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Le Majordome (1)

Publié par : bimurcirc le 09/06/2024

A l’occasion d’un job de livreur pendant les vacances scolairesalors que j’avais 17 ans, j’ai fait la connaissance de deux vieuxaméricains d’une soixantaine d’années, fortunés, amateur dejeunes minets dociles (cf La Livraison).Je n’en ai plus entendu parler et j’ai poursuivi mes études tout àfait normalement. L’année suivante j’avais une copine de 16ans, Laurence C., blonde aux yeux verts et bien roulée, filled’un metteur en scène de cinéma habitant Rue du Bac. J’avais18 ans, je passais beaucoup de temps avec elle et eux dans unmilieu particulièrement libre pour l’époque sur le plan desmœurs. Un Dimanche de Mai, les C. m’ont invité à déjeunerdans un restaurant du Quai Voltaire…souvenirs, souvenirs…c’est là qu’habitaient mes deux américains, mais cela n’auraitjustifié en rien de ne pas accepter l’invitation des C.Nous voici donc attablés tous les six, le couple C., ses troisfilles et moi, lorsque vers la fin du repas, je vois entrer les deuxaméricains qui me repèrent tout de suite, mais, mine de rien -ce que j’apprécie -, ils vont s’asseoir à une table un peuéloignée. Notre repas se termine, nous nous levons et, sortantle dernier du restaurant comme la courtoisie m’y incite, lemaître d’hôtel vient me glisser une carte de visite dans lamain….un simple numéro de téléphone figure dessus, riend’autre…je n’ai bien évidemment aucun doute quant à saprovenance.Rentré chez mes parents, je m’isole et appelle le numérofigurant sur la carte « Allô? C’est toi…je me doutais bien que tuallais nous appeler rapidement…tu étais une bonne petitesalope…cela n’a manifestement pas changé. C’est parfait.Nous avons un travail à te proposer l’été prochain. Pourrais tupasser nous voir pour que nous en discutions tous les trois sicela peut t’intéresser?» Je remerciais mon interlocuteur, luiconfirmais que j’étais déjà en recherche d’un job pour l’été maisque je n’avais encore rien trouvé qui me satisfasse et prenaisdonc rendez vous pour une fin d’après midi de la semainesuivante.Je me présente donc à l’heure dite sur le palier del’appartement où je m’étais déjà rendu trois fois l’annéeprécédente. Je sonne. « Hi buddy! Come on in! » me dit celuiqui venait déjà ouvrir les fois précédentes, habilléclassiquement d’un pantalon en toile et d’un t shirt. Je le suisdans le salon où se trouve son ami, assis dans le mêmefauteuil que d’habitude, vêtu d’un pantalon de cuir noir et d’unechemisette.«Nous ne nous sommes jamais présentés! Voici Jack et moic’est David. Et toi comment t’appelles tu? » me demande celuiqui est encore debout et que je viens de suivre.«Je m’appelle Pierre » répondis-je.« Good » dit Jack à ce moment là. « Nous avons besoin pourcet été d’un majordome/chauffeur dont les attributions ne selimiteront pas strictement à ce rôle, tu t’en doutes puisque tuconnais nos petites manies…et que tu y as répondu trèsgentiment l’an dernier… »Je voyais évidemment parfaitement là où il voulait en venir…jeleur avais servi d’escort boy, autrement dit de petite pute,lorsque j’étais venu chez eux pour leur livrer deux paires delunettes.« Combien de temps aurais tu de disponible cet été? »« Environ six semaines du 1er Juillet au 15 Août »« Pas plus? »« Non car après je dois partir, juste avant la rentrée, envacances avec ma copine»« La jolie petite salope blonde à gros seins que nous avons vueavec toi, je suppose ? »« La blonde, oui, c’est ça »« OK, je comprends. Six semaines seraient déjà mieux querien. Tu te doutes que c’est un job qui demande une discrétionabsolue et une confiance totale de part et d’autre. C’est l’unedes raisons pour lesquelles nous avons pensé à toi, les autresétant notamment ton physique et tes aptitudes. »« Merci beaucoup… »Je comprenais parfaitement ce qui m’attendait si j’acceptais.Inutile de demander de préciser les détails du job…Jack poursuivit ce que David avait entamé :« Tu logerais ici. Nous avons une chambre et une salle debains indépendantes. Donc ton hébergement et tes repasseraient entièrement à notre charge. Par contre pendant ces sixsemaines, tu n’aurais aucun jour de repos et tu devrais être ànotre entière et totale disposition. Moyennant quoi tu recevraisune rémunération nette de charges sociales et d’impôt de Xfrancs. Are you ok with all this? »Le montant annoncé était proprement exorbitant. Je me doutaisdonc que le « travail » allait être varié et intense…Ma décision de reprendre mon rôle de petite pute fut vite prise,je l’avoue toute honte bue.