière il empoigna les deux seins de ma femmes et la pelota disons avec délicatesse pas comme pour moi, ils la ménageaient sachant sûrement qu´elle faisait des efforts terribles juste dans le but de me faire bouillir.Il faisait environ 28 degrés, une chaleur pour tout faire, Robert déboutonna le chemisier et fit jaillir les deux seins de Jenifer hors du soutien-gorge, Marcel super excité fit passer les deux jambes de Jenifer par dessus le banc et elle se retrouva assise dos à la table, marcel pu ainsi déboucler son ceinturon, et tira sur les deux jambes du jean le faisant glisser sur ses bottes, je les voyais tres excités tous les trois, ma femme n´avais plus de chemisier ni de soutien-gorge, ils la firent mettre à genoux sur le banc, la poitrine sur la table, le cul encore couvert de son slip rouge lui aussi comme le soutien-gorge, tout pour exciter un mâle, en fait ma femme me faisait toujours face dans cette situation, elle vit que je bougeais régulièrement et sourit à nouveau, elle se comporte comme une garce, hélas je vis Robert baisser son pantalón, il bandait comme un turc, il arracha le slip de ma femme, lui parla à l´oreille, elle fit un signe de la tête et Robert l´enfourna avec un réel plaisir, tout le temps qu’elle s’ est fait mettre par Robert elle me regarda dans les yeux pendant que je me faisais enculer par Pierre.Je baissais mon regard, je sentís Pierre me donner des coups de boutoirs sur es fessese il ejacula sans capote dans mon cul , je bandais comme un malade, je relevais la tête et je vis Rob ...
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Sí, tengo mas de 18 anos ! No, soy menor de edad