« Entendu, je comprends… J’ai confiance en vous. Mais j’aibesoin d’une couverture vis a vis de mes parents et de macopine… »« Bien sur, c’est aussi notre intérêt. C’est pour cela que nous teferons un contrat de travail de majordome/chauffeur,maintenant que tu as ton permis, tout a fait classique. Le resteest d’accord entre nous et ne figurera nulle part. Trust andnothing else between us ».« Great! Let’s celebrate! » David sonna et la même vieilleservante qui était déjà là l’an passé apporta une bouteillede champagne et des flutes, l’ouvrit et nous servit, restant enarrière pour attendre la demande suivante.« Tu connais Yvonne. Elle est notre femme de chambre/cuisinière depuis une dizaine d’années. C’est une tombe. Si ellea besoin que tu la soulages, tu lui obéiras ».Jack dit alors :« Sors la, petite salope, que l’on voit si elle a bien grandi! »Je m’exécutais docilement, sortant ma bite et mes couilles demon pantalon et de mon slip.« Nice! Il me semble qu’elle a grossi…tant mieux! We’ll havefun. Tu auras une tenue de service adaptée. Quelle est ta taillede chaussures? »« 42/43 je crois »Je remballais mon matériel et prenais congé.J’étais à la fois ravi et inquiet de ce que j’allais devoir assurer :je retrouvais le rôle que j’avais assuré à trois reprises, mais àplus grande échelle, à n’en pas douter! Il fallait aussi que je nelaisse supposer à personne, et surtout pas à ma copineLaurence, mes attributions exactes. J’avais quelques semainespour lui faire du bien avant que mon job ne m’accapare.Je me suis donc attelé à cette tâche avec conscience, profitantautant que faire se peut de ses gros seins pointus, de sa chattebaveuse surmontée d’une superbe touffe blonde (une vraieblonde, c’est rare!) et d’un cul très étroit. Elle savait quependant six semaines nous aurions peu de chances de nousvoir et, par conséquent, elle faisait des réserves de bite…Unevraie petite chienne, toujours en manque, toujours mouillée,toujours prête à prendre…Serrée du cul et du con, elle me tiraitle jus en se faisant très peu limer : un régal!Le 1er Juillet était un Samedi. Je me présentais avec mon petitbaluchon au domicile de mes nouveaux amis et néanmoinsemployeurs…Yvonne m’a ouvert la porte, David et Jack étantabsents. Visage impassible, tenue toujours aussi stricte qui nepermettait en aucune façon de deviner ses formes, elle devaitavoir une petite cinquantaine d’années. Me précédant, elle m’afait visiter l’appartement puis m’a conduit à ma chambre.« Ces messieurs seront de retour probablement en début desoirée. Je vous ai mis sur votre lit les tenues de service qu’ilsm’ont confiées pour vous ».Ces dernières étaient réduites à leur plus simple expressionmais, sur l’indication d’Yvonne, j’ai su que pour le soir même jene devais porter qu’un minuscule tablier blanc et deschaussures à talon de 14 cm qui avaient été faites sur mesurechez Ernest.« Ces messieurs m’ont chargé de vous suggérer de vousentraîner à marcher avec ces chaussures, au cas où vous n’enauriez pas l’habitude » a-t-elle ajouté avec un sourire en coin…Seul dans ma chambre, j’ai revêtu - si j’ose dire - ma tenue : letablier ne cachait pas la totalité de ma bite au repos, c’est direla taille de cet accessoire qui devait me servir de vêtement, etles chaussures n’étaient pas simples à enfiler. Difficile - pour nepas dire impossible - au début de rester debout! Après m’êtretordu les chevilles et être tombé un bon nombre de fois, jeparvenais en fin de journée à marcher à tous petits pas, ce quime donnait une allure parfaitement ridicule, de précieuse dumême nom!Vers 18h30, Jack et David sont arrivés et m’ont fait appeler parYvonne, dont le regard sur ma tenue ne me laissait aucundoute sur son appréciation.« Hi Pierre, nice to see you! Great looking! » me dit Jack dansle salon où il était déjà assis.« Cette tenue te va à ravir, ma petite salope » enchérit David.« Ce soir, tu feras le service à table, nous ne sommes que tousles deux, tu as de la chance, pour commencer ton service ».La salle a manger comportait une grande table en verre,chacun d’eux étant assis d’un côté. Yvonne servait à table. Monrôle était d’être sous la table, assis sur les talons, et de leurtéter le noeud a tour de rôle, les mains dans le dos, en ne lestouchant qu’avec la langue…La table étant en verre, toutes lespersonnes se trouvant dans la pièce pouvaient ainsi profiter duspectacle.« Tu ne nous fais cracher que quand on te le dit, petite salope.Compris? Mais d’abord, viens près de Jack et présente lui toncul.»Je m’exécutais.« Je vais te poser un rosebud dans le trou. Regarde le. Del’extérieur, on a l’i ...

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